- Meréna?
Je baisse la tête au son de la voix de mère et me redresse.
Je me lève et saute au sol, pour faire face à mère qui a les bras croisés.
- nous allons en ville.
Je hoche la tête et récupère le sac que maman a laissé exprès au pieds de la porte pour moi.
Quand je lève la tête,elle est déjà bien loin et je cours pour la rattraper.
- mère, je te sens inquiète. Des problèmes ?
- ton visage chérie.
- quoi? Qui y a t'il avec mon visage ?
- tu es bien trop jolie chérie. Te laisser seule me rend anxieuse et t'amener avec moi, énervé.
- contre moi?
- mais non trésor, contre ces hommes qui te veulent.
- ah.
Maman parle souvent sèchement sans s'en rendre compte. Mais elle est gentille et ne veut que mon bien.
- que faisais tu sur le toit encore ce matin?, Lance t elle sûrement pour changer de sujet.
- j'observais le ciel. Je le trouve si vaste. A t il une fin?
- si je t'envoie à l'école, c'est bien pour répondre à ces questions.
Je rigole en secouant la tête et continue de suivre docilement ma chère et tendre mère.
- Anthelma, bonjour !, Lance ce bon vieux monsieur Mothé.
- bonjour Mothé. Qu'as tu à me proposer aujourd'hui ?
- des fruits et légumes magnifique,ils sortent...
Je déconnecte de la vieille ranguene que sort tout le temps M. Mothé à mère et suis le mouvement des gens aujourd'hui.
Tout le monde travail,sans cesse, marchant, courant,se bousculant... Personne ne prend le temps de profiter du superbe temps d'aujourd'hui.
Au loin, je vois un homme à capuche et le trouve atrocement louche. Quand j'ai l'impression qu'il me regarde je me rapproche un peu plus de ma mère.
- fais comme d'habitude Mothé s'il te plaît, dit elle. Qui y'a t il mon enfant, tu es toute pâle ?
Après la discussion de ce matin, je décide de ne pas l'avertir et lui souris simplement.
- et voilà ! Anthelma, je t'adore. Oh et toi ma petite Meréna, je ne t'ai même pas vue. Et pourtant avec ton teint de pêche, tes yeux bleus claire, tes mèches blondes de tigresse et ton corps de déesse tu es tout sauf irrémarquable.
Je reste statique et maman se contente de se racler la gorge.
Une fois terminé, nous sortons du marché et j'ai toujours l'impression d'être épié. Mère n'a plus parlé depuis et ça aussi ça m'inquiète.
- me déteste tu mère ?, Soufflais je.
Elle s'arrête de marcher et me regarde dépassé avant de souffler.
- non mon enfant, je ne te déteste pas. Tu es la prunelle de ma vie et je t'aime plus que tout. J'ai juste ...parfois peur qu'on t'arrache à moi.
Je me sens si rassuré et fait un câlin à ma mère.
- je t'aime maman.
- et moi tellement plus chérie.
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livré à Hades
RomanceMeréna,comme sa mère est d'une beauté incroyable. Demi fille de Zeus, elle se retrouve livré à Hadès pour avoir offenser sans qu'elle ne le veuille Hera. En enfer, elle va rencontrer un dieu, que ces livres ou vieilles histoires ne parlait pas. Est...