Chapitre n°6

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La vie n'est que le reflet,
Des couleurs,
Qu'on lui donne.

C

hapitre non corrigé

Pdv Paloma :

_Je parcours la cour du club le pas pressé, le sable de la terre du parking se souleve autour de moi, qu'en je pose un pieds sur les planches de la terrasse, le Biker attablé à l'entre révéle la tête vers moi.

- oh Paloma ! Que fait tu là ? Dit-il en levant la tête du journal.

Je reconnais Col. 

- C'est le journal de ce matin ?

Il me fait signe de la tête que oui. Un sourir amusé sur le visage.

- Je peux le voir.

Sans me donne de réponse, il me le tend. Je lâche un merci, en l'ouvrant pour chercher la page des petites annonces.

-Alors ma belle, comment ça va ? Je lève un œil vers lui, pour tomber dans son regard charmeur. Voyant que je ne lui répond pas, il poursuit. Tu as petite mine. Il attend ma répond qui ne vient pas, alors il tente encore. Que cherche tu ?

Je ne répond toujours pas, arranche la page qui m'intéresse et lui rend le journal avant de faire demi-tour sans attendre plus.

-Hey ! Tu pourrais me répondre, gamine.

Je me tourne vers lui.

-Pas le temps, désolé !! Et j'te rappel qu'on a le même âge, grand père !

-Ah. Ah. Ah.

- Balance ta bière Col, de bon matin sa te réussi pas !

- Si seulement je pouvais te montré ce qui me réussit, tôt le matin. rit-il en hurlant.

-Dans tes rêves ! Je lui dis, de dos en pointant mon majeur en l'air. Et je souris à l'entente de son éclat de rire.

****

Je passe l'après midi à table, le journal devant moi, le stylos et mon portable dans chacune de mes mains.

Après une seconde rature, sur la longue liste des annonces qui mon refusé, je souffle, c'est pas possible, je les aïs toutes appelles !! Même celles où un diplôme est demander, toutes sans aucune exception !!

Mais, je n'essuie que des refus... Encore. Et, ce n'est pas tout !

Quand je révèle le lieu où je loge.
Le job devient soudainement indisponible. Mes yeux parcourt la feuille, il m'en reste une dernière, ma dernière chance.

Allée, courage ! Donne tout !!

Le téléphone en main, je tape le numéro, en manque de souffle.

-Allo ? Me demande une voix froides et féminine.

-Bonjour, madame, heu...  Terriblement malaise, je poursuit. ...Je suis désolé de vous déranger, j'appelle pour l'annonce....

- Ah... Je vois, je suis madame May.

-Euh... Enchanté, appelle moi Paloma, Je voulais savoir si c'était toujours disponible...

-Oui, l'offre tien toujours. Et c'est urgent.

-... Parfait, je serais très intéressé et libre de suite, pour...

-Hun. Me coupe t'elle. Attendez que je regarde dans mon agendas, pour convenir d'un rendez-vous. Aujourd'hui, ça ne vas être possible. J'entends des froisement de papier. Quand seriez-vous libres ?

-Je suis libre de suite, madame. Je répète une nouvelle fois

- hun. Bien, demain matin, je vous veut à l'adresse que ma secrétaire vous envera sur votre portable, pour 9h, me lance telle, sans me donner le choix. Ne soyez pas en retard, je déteste ça.

-... Bien, merci madame May.

-Ce n'est que pour un essai. Ne soyez pas trop optimiste. Je chercher quelqu'un de discret, d'obéissant et très méticuleux dans les tâches à accomplir.

-Je suis cette personne.

-On verra ça, en temps et en heurs. A demain.

-À demain madame May.

Je raccroche, et me rend compte que je n'ai même pas demandée le salaire... Quelle cruche !!

****

La soirée a été plutôt calme. Driss n'est pas rentré, il a été demandé pour une mission dans un autre chapitre.

En marche vers l'adresse indiquée, je remonte une grande avenue remplie de maisons immense et bourgeoise !! Tout aussi belles, que leurs voisines d'à côté. De tres grand jardin, bien vert et fleuri, les entoure, des enfants y jouent et des chiens aboie sur mon passage.

Je souris, j'adore le cadre, à l'ombre des arbres qui borde la route, je chercher le numéro de la maison, qui m'a été indiqué par SMS.

Je continu à remonté la longue  monté, pour tomber presque nez à nez avec une immense villa qui a l'air de vouloir dominé le monde.

-WOUHA !

Je presse le pas pour ne pas arrivé en retard, mes pieds arrive sur l'immense palier, et mes yeux sont braqué sur cette grand porte.
Je sonne et me place devant la petit caméra qui s'alume.

La porte ne tarde pas à s'ouvrir.

Une grande dame brune se tiens devant moi.

- Bonjour ? Me questionne t'elle sans sourire.

- Bonjour, je prononce le sourire aux lèvres. Je suis Paloma, nous nous sommes eu au téléphone hier, je crois...  J'ai convenu d'un rendez-vous avec madame May aujourd'hui, à 9h.

-Hun. Elle lâche méfiante.

Elle me scan, de la tête au pieds, de son regard froid, je n'y lie aucune émotion. Elle passe de mes bottes, à mon jean noir, simple, avant de remonté sur ma blouse vers bouteille. Son regard s'arrête sur le cuir que je porte. Elle fronce des sourcils, avant de remonter sur mon visage.

- Je ne m'attendais à ça. Dit-elle pour me désigner. C'est moi Madame May.

Sa me pique, j'ai envie de l'ouvrir pour lui en mettre plien la gueule, mais je la ferme, pince mes levres aussi fort que je le peut.

J'ai besoin de son argent.

Alors je souris, le plus hypocritement possible. Elle se décale pour que je rentre. Je la remercie, avant de restée bouche bé devant l'intérieur.

Putain de merde. Que c'est grand !!

- Suivez moi, je vais vous faire faire le tour de la maison.

-heu, vous ne voulez pas avant...- elle me coupe.

- Écoutez, je n'ai pas de temps à perdre aujourd'hui. Il me faut quelqu'un maintenant. Alors je vais prendre ce qu'il y a, devant ma porte.

Je me tais, surprise du ton de sa voix. Respire, reste zen. Je hoche la tête pour lui donner raison.

Vieille sorcière.

________
Fin du chapitre

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