Chapitre 24 : Rose / Première partie

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Chapitre24 : Rose / Première partie

        Assis sur les herbes vertes des champs de Mars en compagnie de mon petit ami, Enzo, vêtu d’un jean bleu brute déchirer et d’un pull-over bleu marine aussi qu’un chaud manteau en laine noire.

        Il avait décidé avant-hier qu’il m’emmènerait faire une balade en amoureux, voilà le pourquoi de ma tenue très légère pour ce temps de saison en ce mois Novembre alors qu’il a décidé de nous préparer un pique-nique en plein air.

« Ça va ma chérie, pas trop froid avec ta magnifique robe que tu portes ? me demande-t-il.

—     Ça va, ça va ne t’inquiète pas mon cœur, lui dis-je en essayant de par être la plus crédible possible alors qu’en réalité je suis morte de froid. »

        En dirigeant mon regard sur les autres personnes aussi courageuses que nous de profiter des quelques rayons de soleil par un thermomètre qui indique en dessous de 10 °. Quelques secondes après mon observation, je sens une chose qui dégage de la chaleur se poser sur mes épaules, sachant déjà ce qui s’y trouve un sourire se dessine sur mes lèvres. Serrant un peu plus le manteau d’Enzo pour me réchauffer mais aussi pour pouvoir m’imprégner de son parfum si bon.

« Tu aurais dû le garder mon chéri sinon tu risques d’attraper froid.

—     En tant que ma petite amie, il est de mon devoir de te protéger de tous les dangers de la vie ainsi que d’un simple rhume, me dit-il en me serrant dans ses bras musclés par-derrière avant de me faire un bisou délicatement sur ma joue droite. »

        Il est tellement attentionné, charmant et bien vaillant. C’est le mec parfait.

        Nous finissons notre pique-nique avant que la sonnerie de mon portable vienne déranger ce moment parfait. Mon père me répond à l’autre bout de la ligne mais sa voix à quelque chose d’anormal.

« Salut papa, ça va ?

—     Salut, ma princesse, oui ça va et toi ? me répond-il alors que je sens qu’il me cache un truc qui a l’air de le préoccuper.

—     Moi ça va très bien, Enzo et moi venons de manger en amoureux, lui dis-je en souriant de toutes mes dents avant de lui demander, tu es sûr que ça va, papa, tu m’as l’air bizarre ?

—     Je suis heureux pour toi ma chérie, mais dis-lui de bien faire attention à la brunelle de mes yeux sinon il aura affaire à moi.

—     Ne t’inquiète pas papa, si jamais il fait, une bêtise,  je le remets à sa place, lancé-je à mon paternel, en rigolant tout en regardant Enzo qui ne comprend pas de qui on parle.

—     Tant mieux ! Au fait chéri, je vais t’apprendre quelque chose de difficile à dire, mais vaux mieux que tu l’apprennes maintenant. Les parents d’Amélia, mon téléphoner pour te dire qu’il faudrait que tu prennes les cours de ton amie parce qu’elle a eu un accident de la route, je suis désolé ma puce.

—     Quoi !... Non, ce n’est pas possible… est qu’elle va bien ? dans quel hôpital elle a été transférée ?

—     Je ne sais pas comment elle va, mais je sais qu’elle a été transférer aux urgences à l’hôpital « Necker » ce début d’après-midi…, je laisse tomber mon portable sur le sol de verdure avant de me rendre compte que je pleure ainsi que tremblé alors que mon petit ami me prend dans ses bras avant de me demander ce qui se passe. »

        J’arrive à lui expliquer un gros, mais avec beaucoup de difficulté à cause de ma voix cassée et de mes larmes qui ont inondé mon visage. Enzo prend les choses en main en rangeant le tout avant de me serrer contre lui de son bras gauche puis demande au chauffeur de nous amener à l’hôpital, une fois dans la voiture.

Bonsoir à tous, j'ai décidé de publier la suite plutôt que d'habitude mais aussi de le faire en deux parties car je veux que la deuxième partie soit bien faite donc je ne sais pas quand je la publiera... Merci à tout ceux qui me suivent =)

Texte corriger le 29/08/2014.

Au-delà de l'interdit (relation prof-élève)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant