S̷a̷v̷e̷ ̷M̷e̷ [J.Jk]

Chapitre 3

-MAIS QU'EST-CE QUE TU FOU ENCORE À DORMIR TU AS VU L'HEURE ?!

hein?

Je me réveille en sursaut et voit mon père devant moi, le visage rouge de colère

- je suis désolée je me dépêche...

Il leva la main sur moi sûrement pour me frapper, mais finalement il baissa la main

Père - je dois partir en voyage d'affaire, ne foutez pas la merde et ne faites rien qui me fera honte

Il sort de ma chambre en claquant la porte, je me lève et putain mon lit me manque déjà. Je suis désolé chéri de ne pas rester un peu plus longtemps avec toi. Je vais dans ma salle de bain et fait mes trucs et je m'habille enfin. C'est rapide pour m'habiller j'ai seulement un uniforme. Pas besoin de chercher quoi mettre.

Je descends dans le salon et aperçoit Taehyung en train de mettre ses chaussures.

Taehyung- t'es enfin réveillé j'ai faillit partir sans toi
—
Moi- t'es sérieux ! pourquoi tu m'as pas réveillée ?!
Taehyung- tu te souviens de la dernière fois que j'ai essayé de te réveiller et que tu m'as frappé
Moi - J'ai vraiment pas fait exprès...
Taehyung - heureusement

Il s'approche de moi et embrasse mon front.

Nous sortons de chez nous direction le lycée. Le trajet se passe tranquillement avec des rires et de la joie.

Taehyung - enfin débarrassé de ce boudin dit-il tout en s'étirant
Moi - pendant combien de temps ?
Taehyung - je crois deux semaines
Moi - il pouvait pas rester un mois ?
Taehyung - il voyage souvent donc peut être la prochaine fois

Nous arrivons devant le lycée, je vois Hwasa et Daehyun avec la bande de mon frère

Je fronce les sourcils en voyant un être humain non aimée par ma personne

Jeon Jungkook

Je ne l'aime pas vraiment, toujours à coucher à droite à gauche, devant derrière en haut et en bas.

Taehyung m'a déjà dit que jungkook était une bonne personne mais, je n'arrive vraiment pas à le voir du bon côté. Je le vois simplement comme un pervers égocentrique.

En parlant du loup, il s'approche de moi et me chuchote à l'oreille.

Jungkook - Toujours aussi bandante hein

Je le frappe à l'arrière de la tête sous le regard incompris de nos compagnons.