14 | 열넷 yeol nét

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Le nuit avait était insupportable pour le noiraud, il ne cessait de se répéter que ce n'était pas de la jalousie, que Minho mentait, mais au fond ça crevait les yeux.

Changbin était jaloux, et il avait peur de perde Minho pour une chose aussi futile qu'était « la jalousie ».

Le matin pointait le bout de son nez, et les petits yeux de Changbin avait du mal à s'habituer à la lumière.
Il avait du mal à discerner si c'était les rayons du soleil qui le réchauffait ou bien si c'étai-

Il se retourna complètement affolé mais il se stoppa en voyant le beau visage endormi de son Hyung, Minho était là, à côté de lui, et agripper à son torse comme un koala.

Changbin fit un sourire niais, il ne se souvenait pas avoir dormi avec le brunet pour la simple et bonne raison qu'il n'avait pas dormi avec lui, il avait dû venir le rejoindre de lui même le faisant tressauter de joie.

Mais en observant les traits si fins et gracieux du plus vieux, le cadet redirigea son regard vers les lèvres de Minho.

Ses lèvres.

Celles que son Hyung avait déposé sur sa propre bouche, celles qui lui avait procuré touts ces doux frissons. Il avait terriblement envie d'y regoûter, ho oui, à ce moment là, il ne désirait que ça.

Il désirait y regoûter, juste quelques secondes.















— Vas-y si ça te tente tant que ça. Minho avait ouvert les yeux et avait planté les siens dans les prunelles ténébreuses du noiraud.

— Hein quoi ?

— Je sais que tu veux m'embrasser.

Quoi ? Mais n'importe quoi ! Changbin se redressa complètement affolé par les dires crus de son aîné.

— T'as envie d'y regoûter.

— Mais qu'est ce que tu racontes. Les pommettes de Changbin était devenues rouges sang, il avait eu le cœur qui s'emballait car il pensait dur comme fer qu'il dormait.

— Tes yeux Changbin, tes yeux parlent à ta place.

— ...

— J'ai eu la même lueur de désir la dernière fois quand je t'es embrassé, alors vas-y je t'y autorise.

Le noiraud se releva mais se ravisa, il était uniquement vêtu d'un caleçon.

— Tu sais je t'es déjà vu sans.

— Putain mais arrêtes de lire dans mes pensées ! Paniqua-t-il sur un ton de colère.

Minho passa ses mains sur son visage en fixant le plafond.

— T'es mignon.

— Pfff.

— Tu es beau.

— ...

— J'aime bien ton caractère

— Grrr ... le noiraud sentait son cœur partir en looping double voltes inversées, il ne voulait pas y croire, il n'était que bon à se faire salir, insulter, violer, et surtout, abandonné.

— Tu as de belle lèvres.

— Tais-toi ... il serra les points.

— Tu sens divinement bon.

— Ferme-la ...

— Tu as la peau douce ...

— PUTAIN TA GUEULE !

— Tu as de beaux cheveux, Minho souriait, tu as un corps gracieux, Changbin serrait les points d'avantage avant de lâcher une petite larme, Tu vois Changbin, c'est ça ton putain de problème.

— Minho, ferme là.

— Tu es brisé.

— Minho ... les larmes dévalait présentement les joues du plus jeune.

— Quelqu'un t'as brisé.

— Minho ... tais toi je t'en supplie. Le noiraud se tenait la tête totalement paniqué et l'angoissé, ses souvenirs les plus lointains refaisaient surface.

— Cette personne t'as abandonné.

— Minho. Rappliqua-t-il durement en se retourna vers le brun.
























































— C'était Chan n'est ce pas ?

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𝙏𝙧𝙪𝙨𝙩 [MP] ; MinBinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant