CHUT ! (I'm Victoria)

Chapitre 5

Mon père avait les yeux rouge, tout ses vêtements étaient recouvert du sang de mon frère et de ma sœur, alors il a dit : « maintenant que vous avez ce que vous voulez partez s'il vous plaît, vous avez tués mon fils et ma fille, vous aviez tués mon personnel, s'il vous plaît ne nous enlevez pas celle la, vous aviez abusez d'elle, laissez la en vie s'il vous plaît » , le chef des voleurs s'est mit à rigoler en disant :«Écoutez très bien il n'y aura aucun survivant ! Déjà que vous aviez vu nos visages vous allez tous y passer alors ça ne sert à rien de nous supplier, aucune personne ne sera épargnée...»

Après cette déclaration, le chef des voleurs a demander à ses collègues de se débarrasser de ma deuxième sœur ainsi que de mes parents, ma sœur était complètement dans un état d'hébétude. Elle n'avait même pas la force de se débattre ou encore de crier à l'aide, mes parents ne prouvaient que pleurer, ma sœur s'est faite tranchée la tête, ensuite ils ont tirés une balle dans la tête de ma mère, le bruit était effrayant, après avoir tirer sur ma mère, ils ont aussi tirés dans le ventre de mon père...

Ils se sont précipités vers la sortie, ils sont montés dans leurs véhicules et ils sont parti, toute en pleure j'ai courue vers mon père, il avait du mal à respiré, lorsque je suis venue m'agenouiller à côté de mon père, il s'est mit à pleuré, il essayait de me parler, mais il n'avait pas assez de force, au bout de quelques minutes entrain de lutter entre la vie et la mort, mon père à rendu l'âme .

Vous imaginez le traumatisme ? Une petite fille de 10 ans témoins du meurtre de tout les membres de sa famille... Je marchais au tour de la maison, elle était remplie de cadavres, c'était insupportable de voir le corps des personnes avec qui j'ai échangée il n'y a même pas 3h coucher sur le sol sans vie, j'avais tellement pleurée que j'avais plus la force pour couler une seule larme, je me suis évanouie.

Les bruits des coups de feu ont alerté les habitants du secteur, 45 minutes plus tard la police est venue, ils sont entrés dans la maison, ils étaient sidérés face à tout les corps étendus parterre, ils pensaient que moi aussi j'étais morte, c'est lorsque les secours sont venus soulever les corps qu'ils se sont rendus compte que je n'étais pas morte mais évanouir. Après avoir déclarer la maison comme zone interdite, ils ont commencé à relever tout ce qu'il y'avait comme indice, les voisins et tout les gens des alentours se sont précipités après avoir entendu parler de la tragédie qui a eu lieu chez Les bourgeois, la police avait même du mal à contenir la foule, certains disaient même que c'était un coup monter, ou même un règlement de compte, bref tout le monde donnait sa version des faits...

J'ai fait deux semaines dans le coma, lorsque j'ai ouvert les yeux j'aurais aimée que tout ça ne soit qu'un mauvais rêve, malheureusement c'était bien réel...