Chapitre n°10

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Elle m'adresse un sourire triste.

J'ai toujours trouvé ça bizarre.
Les gens qui sourient alors qu'ils sont triste....

Un sourire triste, ça n'existe pas !

C'est juste, un sourire courageux.

.....

Chapitre non corrigé.

Pdv Paloma :

Mes doigts sous mes yeux, je les fixe, encore et encore, cette couleur, cette odeur qui m'attaque les narines, prolonge mon état second. Tendit que le sang continue de coule jusqu'à l'intérieur de ma paume avant de sans échapper pour atterrir sur mes cuisses.

Je jete, du coin de l'œil, un regard sur  l'autre écoulement de sang qui goûte sur mon épaules, le sang s'échappe de la plaie de mon front, je peut sentir le liquide encore chaud glisser sur l'arrière de ma joue.

Mes yeux que je devine exorbité fixe Col, accroupi devant moi, ses deux mains bien à plat sur mes genoux.

Ses lèvres bouche, les traits de son visage sont déformer par une colère noir, je sais qu'il engueule Driss.

Encore une fois.

Mes oreilles ce bouche, une seconde fois avant que les acouphène ne laisse place au sons de leurs voix.

- Va me chercher ta trousse de secours Driss, tout de suite merde !

J'entends les pas de Driss courir dans nos escaliers. Col reporte un regard sur moi.

- Bon. Sa main vient effleuré ma joue et je ferme les yeux pour ne pas le repousser, mes lèvres ce pince pour ne pas laisser échapper tous ses mots qui me brûle la gorge. Oh désolé, jte fait mal.

J'ai envie de lui dire, si tu savais...

Ma bouche s'ouvre, puis ce referme, mon cerveau fait un rapide calcule de la situation, une grande marche arrière pour mes noeurone encore sonné par le choque.

Je n'ai nul par où aller.
Je ne peut pas vivre dans le studio de mon père, non plu.
J'ai des dettes par dessus la tête.
Et quand je pense à toutes celle qui vont tomber sur mes épaules, je sens déjà leurs poids me déstabilisé.

Donc pas de quoi me payer une chambre, pour éviter la rue.

J'ai peur.

Peur que mon cotidien change, peur que Col et tout les autres me regarde avec pitié, dans le meilleur des cas, avant de me foutre à la porte, la tête basse de honte.

Que vont il penser de moi ?

Que je ne sais pas fermer ma gueule,
C'est sur et certain que les mortad ne m'adresserons plus la parole après cette révélation qui jugeront tous surment fausse.

Sans parler de leurs perte de confiance qu'il auront en moi, tout partira en éclat après ça.

ils ne voudront plus de moi ici, sous leurs toit. Il imaginerons que si je suis capable de balance ça, cette Putain de bombe au sein de leurs club, ils penserons surment que je ne serais pas capable de fermer ma bouche sur les activités du club.

Voudront t-il me supprimer, me faire disparaître comme ont gomme une erreur.

Avec cette révélation, ses simple mots, pourtant si difficile à prononcer, à révélé, va finir par diviser leurs groupe.

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