Chapitre 38

1.2K 93 33
                                    

(Quand j'ai écris ça la première fois, j'avais pas lu le manga depuis un moment, du coup les trucs sont un peu faux, mais je me vois pas les changer, alors... Soyez indulgents svp x) Comment s'appele la môman de Shoto svp? Ça aussi je me souviens pas 😅
Bonne lecture~ )

PDV Shoto :

Je viens de montrer sa chambre à ma mère, et elle a l'air super heureuse de vivre sous le même toît que nous.

Cela fait tellement longtemps qu'elle n'est pas sortie, je la plains...

Elle est restée en face de Yuki pendant une binne dizaine de minutes, à dire qu'il était trop mignon, qu'il ressemblait à un ange et son sourire à un rayon de soleil.

J'en veut à mon père pour ce qu'il lui a fait, ce n'était pas de sa faute, mais celle de mon père, qui l'a mise dans cet état.
Surtout qu'après avoir trouvé le moyen de la faire interner, il l'a maintenue enfermée dans un endroit qui ne l'aidait pas, même le contraire.
J'ai du prendre des mesures, quand j'en ai eu les moyens, pour la faire sortir de cet hôpital psychiatrique, qui était payé par mon père, et je l'ai mise dans un autre, qui l'a vraiment aidée.

(Je voua ai dit, je me souviens plus bien, alors chuut.)

Maintenant elle va bien, et elle est heureuse, c'est tout ce qui compte.

. . .

-Bon, on va à la salle à manger? Je commence à avoir faim moi! dis ma mère en jetant un regard aimable à Izuku.

Ce dernier a insisté fermement pour faire le repas, probablement pour impressionner ma mère.
Si ça peut lui faire plaisir, je ne m'en plaindrai pas, il commence tout juste à retrouver le sourire, et à arrêter de me fuir.

On s'assied à table, Izuku discutant toujours aussi gaiement avec ma mère.
Ma mère est en bout de table, je suis à sa gauche, et Izuku est en face de moi.
Yuki est au lit, il a mangé un peu avant nous pour ne pas se coucher trop tard, ce n'est qu'un bébé après tout.

Soudain, Izuku arrête son débit de parole, et se tourne vers moi, interrogateur.

-Qu'est-ce que quoi? Désolé, je n'écoutais pas...

-Shoto, mon chéri, tu veux que je te serve?

“Mon chéri”!? Il joue à quoi?

Ma mère prend mon assiette devant moi, et la lui tends.

-Je crois que Shoto est dans la lune ce soir. Tiens, tu peix le servir, dit-elle avec un petit sourire.

Et ils reprennent leur joyeux dialogue, m'oubliant quelque peu. Cela dit, cela ne me dérange pas de ne pas avoir à parler.
Ils parlent tous deux autant l'un que l'autre.

PDV Izuku :

Shoto a l'air tellement sérieux...
Nous avons déjà commencé à manger, mais il reste pensif et ne touche pas à son plat.

Peut-être est-ce le surnom un peu plus tôt?
J'y étais un peu contraint...

Quand il fait cette tête aussi sérieuse, je n'ai qu'une envie : le taquiner.

Je retire doucement une de mes chaussures sous la table, et je viens toucher sa jambe de mon pied.

J'aperçois un léger frémissement le long de sa nuque, puis il fait comme si rien ne s'était passé et entame -enfin!- son assiette.

Mais il a toujours cet air si concentré...
Je remonte mon pied le long de son tybia, avec croise son regard légérement décontenancé.

Puis il retourne à sa nourriture.
Pourquoi fait-il semblant de ne rien ressentir!? On est liés, je sens très bien qu'il est troublé, cet idiot!
Désespérant...

Est-ce que je le provoque plus loin, ou j'arrête?

Je commence à remonter le pied le long de sa jambe, le carressant doucement.
Je ressens toutes ses émotions, qu'il n'arrive pas à camoufler tellement il est troublé.

Il est en colère, juste un peu, et il cherche a savoir ce que je fais, son esprit est en ébullition.

J'atteind doucement son entre-jambe, et avant qu'il comprenne ce que je fais, j'appuie dessus, lui faisant lâcher un glapissement.
Il ramasse la fourchette qu'il a fait tomber dans son assiette, et me jette un regard de défi.

Je sens de l'amusement, en plus de la colère qu'il avait avant.

Je parle toujours à sa mère, tentant de ne pas me compromettre dans mes actions.

J'appuie doucement du bout du pied, et le voit glisser une main sous la table.
La lueur de défi dans ses yeux est de plus en plus présente, et il saisit ma chrville fermement, me faisant presque mal.

J'allais répondre à une question de sa mère, quand je sens une caresses sous mon pied.
Oh non pas ça...

Je me mord la lèvre pour le camoufler, mais il me chatouille, et je finis pas exploser de rire, m'attirant le regard intrigué de sa mère.

Lui aussi me regarde bizarrement, mais je vois bien au fond de ses yeux qu'il se fiche de moi.

-P-Pardon, je vais aller aux t-toilettes, bégayai-je entre deux gloussements, avant de retirer vivement mon pied.

Ça m'apprendra à lui faire du pied!

Trahison impardonnableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant