Chapitre n°5

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Chapitre non corrigé.

Par amour,
on est capable,
de tout.

Pdv Paloma :

_Driss ma traîne de force à l'extérieur, nous avons traversés le grand parking à toute vitesse, devant les regards de ses frères, qui l'on plus pris comme une plaisanterie. Des moqueries aussi  taquines les unes que les autres, à mon égard.

En même temps, je ne peut pas les blâmés. Driss abordait un sourir d'ange devant eux, ce même sourir qui avais déplié à mon égard, il y a bien longtemps.

Alors, j'ai fais de même.

En même temps, qui me croirais, si je me plantait là, au beau milieu de cette cour, pour hurlé qui avais levé la main sur moi.

Qui allait recommencer.

Je le sentais au plus profond de mon ventre.

Arrivé à la maison, dans un claquement de porte qui me fait sursauter. Driss ce dresse devant moi, comme un mûr de pierre.

- C'était quoi cette comédie devant Lucie ? Me question-t'il. Qu'est ce que tu lui a racontée ?

- Je ne vois pas, de quoi tu parle. Je répond ma a l'aise.

- Répond moi, je n'aime pas ton petit jeux, Paloma !

- Il n'y a aucune comédie, driss. Je vois pas de quoi tu parles ! Je hause la voix à mon tour.

- Fait donc l'innocente, que tu le fasses devant tes copines, j'men tape complètement. Mais, pas devant la femme du président et encore moin devant les gars ! Il hurle, à quelque mettre de mon visage.

Je sursaute les yeux arrondie par la peur.

- Je t'assure je n'ai-... Je tente de me justifiée avant qu'il ne me pousse violemment contre le mur.

- Je t'ai prévenu. Tu vas prendre pour elle. Un pas en arrière, il admir la peur qui grandit en moi. Les yeux remplis animosité.

Et moi, je tante de ne pas tremblée.

- S'il te plaît.... Driss, ne fait pas ça... En le voyant reprendre la distance qui nous séparent, je prie pour que ce mauvais rêve ne dure pas.

Il m'attrape pas l'épaule, pour me pousse sur le canape du salon. Je tombe déçu, sur le dos, face au monstre qui s'approche de moi.

-S'il te plaît..... Je gémis avec l'appréhension.

Il s'arrête.

- Qu'à tu dis, a Lucis. Il continu persuadé que je lui ment.

-Rien.... Je grimace le voyant approcher.

Je suis entre la paralysie et l'envie de prendre la fuite. Mon corps ne contrôle plus rien, mes coudes tente de faire marche arrière sur l'accoudoir du canapé, mais Driss le comprend bien avant moi.

- Minute, tu compte allée où ? Il lâche, d'une voix qui ne lui remble pas. Un regard tellement dépourvus de sentiment que la peur fini par attaque mes os.

Ses mains, me paraisse encore plus grande que d'ordinaire, agrippe mes cuisses. Je me débat, enfin mon corps lui tente de le faire. Mon cerveau, à juste activé, ce nouveau mode '' pause'' qui a la faculté à renvoyer le présent dans un passé à la fois éloigné, et pourtant, proche et bien réel.

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