Chapitre 4

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Cela faisait plus de 2h30 que je feuilletait des livres et buvait des américanos glacé sans buts précis. J'étais perdu, perdu dans mes penssées. Je pensais à tout et à rien à la fois. Pourquoi m'avaient t'elles lâchées ? Pourquoi était elles parties avec eux ? Pourquoi ?! Dans quel but ? Pour me faire du mal? Je me posait tellement de questions inutiles que mon cerveau aller cramer ! Après une dizaine de minutes pendants lesquelles je me posait des multitudes de questions, je sombra dans un profond sommeil des larmes coulant le long de mes joues rougies par le froid des américano glacé. Quand je me réveilla, j'avais légèrement bavé sur mes cahiers et surprise, j'avais une couverture sur les épaules et de plus un petit mouchoir de soie ce trouvait devant mes yeux encore à moitiés endormis. Je regardas autour de moi pour voir si quelqu'un était là, mais le café était vide. En ne me posant plus qu'une seule question, je rassemblas mes affaires, réglas à la caisse mon dû et sortit du café avec toujours la même question en tête, qui avait posé cette couverture sur mes épaules, et qui avait essuyé mes larmes avec ce mouchoir de soie ? Cette question m'omnibulais tellement que j'en ai faillit oubliée d'aller au restaurant pour travailler. Je couru de toutes mes forces jusqu'à mon lieu de travail. Arrivée juste à temps, je me dirigea vers les vestiaire pour me changer. Ma tenue était très chic. Bon en même temps je travaille dans un 4 étoiles... Je mis ma chemise et ma cravate, enfila ma longue jupe noir et me recoiffa correctement. Puis allât rejoindre mes collègues qui étaient  déjà entrain de dresser les tables. Je m'inclina une bonne dizaine de fois pour m'excuser de mon retard puis aida mes collègues. Vient l'heure de l'ouverture, et comme tous les soirs nous fîmes complets. La soirée passait tranquillement quand tout un coup notre patron affolé, nous dis dans notre oreillette que le pianiste attendue ce soir pour accompagner les clients en musique avait annulé ! Le boss était tellement paniqué que je ne pus m'empêcher de lui dire que je savais jouer du piano depuis que j'ai 2 ans. Le patron me suppliât de jouer à la place du pianiste absent et il disait qu'il allait doubler mon salaire. J'accepta avec joie !C'était dix fois mieux que de rester debout à servir des plats ayant l'air succulent à des riches... Je retourna aux vestiaires me changea avec ma tenue de toute à l'heure et me dirigea vers le sublime piano à queue. J'ouvris le clapet et commença a jouer . Bien sur je ne jouais pas n'importe quelle musique, je jouait ''Butterfly'' des BTS. Et continua la soirée avec seulement des musiques des BTS. Et visiblement, le public appréciait ! Je reçu même quelques pourboires qui tous réunis me valait à une soirée de travail ! Il y avait au fond de la salle, un groupe de sept garçons qui appréciait particulièrement et me fixai tous le long de leur présence. Je me suis même demandés si il s'agissait de... Mais non c'est beaucoup trop absurde ! Faut que tu te calme ma vielle !

 Mais non c'est beaucoup trop absurde ! Faut que tu te calme ma vielle !

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Quand le restaurant ferma enfin, je rentra chez moi et comme tout les soirs où je travaille, j'attrapa de justesse le dernier bus. ''Ouf je l'ai encore eu ! Dis je dans un soulagement, Je me demande comment je vais faire si un jour je le rate!''. Après 45 minutes de trajet, j'arrive enfin chez moi . Je tape le code d'accès de la porte de l'immeuble puis j'ouvre l'appartement avec mes clefs. Je remarque les chaussures des filles rangées dans le placard mais j'en déduis qu'elles sont allées ce coucher vu que toutes les lumières sont éteintes. Sans un bruit et à la fois déçu et énervée de n'avoir pas vu mes colocataires de la journée, je vais dans ma chambre en fermant la porte derrière moi. Puis, quand j'entendis le le claquement du verrou, je me laissa glisser sur la porte et me repliât en deux. Quand je toucha le sol, je fondit en larmes. Je restas comme sa pendant une dizaine de minutes avant d'aller me servir un grand vers d'eau au salon. Quand, tout d'un coup, j'entendis mon ventre crier. C'est vrai que je n'avais pas mangée ce soir... Je pris alors le paquet de cookie sur le bar mais je me stoppa en prenant le paquet. ''Et ma ligne ? C'est vrai que je suis au régime!'' Je me répéta à voix basse. ''Tant pis!''. Je pris la couverture plaid du canapé, et monta la structure métallique pour accéder au toit où  je me posa sur un transat. Je mangeait des cookies en regardant le ciel étoilé. Là, je vis une étoile filante et je fis le vœux de ne plus jamais pleurer.

                                                                       

                                                                              A SUIVRE !!

                                                                              A SUIVRE !!

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Un décès pour une rencontreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant