Les chroniques d'une Uchiwa [Tome 2] •TERMINÉ•

Chapitre 10

Moi: Tu pourra revenir dans trente minutes, le temps qu'on remballe nos affaires et qu'on parte loin.

Sur ses mots ils partent dans le sense inverse du bâtiment où nous devons nous rendre. Je fait signe à mes camarades de remonter pendant que je range les affaires. Quand j'eu terminé, je regarde les foulards de l'équipe de Suna.

Moi: Es se qu'on a quelques chose pour teindre sa?

Je soulève un bout de tissu qui se trouvait dans ma poche.

Nashi: On a des baies bleu et rouges. Mais on vas pas les gaspillés.

Moi: Génial, c'est pile des bonne couleur!

Nashi (dégoûté): On vas pas les utiliser pour teindre un bout de tissu.

Moi: si.

Je déchire le tissu en deux, de la taille des foulards et les teint avec les baies.

Moi: C'est bientôt l'heure, allons y!

Avant de partir je dépose des foulards sur le mur et on part vers le bâtiment. On s'arrête vers deux heures du matin pour se reposer et dormir un peu.

Moi: Allez y, dormez. Je vous réveillerai quand on devra partir.

Ils essayent de me faire dormir un peu mais je refuse et ils abandonnent, écrouler de fatigue. Je m'assoie sur le rebord du mur, une jambe dans le vide, l'autre contre ma poitrine.

« Pourquoi le monde est ainsi? Pourquoi tout se qu'on fait c'est tué et être tué? Pourquoi tout le monde nous ment? »

Je m'allonge et fixe les étoiles.

« C'est tellement beau! J'aimerais rester là indéfiniment, que personne ne vienne me déranger. Seule dans ce silence, sans cette guerre et ces mensonges. »

Quand l'aube arrive je réveille mes camarades. On parcourt encore une bonne partie du chemin jusqu'à midi. On est à peu près à cent mètres du bâtiment, les sauts entre les murs se font de plus en plus grands et sont plus nombreux. Les pièges aussi se sont multipliés.

Hitana: On devrait peut être descendre. Ici on est trop vulnérable et on s'épuise vite a cause des sauts.

J'acquiesce discrètement.

Nashi:je propose qu'on aille directement au bâtiment au lieu de s'arrêter maintenant.

Moi: Je suis d'accord.

On continue donc sur le sol, les pièges étaient bien plus nombreux mais on progressait plus vite. On arrive vers deux heures de l'après-midi devant la porte.

Nashi: On fait quoi? On toque?

Hitana: Nan.

Il mit sa main sur la poignée.

Moi: Attend!

Il la retire en vitesse.

Moi: Il y a peu être un piège.

On recule et j'ouvre la porte avec un long bâton. Il ne se passe strictement rien donc je lance un caillou à l'intérieur, des kunais volent dans tout les sense à l'intérieur. Quand je suis sur que le pièges est désactivé je rentre. Derrière la porte il y a un mot:

Merci de remettre un piège
si celui ci est désactivé.

Les examinateurs

On remet donc le piège avant de faire le tour du bâtiment. Il y avait personne et pas un meuble. C'était un bâtiment vide.

12 avril 2020