Tout a commencé le 19 Mars de l'année 2013. Il y avait une des plus grosse banque de la ville qui se faisait braquer. Mon père et moi étions à la rue depuis le décès de ma mère d'un cancer aux poumons... On vivait dans une petite ruelle à l'opposé de la banque ayant pour seul toit, une taule et quelques briques trouvées pour la faire tenir. Je m'en souviens comme ci c'était encore hier. Les voleurs sont venus se cacher dans notre ruelle; une assez bonne cachette pour dissimuler des personnes et du gros butin. Mon père s'est réveillé en sursaut sous les bruit des armes à feu de la police, allant voir le grabuge, intrigué avec les poing suintant de transpiration et de crasse, tandis que moi, je suis restée sous l'abri, tétanisée par la peur qui m'empêche de bouger ne serait-ce le petit doigt de pied. Pourtant, ce n'était pas la première fois que je voyais des gars de ce genre se camoufler dans ce petit passage mais j'avais un très mauvais pré sentiment installé dans mon corps. Je suis donc restée tout au bout dans le coin, à regarder mon géniteur s'éloigner de plus en plus de moi. La peur me bloquait la paroles et les mouvements. Je l'ai vu cette nuit là.... Je l'ai vu se faire abattre par le gang. Ils s'étaient disputés à propos de quelque chose d'insignifiant et le chef a profité de la faiblesse maladive de mon père pour lui administrer brutalement une balle dans le crâne. Je m'en souviens... Les morceaux volaient dans tout les sens et le sang coulait abondamment sur les pavés poussiéreux J'avais mis ma faible main sur ma bouche pour étouffer mes bruits mais ils se sont aperçut que j'étais là, semi-éclairé par leur voiture de fortune. L'homme a l'origine de tir s'est empressé de venir me voir , ricanant fortement d'une voix rauque.
Mater moi un peu ce qui a là ! Une pauvre gamine sans défense ! Que fais-tu ici ma jolie ? Tendant son bras vers moi
Il prit mon menton dans sa main et m'a fait relever ma tête pour que je puisse lui faire face de bas. Il ricane considérablement montrant ses dents en or pointu, dissimulées sous une barbe bicolore terne mal peigné.
Tu sais pas parler, attends je vais t'aider sale mioche ! Souriant mal sainement.
Il m'a frappé avec la cross de son arme jusqu'à temps que je lui réponde mais j'avais tellement peur que je ne pouvais pas sortir un seul bruit de ma gorge sèche. Mes larmes dévalaient mes joues pleines de blessures, me faisant tellement souffrir. Il continuait à me frapper au cotes accompagné des rires des autres, tous amusés par mon corps qui se tord de douleurs.
Et bien gamine ? Tu sais que ne pas répondre aux questions des gens est quelque chose d'inacceptable ! Levant son poing.
Il se remit à me battre et il en a eu marre au bout de trois coups supplémentaires. Il a posé son pistolet un peu plus loin derrière lui pour pouvoir atteindre son pantalon marron foncé. Je ne pouvais plus le regarder. J'avais tellement mal. Il continuait à me regarder avec son air mauvais, malsain tout en défaisant sa ceinture. Je ne bougeais pas, attendant le coup final qui allait arracher le peu de vie qui me restait... Ils se sont terrés dans le coin le plus sombre de la ruelle pour ne pas que les passant les remarquent. Le passage est trop isolée pour que des passants appellent la police. Je savais que ce qui allait m'arriver n'avait rien de plaisant. Je suis coincée, prisonnière des trois personnes qui m'entouraient. Un des gars m'attrape par les cheveux et me fait relever. Mon corps dépourvu de force pend dans le vide, pourtant je peux me débattre et partir en courant mais mon cerveau ne répondait plus. L'homme écrase ma tête contre le mur, ne sentant plus que la forte pression de celui-ci, m'écrasant effroyablement contre le mur. Ils riaient de manière méprisante; résonnant dans mon crâne. Ma vue se brouille, je vais perdre connaissance... Je reviens un peu à moi quand je sens des grosses mains me prendre par les bras. Je gémis de douleur, le seul bruit que je peux sortir de ma bouche.
Laisse-moi voir ce qu'on a là... Reniflant les goutes de morves qui coulaient de son nez froidement rouge.
Sa voix grave me fait frissonner de la même manière que sa main baladeuse qui relève ma robe en lambeau. Elle est guidé intentionnellement pour m'enlever le seul obstacle gênant pour lui, sois ma culotte qui "protège" désespérément ma partie intime... Je ne peux rien faire, je suis trop faible... Il reprend la parole, sa voix se faisant plus portante.
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Life Casino
RomanceMoi, Artemis, je suis la seule et unique femme qui travaille dans le casino. C'est bizarre je l'avoue mais on s'y fait ! Être entourée d'hommes depuis mon enfance ne me gêne pas plus que ça. Après tout, il est la pour veiller sur moi !