Chapitre n°9

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Je rêverais de te voir,
une dernière fois.
De te prendre dans mes bras...
Je te dirai à quel point,
J'ai été conne de le choisir lui.
Et pas toi !

Et toi,
qu'est ce que tu me répondra ?
Me prendras-tu dans te bras ?
....


Pdv Saul :

_ La porte claque derrière elle. Et je ne peut empêcher le soupir de s'échapper de ma bouche, ce que me fait remarquer Jordan.

- Alors, elle est comment ta p'tit soubrette ?

- Arrête un peux.

- Vus le soupir que tu as lâcher, j'en déduit qu'elle est à ton goût.

- Je touche pas aux employés. Encore moins à la bonne.

- OH, desuite les grands mot ! Alors c'est qu'elle doit être bandante à mort !! Je devrais passer lui montré mon cuir, elle sera sûrement impressionnée !

Je lève les yeux aux ciel.

- Et, quand compte tu te calmer, mon vieux ?

- Quand mes pieds serons sous terre ! Aller dis moi en plus, sur elle, fait pas ton radin !

- Hun. Je ne sais pas trop sa vie.

- Tu n'as pas discuté avec elle ?! Il me répond, comme choquer.

- Pas vraiment. J'avais pas mal de travaille, avec le soucis que nous avons eu, et Paloma, n'est pas très avenante non plus.

- ah... Ça va être dure pour toi, de l'approcher alors. Il rit. Paloma... Il prononce son prénom comme si elle était devant lui, et qu'il comptais la séduire. Tu passe à l'action quand ?

- Dans qu'elle langue je dois te le dire, Jordan. Je ne me tape pas les bonnes, et arrête tes conneries à la fin, merde !

L'humeur, d'une dure journée prend la place sur mon calme.

- Qu'elle le soit ou pas sa change rien, pour moi ou toi, c'est pareils ! Je grimace pour tenter de garder le peut de calme qu'il me reste en réserve. Après tout, un trou est un trou. Rie-t-il.

- Bien sur que si, ça, change tout pour moi. Je ne m'abaisse pas à ça avec ces gens là.

- Ah oui. tu es presque direct. Il coupe sa phrase. Irrité, il reprend. Et être amis avec un Biker c'est pas la même choses, peur être ?

- Bien sur que non. Je souffle, voûté sur le plant de travail. Tu ne nettoie pas la merde, toi. Mes yeux balaye la cuisine qui est plus que niquel. Et un  rie sort de ma bouche sans que je ne le contrôle.

- En quelque sorte si. Il me réprimende. Si nous mettons la main sur les batards qui tue ses pauvres filles, je devrais bien nettoyer toutes la merde derrière nous.

- C'est pas comparable.

- Si ! C'est la même choses, juste le contexte qui change Saul.

- Non ! Nous, nous connaissons depuis petit. Elle, je me pince les lèvres de colère, cette conversation me soûle. Elle n'avais qu'à simplement bosser à l'école. Ma langue fourge. Elle n'est qu'une sous merde.

- Putain. Il râle, et je peut l'imaginer grimacer. Tu es vache Saul.

- Non réaliste. Je reprend. Elle avais qu'à ce un trouver un vieux pète de tune. 

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