Chapitre n°13

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Chacun est le maître de son destin.
C'est à nous, de créé,
Les causes du bonheur.
.....
Citation : Dalaï Lama

Pdv Paloma

_Je coince mes mains entres mes cuisses, mal à l'aise de me retrouver en voiture avec lui. Mes yeux part dans tout les sens, je l'évite lui, malgré qu'il ce tourne vers moi.

- Qu'elle est votre adresse, Paloma.

Sa voix, un peut trop douce à mon goût me mets en alerte, elle me fait réagir, pour que mon regard ce pause sur lui.

Je tourne la tête vers son visage, maquillé dans la pénombre, j'ouvre la bouche, puis la referme, c'était quoi déjà la question... Je fixe ses lèvres, puis j'hésite à nouveau, lui dévoiler mon adresse cela revient à lui dire, que...

Mes mains viennent autour de mon coup, crochette les côtés de ma nuque, je ressert les bords de mon mentaux après avoir frotter ma peau dans un coup de stress.

Je  dissimule le cuir que je porte en dessous.

A quoi bon...

Je n'ai pas honte de ce que je suis.
Je ne dirais pas que c'est de la honte.
Peut être que si... Ou alors c'est simplement la peur que tout cela change.

Qu'il me vire.

- Si vous continuez à restez aussi silencieuse, je nous ramène sans plus me pauser de questions. Sa voix est blanche.

- Non, non ! Je tique, un peut paniquer, j'habite au club,..  Euh, je fini par avaler les mots, sous son regard qui ne dévoile aucune trace d'émotions, je perd ma langue.

- Quel club ? Il tourne le buste dans ma direction, ses yeux trahissent la fatigue accumuler durant son voyage, le torse complètement vers moi, son bras prend de l'altitudes, pour avancer vers moi, avec l'une de ses mains, il fait tomber ma capuche avec son index, sa main reste en suspent quelque seconde devant nos yeux, sur le haut de ma joue exactement, avant de finir par redescende sur elle même.

Ses doigts effleurer ma peau...
Un frisson remonte le long de ma colonne, la chaleur qu'il me transmet par ce simple contact me fait contracté le ventre.

Je le fixe, les yeux un peut rond, pendant qu'un second frissons me prend.

Sans doute la faute à mes vêtements humide, qui me couvre de froid.

Son regard ne trahir toujours rien. Je détourne le visage pour échapper à ses doigts, et l'avertir silencieusement des représailles qu'il pourrait y avoir envers lui, si un des membres du club voyait son geste.

-Les ''Form Anarchy to death'', ils sont à la sortie de la ville. Je lâche l'information, comme un boulet de canon.

Du coin de mon œil gauche, je remarque sa main faire marche arrière, ce fermer sur elle-même, en un point, fort et puissant, les jointures de ses doigts blanchisse sous la pression. Il le ramène 
à lui, ses yeux ne trahissent toujours rien, pourtant il continue de me fixe.

- Je vois, je connais. Lâche t'il sur un tond sec. Il se retourne de moi, face à la route, il reprend une position convenable pour conduire. Sa main vient accroché le levier de vitesse, pour en passer une, après quelques contrôles dans les rétroviseurs, il prend la route. Et personne ne peut venir vous chercher sous cette maudite pluie ? Je décèle dans le font de sa voix de l'agacement.

- Non... Mais, monsieur May, si cela vous dérange de faire un si grand détour je peut rentrée seul... Je vous assure que-... Ma voix ce coup, sous son regard sévère en plus de sa main qui sait levé vers moi pour me faire taire.

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