Chapitre n°11

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Deviens ce qu'ils détestent 
....

Chapitre non corrigé

Pdv Paloma :

_Mes pieds traîne sur le sol, dans cette monter que je ne peut plus voir en peinture. Mon corps coubarture me crie de faire une pause, une longue pose même !

Mais, voilà. La maison donc je doit m'occuper ce trouve face à moi, au bout de ce chemin bordée de maison bourgeoise.

Je souffle, malgré moi. Puis un sourire prend place sur mes lèvres au fure et à mesure que je m'approche.

Je ne sais pas pourquoi, ou même comment. Mais, juste en étant sur le pas de la porte de cette baraque, je me sens bien.

En sécurité même.

J'introduit la cléf, ouvre la porte et tape mon code. Un code qui me sert à désactiver l'alarme, et qui badge mon heures d'arrivée aussi.

Le sons désagréable de l'alarme qui ce met en veille et qui signale mon éventuelle présence aux maitres des lieu m'agresse les oreilles.

Après ce bruit infernale de petit bip bip, le silence reprends ses droits.
Et mon cœur s'alourdir, sans que je ne sache pourquoi. Mon regard passé un rapide coup d'œil, tout est à sa place, ranger et ses affreux mur blanc laqué, n'ont pas perdu de leurs éclat non plus.... Grrr!

Je reprend ma marche ma lente marche même, je passe devant le sofa qui me fait de l'œil, pour aller me changer dans les vestiaire, en passant par le cuisine je découvre les vestiges du repas que j'ai préparé la veille à monsieur May.

Je souffle, ce mec me prend vraiment pour la bonne.

Enfin, tu as signé pour ça ! Me hurle ma conscience. J'entends presque son rire moqueur.

****

Voilà une bonne heures que je suis en préparation du déjeuner de Monsieur May, et du repas de ce soir , ainci que du désert. Le repas de midi est déjà prêt et toujours en vie dans le frigo.

Je rie à cette pensée, il a bien lu les étiquettes et n'y a pas toucher.

Plonger dans mes penser, je surveille le ragoût qui cuisine à feux doux.
Les petites boules de la sauces remonte à la surface, pour explosé.

Elles arrivent à hypnotiser toutes mon attention. La couleur presque rouge me fait replonger dans mes souvenirs, pourtant flou de hier soir.

Ma main droit, est occuper à remuée mécaniquement la pâte à macaron, pendant que la gauche remet à zéro la recette sur la tablette tactiles qui me sert de livre de cuisine.

Une main, puis un avant bras passe sur mon épaules,  avant qu'un corps, vienne lui aussi, ce coller derrière moi.

Et ce parfum....

Je sursaute, la proximité me choque sur place, mes yeux pourtant ouvert, j'ai la vue qui reste flou, plonger dans le passer d'on j'ai tend de mal à extirper, il me faut quelque minutes pour qu'elle redevienne presque normal.

C'est un ce moment là que je remarque un souffle chaud caressé ma nuque.

Mes mains ce sont arrêtée de bouger, ma respiration ce coupe.

Les éléments de cuisine, les plats qui mijote sous mes yeux,  réapparaît petit à petit devant moi avec netteté.

Et même ce bras...

Je tourne ma tête, la bouche ouvert vers le propriétaire. Et je blanchi en voyant Monsieur May aussi proche de moi, il nape du bout du doigts la pâte à sucre, qui recouvrir à toutes à l'heurs les petites choux.

DILEMME Où les histoires vivent. Découvrez maintenant