Partie 17

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Partie 17 :

Maher essayer de me calmer du mieux qu'il pouvait, il m'avait prise dans ses bras, et me chuchoté qu'il était là pour moi, et qu'il me lâcherai jamais, que j'étais son petit trésor et que personne n'avait le droit de me toucher... Vous savez Maher depuis petit avait se rôle de protecteur, quand nous étions enfants et que je faisais des conneries il disait que c'était lui pour pas que je me fasse taper, ou bien quand on me taper il se mettait devant moi pour recevoir les coups... Je l'aime à un point inimaginable mon frère ♥ !
Une fois calmer il me dit :

« Je peux pas te laisser là, viens je t'enméne chez Walid ! »

« Maher, arrête khouya j'irai pas chez lui ! Déjà parce qu'a ce moment là je vais directement chez mama sa serai la même chose, et puis Walid je l'ai perdu, et je me vois pas allez me pointer chez lui ! »

« Tu peux pas resté là o5ti, faut qu'on trouve une solution ! Divorce ! Les parents ne te diront rien au contraire ! »

« T'inquiet khouya je vais trouver ma propre solution ! »

Il est resté avec moi toute la journée, j'étais dans ses bras, j'étais si bien à ses côtés comme dans le bon vieux temps... On a manger ensemble, puis il est rentré parce que je voulais pas qu'on sache qu'il était chez moi tout simplement parce que je voulais pas que ma mère vienne me voir dans cette état...

Les jours passaient, et il n'y avait toujours pas de trace de Karim, Maher passait me voir tout les jours, il a était très présent pour moi durant cette partie de ma vie... Je ne pouvais plus éviter mes parents longtemps donc un jour Maher est venu me chercher et on est allez chez eux...

Omi : Yaaa bentiiii ! Tu m'as manqué omri !

« Toi aussi mama », je pars dire bonjour à mon père, mais quand je l'ai vu j'ai eu les larmes aux yeux, j'avais l'impression que mon père s'enfichait complètement de moi, il est censer me protéger de ce monstre, mais non il m'a jeter dans ses bras, c'était peut-être une délivrance pour lui que je parte de cette maison... Pourtant j'ai toujours était la petite fille sage, à l'écoute de ses parents et de sa famille.. Je ne sortait pas beaucoup, toujours collée à ma mère, une fille de bonne famille je le pense.. Alors pourquoi tu as voulu te débarrasser de moi baba ? J'espère pouvoir te le pardonner un jour..

Je reste manger avec eux, je retrouve cette bonne ambiance à la maison.. Ils sont là tous heureux de leur petite vie, quand à moi je cache mes blessures pour ne pas les blessés... Je dois resté forte, oui je me le dois, Marwen parlait de son mariage qui allait avoir lieu en Juin, ils étaient tous enthousiaste à l'idée de ce mariage, moi j'étais présente avec eux, mais je ne participé a aucune de leur conversation, j'étais devenue un zombie, une personne fade, je détestais la vie tout simplement... Mais je fut réveiller par une question de mon père :

« Wiem pourquoi Karim il vient jamais avec toi ? », je n'osais même pas regarder mon père, j'avais peur de pleurer, j'avais peur d'affronter son regard.. Sa question m'avait déstabiliser, je ne m'attendais pas qu'on demande après lui.. Je lui répondis tête baisser

« Je les laisser entrain de dormir »

« Appel le qui vient nous voir un peu, il fait parti de la famille ! »

Il fait partie de la famille ? Si lui en fait partie, alors sortez moi de cette famille, renié moi, sa ne serai pas une fierté pour moi qui soit de la famille ****** (mon nom de famille)..

« D'accord », bien sur je n'allais pas l'appeler, il manquerait plus que ça tiens ! Le repas finit je débarrasse avec ma mère et Wassila, puis je vais à ma chambre, je m'allonge sur ce lit.. Tout les souvenirs de ma jeunesse remonte, j'en ai vécu des choses, surtout grâce à Walid.. Il m'aura fait passer une belle partie de ma vie... Sans m'en rendre compte les larmes commençait à couler sur mes joues,j'étais devenus si faible, je ne passais pas une journée sans pleurer ! Moi qui avant ne verser aucune larmes par fierté, ou je me cachais pour les verser... J'avais les yeux fermés, avec ces larmes qui inondés mes joues, quand ma mère entra dans la chambre..

Chronique de Wiem : On choisit pas son mektoubOù les histoires vivent. Découvrez maintenant