DILEMME

Chapitre n°12

Un malheur n'arrive jamais seul.

...

Chapitre non corrigé.

Pdv Saul :

_Paloma m'échappe, elle glisse le long du plan de travail, comme le ferais un crabe sur la plage, elle ce dérobé en glissant loin de moi.

Elle garde la tête basse, sa main est rigide d'une protection qui me m'alerte, elle la maintient en l'air sur le haut de sa tête, puis après un rapide coup d'œil qui ce veut discret, elle fini par abaissé cette barrière qui la protège.

Sa main reprend des mouvements beaucoup plus gracieuse, que je me surprend à analyser, ses doigts viennent mettre de l'ordre dans sa chevelure, elle remettre une mèche de ses cheveux, de son chignon  derrière sont oreilles.

Elle maintient toujours sa tête basse, je l'entend à peine respirer, je jurerait presque qu'elle l'a retient.

Elle fixe d'un regard absent le plan de travail devant elle puis elle ramène les paumes de ses mains dessus.

Les doigts tremblante, le dos courber, elle ferme les yeux, sa bouche s'ouvre puis ce referme, son corps fait de léger balancier.

Je remarque qu'elle ouvre un œil, pour le bifurquer vers moi. Voyant que je n'ai pas bouger, elle fini par délaissé la position que je jugerais presque de soumission.

Je fais un pas vers elle, toute la tristesse que je peut lire sur son visage, s'efface en un instant, dans un claquement de doigts silencieux, lorsque qu'elle entend le son de ma voix, je peut remarquer sont changement d'habitude.

Froide.

- Paloma, je crois que vous avez mal interprète mon geste.

Qu'est ce qui m'a pris !

- Non... Monsieur, May. Sa voix essaye de reprendre un peut de contenance. C'est-... C'est moi, je n'aurai pas du vous... Je... Vous pouvez... M'excuser...

Elle tente un sourire, un sourire qui sonne terriblement faux. Comme ci elle tentai de détourner la conversation, non ce n'est pas qu'une tentative. Elle ne veut pas que j'interfère dans sa vie, probablement.

Normal, après tous.

Elle reporte son attention sur le repas.

- Bon, je vais vous servir votre petit déjeuner dans votre bureau.

Je me décale pour la laisse passer, c'est peut ahurissant pour moi. Elle ne veut même pas que je m'explique sur mon comportement...

En me temps, que dire.

Elle glisse devant moi, à quelque mètre, sur la pointe des pieds elle ouvre les tiroirs en hauteur, attrape une tasse, une petites assiettes en forme de rectangle et un petit plateau, qu'elle dépose à toute vitesse sur le plan.

J'aimerais m'avancer, l'aide à préparer, mais les gestes mécaniques qu'elle entreprends, sont d'une réelle fascination.

Si ses cheveux avait été détacher il aurait virevolter sur la peau sensible de mon visage, son parfum aurait alors été bien plus prononcé.

Mes yeux ne quitte pas ses mains, qui verse le café noir dans ma tasse, elle la dépose par la suite sur un plateau ou elle incorpore une assiette remplis de petits sablés qu'elle a du faire sur le pouce je ne sais quand.

Elle attrape tout ce petit monde, elle ce retourne pour me faire complètement face, en un rien de tend, elle est devant moi.

Le visage transformer, elle a laisser place à une nouvelle Paloma.