All Is A Lie - MHA EraserMic Fanfiction

Chapitre 7

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Avertissement lemon :
Âmes sensibles, veuillez passer ce passage
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En quelques minutes, les nouveaux amants arrivèrent chez Hizashi. Et à peine la porte fut fermée à clé qu'ils se remirent à s'embrasser, langoureusement cette fois-ci.

Les sacs tombèrent à terre, les vestes et les écharpes volèrent pour atterrir sur la table, et ils se dirigèrent sur le canapé sans se séparer.

Shota ne savait plus ce qu'il faisait, il s'abandonnait au désir.

Ils se déshabillèrent à une vitesse fulgurante, chaque vêtement se retrouvant piteusement par terre, au pied du canapé.

Hizashi lui léchait le cou, tandis que Shota arcait son dos sous cette nouvelle sensation, passant ses mains dans les cheveux du blond. Il sentit de longs doigts froids caresser son torse nu, puis titiller ses petits boutons de chairs roses, pendant que l'autre main descendait jusqu'à son entrejambe, passant ses doigts fins et glacés sur la bosse, séparés par le seul vêtement qu'il lui restait.

Shota observa le torse nu du blond : il était plutôt musclé, pâle et mince, incroyablement attirant.

_ Hizashi... Soupira le noiraud. Je ne l'ai jamais fait avant...

_ Moi, c'est la première fois que je le fais avec un homme, répondit-il les yeux emplis de désir.

Puis il se mit à frotter avec insistance sur cette bosse qui continuait à grossir, sous les grognements de Shota.

Il lui retira son boxer, faisant brandir son membre gros et dur.

_ Laisse-moi te faire découvrir quelque chose de mieux que la masturbation, déclara-t-il en plaçant sa tête au dessus du membre de son amant.

_ Attends, tu vas faire quoi... Ah~ ! Nngh~!

Hizashi venait de le prendre en bouche, accentuant ses mouvements, tout en regardant les yeux de Shota. Celui-ci tentait de dissimuler ses gémissements, passant un bras sur son visage.

Mais le blond lui prit le bras, voulant voir le visage du noiraud sombrer dans la luxure.

Il retira sa bouche de son membre, et lécha ses doigts et enfonça un doigt en lui.

Shota se raidit, épris de cette nouvelle sensation, légèrement désagréable. Au fur et à mesure qu'Hizashi bougeait son doigt, la douleur se transforma en plaisir, puis il inséra un deuxième doigt, et effectua des mouvements de ciseaux.

Après quelques minutes, Hizashi arrêta ses mouvements, se leva, retira son boxer où son membre se dressa fièrement, et sortit d'un tiroir un préservatif, qu'il enfila. Puis il retourna Shota à quatre pattes, et lui dit à son oreille :

_ Si tu as mal, fais-moi signe.

Ce dernier acquiesça, attendant patiemment le moment fatidique.

Il sentit quelque chose toucher ses fesses, et cette chose s'enfonça en lui. Shota tapa le canapé de sa main gauche, signe qu'il avait mal. Hizashi le vit, et arrêta ses mouvements. Pour le distraire, il prit son membre en main tout en léchant sa nuque.

_ V-vas-y, Hizashi... Parvint-il à dire sous ce mélange de douleur et de plaisir.

_ D'accord, respire et détends-toi, Shota...

Lentement, Hizashi commença à se mouvoir en lui. Le plaisir prit possession de Shota, qui ne retenait plus ses grognements.

C'était sublime. Shota et Hizashi ne faisait plus qu'un, et personne ne pouvait les séparer à ce moment-même.

Hizashi finit par atteindre la prostate du noiraud, et entreprit de lui donner des coups de butoirs plus violents vers cette zone sensible.

Après quelques coups, Shota finit par jouir sur le canapé, suivit d'Hizashi qui jouit dans le préservatif, le tout dans un énième cri uniforme. Tous deux s'écroulèrent, et ils se levèrent pour nettoyer tout ça.

***
Fin du lemon
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Shota s'allongea de fatigue sur le canapé, et Hizashi vint s'allonger au dessus de lui.

_ C'était magique, Shota, murmura le blond en s'installant sur le torse de son amant.

_ Hizashi, je t'aime, répondit le noiraud.

_ Moi aussi, je t'aime, Shota.

Et ils s'embrassèrent tendrement une dernière fois, avant de s'endormir l'un contre l'autre.

***

Shota se réveillait lentement, ne reconnaissant pas l'endroit. Il baissa le regard, et vit Hizashi, allongé sur lui, paisiblement endormi.

Et il sourit. Shota souriait sincèrement pour la première fois depuis sûrement des années. Il était en couple avec la personne sur laquelle il fantasmait depuis si longtemps, c'était réel.

Mais en voyant le nombre 10 devant son nez, brillant au dessus de la tête du blond, il repensa à ses recherches, à la dangerosité de cet homme, et à quel point il venait de se mettre dans le pétrin.

Shota caressa les cheveux de son nouvel amant. Il voulait arrêter ses recherches, maintenant qu'ils étaient ensemble, mais il avait peur de découvrir qu'Hizashi serait un tueur, et que c'était probablement lui sa prochaine cible.

Il fallait qu'il continue ses recherches. Mais il s'en voulait de cacher une telle chose à Hizashi.

Il s'en rendit compte désormais : il aimait Hizashi comme lui aimait Shota.

Mais cela faisait si longtemps qu'il l'espionnait, pour finir par tomber amoureux de lui rien qu'en fantasmant sur lui, redoutant toujours le pire ; mais maintenant, ce qu'il redoutait, c'était de découvrir sa véritable identité.

Hizashi se réveilla, et se frotta les yeux comme un enfant, puis observa le torse nu de Shota, et leva la tête vers lui en disant :

_ Good morning, Shota.

_ Bonjour, Hizashi.

Il se leva, et s'étira devant Shota, qui était impressionné par la taille du membre de son amant, ce membre qu'il avait accueilli en lui cette nuit-là.

_ Tu pourrais au moins t'habiller, plutôt que de traîner à poil devant moi, fit remarquer Shota sur un ton amusé.

_ Il fait chaud ! Je vois pas en quoi ça dérange que je sois à poil !

_ Si tu veux, je te sors dehors, dans cette tenue pour voir s'il fait bien chaud.

_ C'est chez moi, ici, donc c'est moi qui me décide à te sortir dehors ou pas !

Puis il lui tira la langue, et l'invita à prendre sa douche en premier.

Shota s'exécuta, et après quinze bonnes minutes, c'était au tour d'Hizashi.

En attendant, Shota se rhabilla, consultant son téléphone, lorsqu'il vit un message arriver sur celui d'Hizashi. Curieux, il regarda le message :

Hizashi !! Faut que tu grouilles de venir !! Les flics vont finir par rappliquer ! T'en est où avec le gars, d'ailleurs ?

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