Partie 4 :
Je descends dans le hall, il est là, assis sur l'escalier, dés qu'il me voit il se lève, il avait les yeux rouges , sûrement sous tise, alors qu'il devait arrêter ...Aucun de nous ne parler juste on se regarder, et là d'un coup je vois une larme sur ses joues, je m'approche de lui, lui essuie et lui dis :
Moi : «Pleure pas, ne montre jamais tes faiblesses, c'est pas se que tu m'as toujours dit ?»
Walid : Vasy demain je raméne ma mére et je viens voir 3ami, laisse tombé ce tahan !
Moi : Je voudrai tellement Walid, mais c'est pas ma décision, je peux pas humilier mon père
Walid : Mais il va comprendre, je le connais, mon oncle lui parlera ! Attend moi Wiem, wallah que je peux pas sans toi ! Regarde moi, je suis un shlag, j'assume même pas se que je t'ai promis, ta race !
(Son oncle car son pére est décédé, allah y arhmou)
Moi : Je t'aime Walid, si sa tenais qu'à moi je t'attendrai toute ma vie, sa sert à rien de compliquer les choses, nous deux c'est mort
Il me coupa, me pris la tête entre ses mains,
Walid : Ne redis jamais c'est finis, je suis le plus gros de tahane si un jour tu m'appartiens pas, tkt même pas omri !
Il gardait espoir alors qu'il y en avait plus, l'espoir fait vivre comme on dit, mais moi il m'a tué cet espoir, fallait qu'il se réveille, qu'il comprenne que lui et moi, c'est mort, finis, plus rien nous lie, à part ce passé magnifique,ces moments heureux où on vivait juste de notre amour, sa « thug life » m'aura détruit mais aussi épanouie, et oui car même s'il m'a boycotté, s'il m'a trompé ou même tapé je ne remplacerai ces moments pour rien au monde , on a sut vivre heureux avec rien, mais hamdoulleh ya rabi sa a était les plus beau moment de ma vie ! Fallait que je le réveille, alors j'y suis allé fort..
Moi:M'appel pas omri, on est plus rien l'un pour l'autre, accepte le mektoub rabi t'ouvrira une autre porte inch'allah, tu trouveras mieux, bon je te laisse, ciao et rend moi un service, oublie mon numéros, dans 2 jours je suis fiancée !
Je me retourne et commence à monté chez moi, il me retourne, me prend dans ses bras et me dis :
« T'es dans mon guelb, t'as étais la seule meuf que j'ai kiffé, et tu sera mienne, tu verras ! », je me retire de ses bras, et remonte sans répondre.. Si tu savais comment j'aimerais que tes espoirs se réalise, mais rabi en a voulu autrement..Je remonte donc,je sonne Wassila pour qu'elle m'ouvre,je me sens oppressé de rentré dans cette maison, c'est bizarre, moi qui pensait avoir mal le jour où je quitterais la maison de mes parents, là je n'en peux plus, je n'ai qu'une hâte c'est de les quittés,paradoxal vous me direz,mais ils m'ont détruis ma vie, il le regrettons un jour je le sais, inch'allah que rabi me donne la patience..
Je repars me couché,le cœur serré et la gorge noué, j'espère que Walid, ne viendra pas à mes fiançailles, je ne pourrais pas accepter de le voir à la mauvaise place, c'est lui qui méritait la place du'honneur..
Deux jours sont passés, aucune nouvelle de Walid,il a peut-être enfin compris et accepté.. Sayé c'est censé entre MON grand jour, tous s'active à côtés de moi, ma « belle famille » devait venir vers 17h, le matin je me lève, me douche,déjeune, je glande devant la télé sous les cris de ma mère qui voulait que j'aille me pomponnée, mais à quoi bon ? Enfin, pour qui ? Pour cette personne qui va détruire ma vie ? Pfff même pas dans ses rêves, si sa tenais qu'à moi, je me présenterai devant lui en djellaba javelisé,cheveux de sorcière, une deguaine de sorcière, afin d'espérer le répugné et qu'il s'enfuit, oui qu'il s'enfuit et me laisse reprendre le cour de ma vie...Je me dirige vers le salon, ils sont là, tous le sourire au lèvre, heureux de cette événement, j'entre, je fais la bise à tout le monde, puis arrive le tour de cette inconnu, je le regarde avec mépris, lui serre la main et me dirige à côté de ma mère, viens alors le moment fatidique :
3ami Taoufik (pére de l'inconnu) : Alors, on est aujourd'hui ici pour demander la main de ta fille Wiem, pour notre fils Karim, tu est d'accord Samir ?
Baba : Moi oui je vous la donne avec plaisir, et toi benti et tu d'accord ?
Soubhan'allah à ce moment là,la porte d'entre s'ouvre (elle donne directe sur le salon), Maher fais son entrée, et deriére lui, une silhouette qui m'est familière, non tout mais pas ca, ya rabi, pourquoi il est là ?
Maher,salem tout le monde de loin, et me regarde, ou plutôt me fixe, l'air de me dire, t'as encore une chance, c'est la mauvaise personne qui est assise dans ce salon ! Je savais que c 'était Maher qui lui avait demandé de venir, j'en suis persuadé, je regarde Maher, puis Walid, je baisse la tête et répondis :
« Oui,je suis d'accord »
Les youyous fusent, Maher et Walid sortent en claquant la porte, Karim me fixe, mais son regard je n'arrive pas à le comprendre, est-il aussi déçu que moi ? Je l'espère, j'espère détruire sa vie, comme aura il détruit la mienne !
Tout le monde nous félicite, le Imam, viens, et sépare les hommes et les femmes, je me met un voile sur mes cheveux, et La fatiha est récité.. Les youyous retentissent, l'Imam s'en va, mon beau-père dit alors :
« Allez faire plus en plus connaissance, tu es sa femme maintenant », je baisse la tête, Karim se lève, me prend la main, je la retire immédiatement, son contact me dégoûte ! Mon père me regarde du genre « continue comme ca et je te bute », je le suis, on se dirige vers la cuisine..
Je m'assois sur la chaise :
« T'es mach'allah, mon père a su choisir »
« Hmmm, il fais peut être ton bonheur, mais toi tu fais mon malheur »
Et ouais je suis cash comme fille quand sa me plaît pas ! Là d'un coup son regard a changer s'il pouvait me démonter il aurait fait sans gène :
« Écoute veille meuf, j'ai voulu faire le gentil avec toi, mais apparemment tu comprend pas, tu vas de suite baissé d'un ton et mieux me parler sinon tu sais même pas se qui t'attend ! »
« Mais MDRR t'as cru que tu me faisais peur ? Écoute moi bien, pour moi t'es personne et tu le seras jamais,je fais ca pour ma famille ! Si t'es un homme sors et va leur dire que tu veux plus ! Mais tu dois être un gros tahane, t'auras pas les couilles ! » je me leva pour quitté la cuisine,quand il me rattrape la main et me dis :
« On va voir si j'ai pas des couilles, t'auras la temps de bien voir, mais faudra assumer tes paroles » il me poussa, j'ouvre la porte de la cuisine mais avant de sortir je n'ai pas pu me retenir et lui lance un « tfouuu », et ouais faut pas me chercher !
On repars au salon, l'air de rien, et là Karim prit la parole :« .................................................................... »
Aimé et commenté, faite moi plaisir:) !
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