Chapitre 16

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Un frisson parcours mon échine, moi qui pensais qu'il était sûrement une bonne personne. Au final je ne fais que plonger dans cet enfer

Minho - je ne veux pas atteindre jusqu'au mariage pour te baiser
Moi - hein ?

Il pose violemment ses lèvres sur les miennes sans aucune délicatesse j'essaie de me débattre tant bien que mal, mais il est beaucoup trop fort.

J'arrive à lui asséner un coup dans son entre-jambe et parviens à me lever rapidement, je cours jusqu'à la porte, mais il m'attrape par les cheveux et me plaque violemment contre le sol

Mon crâne s'entrechoque contre le sol, je mets quelque seconde à retrouver une vision correct. Il se positionne à quatre patte sur moi, il me tient fermement le menton et me colle une gifler

Je porte ma main à ma joue, elle est brûlante

Moi - s'il..t..te p..lait.. laisse...moi
Minho - Ta gueule

Il déchire violemment mon pull et le jette à l'autre bout de la pièce, j'hurle pour qu'on viennes me sauver, mais personne ne m'entend, pas même mon père

J'en conclus qu'il doit être sorti

Je suis toute seule chez moi avec lui

Mes yeux s'embuent de larme, j'ai très peur de ce qui pourrait m'arriver

Pourquoi mon frère n'est toujours pas rentré ? Qu'est-ce qu'il fait encore dehors

Je me débats comme une sauvage en hurlant comme une folle.

Minho - continue de crier de toute façon personne t'entendra et ne compte pas sur les voisins vu qu'ils sont à plusieurs mètres ou kilomètre d'ici, c'est ça l'inconvénient d'avoir une grande maison

Il positionne mes deux poignets au dessus de ma tête et défait la ceinture de mon jean, je bouge mes jambes dans tous les sens pour le faire dégager mais rien n'y fait

Il enlève sa cravate et m'attache les poignets avec, il se lève rapidement pour aller chercher je ne sais quoi, j'essaie tant bien que mal de me lever et accours à ma porte

Le connard l'a fermé à clé et avec mes poignets liés c'est compliqué.

J'entre ouvre la bouche pour faire tourner la clé avec mes dents, j'entends le cliquetis

Une main se pose sur mon épaule

Il me porte en sac à patate et me jette sur le lit, avec mon pull déchirer il m'attache fermement les chevilles, je suis totalement impuissante

Je me maudis de ne pas avoir assez de force, il sourit, un sourire de psychopathe pendant que je pleure en silence, espérant toujours qu'on me viennes en aide.

Il m'enlève rapidement mon jean, je me retrouve en sous-vêtement devant lui

Moi - AIDEZ MOI crier-je de toutes mes forces
        - JE VOUS EN SUPPLIE A L'AIDE

même si je sais que personne ne m'entendra je continue à crier, pourquoi fallait-il que la maison soit vide aujourd'hui.

Si mon père était là est-ce qu'il m'aurait aidée ?

Non

Il n'aurait absolument rien fait

Il se lèche la lèvre en regardant ma poitrine et y pose sa main tout en ma malaxant, je ne me suis jamais senti aussi sale.

S̷a̷v̷e̷ ̷M̷e̷   [J.Jk]  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant