Le concert des ATEEZ

Chapitre 7

Rapel de l'auteur : 

les dialogues écrit normalement seront en français !

 Les dialogues écrit en gras seront en corée !

PDV Clarisse : 

- Enfin prête à partir ? me demanda Fanny depuis l'encadrement de la porte

- Oui, lui répondis-je, je mets mes chaussures et je suis prête.

- Niquel on t'attend vers l'ascenseur.

Après une journée et une nuit entière enfermée dans cette chambre d'hôpital, j'étais enfin libre de partir. Et heureusement, j'ai vraiment cru que je n'allais pas survivre. Ils ont mis plus de 3 heures pour digérer tout ce qui m'était arrivé. Après cela, Almasa et Fanny ne m'avaient plus lâchée de peur que la moindre personne qui m'approche vienne à me tuer. Elles ont même insisté pour dormir à l'hôpital avec moi. Fanny avait dormi serrée contre moi dans mon minuscule lit, tandis qu'Almasa s'était endormie sur le fauteuil miteux de la chambre. Mathis et Mathieu, quant à eux n'avaient rien capté comme à leur habitude. Ils continuaient à me poser les mêmes questions en boucle, n'arrivant pas à se convaincre que c'était réel. Au final je n'avais pas eu une seconde de repos et je n'avais qu'une hâte, être enfin rentrée à l'appart pour m'enfermer dans ma chambre et dormir pendant les 3 prochaines semaines à venir.

Je jetais un coup d'œil dans la pièce, après avoir enfilé mes chaussures pour être sûre de ne rien avoir oublié. C'est à ce moment-là que je vis le petit papier plier en quatre sur la table de chevet à côté du lit. Je fronçais les sourcils, surprise de ne pas l'avoir vu jusqu'à présent. En même temps, je n'avais pas vraiment eu le temps avec ces 4 pots de colle. Je l'attrapais et le dépliais pour découvrir et lu le petit message gribouillé en coréen :

« Voici mon numéro, envoie moi un message une fois que tu es sorti de l'hôpital. Si tu es d'accord j'aimerais t'offrir un café à l'occasion pour me faire pardonner.

Rétablis-toi vite...

San ».

Il avait inscrit son numéro juste en dessous de son nom. J'ouvris grand les yeux après avoir relu plusieurs fois le message. San voulait aller boire un café avec moi. Ces trois derniers jours n'avaient aucun putain de sens. Je nu pas le temps de réfléchir plus longtemps à la question que mon téléphone se mit à sonner. C'était Almasa. Je me dépêchais de ranger le numéro de San de ma poche au côté de celui de Emma et courus rejoindre mes amis, ne voulant pas énerver Almasa encore plus et voulant surtout éviter une scène comme celle dans le hall de l'hôtel.

5 minutes tard, j'étais assise côté passager toujours en vie. Almasa était restée étrangement calme face à mon retard. Je soupçonne Fanny de l'avoir fait promettre de ne pas piquer une crise. Fanny monta place conducteur tandis que les autres s'installèrent derrière.

- Je peux savoir pourquoi c'est moi qui me retrouve assis entre les deux ? Demanda Almasa qui était compressée sur la place du milieu entre Mathis et Mathieu.

- Peut-être parce que je suis la seule à avoir le permis entre nous 5 et qu'après tout ce qu'elle a vécu, clarisse mérite d'avoir un peu d'espace et d'être à la place du mort, lui répondit Fanny tandis qu'elle quittait le parking de l'hôpital.

- Hé, moi aussi j'ai le permis, s'exclama Mathieu !

Fanny haussa les sourcils en jetant un regard un Mathieu depuis le retro.

- oui, reprit-elle, mais dois-je te rappeler que tu es privé de conduite par nos soins jusqu'à que tu ai relu entièrement le livre du code de la route car Monsieur à faillit prendre un rond-point à l'envers ?