Chapitre n°8

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Chapitre non corrigé

Les coups sont là,
pour gravé tes mots.

Pdv Paloma :

_La paume de mes deux mains moite, sers le bord du plateau, tout en appuyant, un de ses rebord sur mon ventre d'on la respiration fait bouger l'expresso emprisonné dans sa tasse blanche, toujours dans un équilibre instable sur le plat du plateau.

Je tente de trouver une respiration plus calme, plus régulière, mais c'est peine perdu, et je stress en avalant d'un pas lent les quelques mettre qui me sépare de mon but.

Arrive à cette grande porte, qui est celle de son bureau, je me stop.

Respire, respire...

L'air dans mes poumons ce bloque, il ce fait avaler, dans une marche arrière le long de ma gorge.

Je deglutie, pour relâcher la pression, je cale le plateau un peut plus sur mon ventre, l'entour d'une main solide et de l'autre : je toc à la porte.

Un petit toc, discret, du bout des doigts. Espérant que peut être, il ne m'entende pas.

C'est à peine audible, mais sa voix ce fait rapidement entendre, son ordre me ferais presque lâcher le plateau, de surprise. Et, je fixe la porte, la respiration chaotique.

- Entrez ! Pour la deuxième fois, il me l'ordonne d'un ton sec, pressé.

Je presse la poignet et rentre. Ma tête ce baisse comme par automatisme, mon regard analyse le sol, où j'y glisse  mes pieds, comme ci des obstacles invisible allait me faire chuté.

Mon regard ce releve finalement, pour regarder dans sa direction.

Il est là, toujours à la même place que tout à l'heure. Le regard appuyer sur ma personne, puis sur mes mains qui sont fermement fermés autour des ance du plateau repas.

Il tente de détaillé le contenu du plateau de sa place, ce qui me tend un peut plus d'appréhension.

- Hey ! Tu m'écoute ! Ce fait entendre une voix, transmise par un haut parleur devant Monsieur May.

Je sursaute, rattrapant maladroitement le plateau et son contenu, les dents serrer je tien le café du bout des doigts pour le maintenir stable pendant les turbulences. Un œil discret sur la pièce maintenant silencieux ou seul le bruit de la vaisselle provenant de l'intérieur du contenu de mon plateau fait du bruit en s'entrechoquent, me claque au oreilles.

Mes yeux tombé sur lui, mes joue rougissent lorsque je remarque sa bouche s'étirer dans un sourire qui ce transforme rapidement en éclat de rire.

Il rie ?!

- Je peut savoir ce qui te fait rire dans ce que je te raconte ! Le réprimende son interlocuteur.

Monsieur May stop tout éclat de voix, son rire ce meur, comme si nous avons trouvé le bouton off cacher derrière son dos et que nous avons appuyer dessus.  Son masque froid, peint ses traits de nouveau.

- Je te rappel Jordan. Il lâche, machinalement sans plus de détails, il appuie sur un bouton pour couper la communication.

- Heyey !! ES-.... Crie la voix, juste avant d'être couper.

Il colle de nouveau sont dos sur la chaise, et me regarde d'un nouveau regard acquisiteur.

La tête basse, de peur d'être réprimender j'avance vers lui.

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