Chapitre 7

321 7 5
                                    

Le test

École de sorcellerie Poudlard, 1991 :

Kathleen ouvrit les yeux pour constater qu’elle se trouvait debout au centre d’une petite pièce plonger dans un noir presque totale. A ses pieds, se trouvait quelques livres, jouets et des feuilles. Elle ne prit pas longtemps à reconnaître l’endroit pour l’avoir vu pendant de nombreuse années, elle était à Askaban. Peu de chose avait changeait comme-ci elle n’avait jamais quitté cette pièce et pendant un moment elle douta que ces derniers jours aient étés réels. Puis, Kathleen observa plus en détails sa prison et découvrit qu’en vérité des choses avaient changés. Les murs n’étaient plus parsemés de trou et tout était calme, bien trop calme, les cris, rire et pleure c’était tut même les rafales violentes du vent et les rugissements des vagues s’étaient enfuit. C’est ainsi qu’elle sut que quelque chose clochait. Le plus étrange était qu’aux yeux de la jeune fille, Askaban semblait encore plus cauchemardesque sous se silence pesant qu’elle l’était en réalité. Ça ne dura pas.

Bientôt des chuchotis lointain ce firent entendre comme semblant provenir des entrailles de la terre. Des sons terrifiants qui vous glacez le sang encore plus vite que les serments d’allégeance qu’entonnaient les mangemorts souvent le soir. Après ça tout se déroula vite, l’air s’alourdit et bientôt Kathleen ne put plus respirer correctement puis un bruit différent surgit. C’était celui du mécanisme d’une porte qui ne semblait pas avoir était ouverte depuis des siècles et qui du coup avait du rouiller. Après ce fut le un bruit énorme ressemblant à celui d’une porte claquer avec force contre un mur et puis plus rien que les chuchotis qui se rapprochait au furent et à mesure que l’air devenait froid et le souffle de Kathleen saccadé. Enfin, la porte de la cellule s’ouvrit dans un bruit strident et des sortes d’ombres se glissèrent sur les murs.

Kathleen sentit la peur la gagner lorsqu’une le bras d’une des ombres ressortit du mur pour essayer de le attraper le bras mais ne rencontra que le vide. Kathleen était trop loin. Une tenta sa chance à droite et elle eut juste le temps de se décaler mais dans son geste brusque trébucha ce qui laissa l’opportunité à l’une d’entre elle de la saisir. Occasion que l’ombre saisit en la saisissant par le cou pour la tirer vers le mur et essayer de la faire venir avec elle. Kathleen se débattit de toutes ses forces dans un premier temps mais bientôt les forces lui manquèrent et peu à peu elle se laissa entraîner alors que le désespoir la gagnait. Ses yeux commençaient à doucement se fermer quand une lumière vive apparut brusquement dans la pièce alors que le temps sembla se figer. Kathleen releva la tête au moment où une jeune femme apparut. Elle avait des émeraudes dans le regard et ses cheveux ressemblait à des flammes ardentes et sa peau blanche semblait briller à cause de la lumière. Elle tendit sa main vers Kathleen qui s’en saisit et s’extirpa des bras de l’ombre.

-          Qui êtes-vous ?

Un éclair de nostalgie passa dans les yeux de la jeune femme si vite qu’il était impossible de dire si ce n’était pas un mirage.

-          N’aie pas peur, ce ne sont que des représentations de ton esprit et tu peux contrôler ce qui ce passe dans ta tête. Sa croix était aussi douce qu’une caresse mais semblait venir d’aussi loin que les Ombres. Elle poursuivit : l’ombre craint la lumière.

Ce fut les seules phrases qu’elle prononça avant de disparaître comme elle était apparue de nulle part et tout redevint comme quelques secondes au part avant. Kathleen recommença donc à se battre pour se libérer mais c’était vain. Alors elle écouta la jeune femme rousse et se tendit puis ferma les yeux. Elle imagina une lumière aussi vive que celle qui entourait la jeune femme inondait à nouveau la pièce et les ombres disparaître peut à peut. Aussitôt, elle tomba sur les genoux au sol. Elle reprit son souffle pendant deux longues minutes avant de se relever, tout était normale sauf que la porte entre ouverte était maintenant grande ouverte sur une sorte de miroir. Kathleen se releva avant de s’approcher puis posa sa main à sa surface qui se liquéfia immédiatement à son toucher. Elle passa son bras dedans puis sa tête une fois sur que ça ne représentait aucun danger.

L'enfant de lumière...Notre seul espoir est entre ses mains (pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant