OS SMUT/FLUFF Johnny's et Kpop - T/P - 1ère personne

J-Hope - Promise

Fluff et aléatoire.

Ta tête se redressais et redescendais à un rythme régulier. Tes yeux se fermaient tous seuls. Le cours qui se déroulait devant toi, dans le grand amphitéâtre ne te passionnait guère.
À ta gauche, se tenait Jimin, ton meilleur ami. Il te secoua énergiquement.

- On se réveille.
- Fous moi la paix, tu murmuras irritée.
- Hoseok pourrait te regarder.

Hoseok était le garçon qui éveillait en toi des sentiments contradictoire. D'un côté tu le haïssais par ses mauvais comportements avec les autres. Il avait un côté presque sadique. Mais en même temps, son regard semblait pénétrer ton âme. Tu savais aussi que vos échanges de regard étaient toujours pleins de défi. Cependant aucun de vous n'osait faire le premier pas. Tu relevas la tête vers la bouille infantile de Jimin.

- Que veux-tu qu'il me fasse, tu demandas doucement.
- Son regard ressemble à une bête qui va te sauter dessus. Tu n'as même pas remarqué son regard sur toi.
- Je m'en fou, tu pestas lourdement.

Tu jetas quand même un coup d'oeil. Tu croisas celui d'Hoseok. Son sourire narquois naquit sur ses lèvres et son regard s'assombrit. Tu crus voir un instant, une autre lueur. Ta tête s'inclinas et la lueur disparut. Tu mis ça sur le compte de la lumière. Tu haussas les épaules et retournas à tes rêveries.

Lorsque le soir fut venu, Jimin t'avais laissé à mi-chemin. Tu rentra alors, il restait que quelques minutes de marches. Tu longeas la forêt qui était proche de chez toi. Un bruit furtif retint ton intention. Tu t'arrêtas dans ta marche et te retournas. Tu resserras ton sac contre toi reprit ta route. Tu étais à cran depuis quelques jours. Tu avais entendu parlé de ces histoires de disparitions de jeunes femmes. Cela faisait en effet la quatrième en deux semaines. Seulement, tu te rassuras en te rappelant que leur physique ne correspondait pas au tien. Un autre bruit proche de toi te fis accélérer le pas. Tu pus entendre cette fois, une conversation entre trois garçons. Leurs éclats de voix semblaient joyeuses. Tu les auraient interprétée comme ça dans un autre contexte. Pour l'instant, ton instinct te criait de fuir. Les trois se rapprochaient rapidement de toi en lâchant des petits bruits que tu n'apréciais pas. Tu eu l'idée de te déporter dans le sentier de la forêt. Tu avais pris plusieurs fois ce passage étant plus jeune et c'était plus rapide pour rentrer chez toi. Tu marchas un peu vite. Tu passas par une courte plaine. Reconnaissant le chemin, tu diminuas ton rythme de marche. Tu te sentis en sécurité, d'autant plus que les trois garçons semblaient ne pas t'avoir suivi. Tu pus entendre non loin de toi, un bruit plus lourd, plus effrayant. Lorsque tu te retournas. Une grande bête, un énorme loup. Par la lumière des lampadaires, tu pus voir son pelage noir. Ses babines étaient retroussées. Elles se détendirent un peu. Vos regards se croisèrent. La bête grogna avant de bondir sur toi. Tu te pris son poids sur ton torax et basculas au sol. Le dos au sol, il te surplomba. Il était sur toi, son regard pénétra le tien. Une lueur le traversa avant que ses crocs ne pénètre la chair de ton épaule. La douleur était atroce, la brûlure due au crocs profondément plantés dans ta chair te coupèrent la respiration et la voix.
Tu le sentis s'acharner dans tes chairs. Tu étais tétanisée par la peur. Tu sentais que tu allais mourir là, sans savoir ce qui t'attaquait vraiment, et en étant impuissante. Tu sentis le froid consumer tout tes membres. Ta vision se troubla, les larmes coulaient de chaque côté de tes joues. Tu sentais les morsures aller plus profondément dans ta chair. Un grognement sorti de la gorge de la bête. Elle se redressa. Tu le vis se reculer. Une toute nouvelle douleur prit place dans ton organisme. Tu avais l'impression que tout tes vaisseaux sanguins se désagrégeaient sous un flux à forte chaleur. Tes muscles semblait se contracter et imploser. Tu fus pris d'un mouvement réflexe, ton dos se arqua à quatre-vingts dix degrés. Tes cordes vocales semblaient être faites d'épines désormais. Tu te tendis dans tous les sens. Tu avais l'impression de te sentir partir. Tu avais hâte que ça s'arrête mais en même temps ton instinct de survie faisait surface.