Un Yakuza pas comme les autres...

La phrase de trop.

PDV Sanji :

C'était sans doute le réveille le plus difficile de toute ma vie. En réalité, j'ai terriblement bien dormi dans ce gigentesque lit tout moelleux, et j'ai pas eu si chaud que ça cette nuit, c'était très agréable. Nous nous sommes endormis très tard Zoro et moi. On a couché ensembles toute la nuit, et l'état de mon corps est actuellement brisé en milles morceaux. Le pire c'est que j'étais déçus de ne pas avoir été réveillé à côté du Yakuza. Étrange sensation.

Mais attend... Il est quel heure là ? Je dois me lever pour préparer son petit-déjeuner !

Dès que je commence à me redresser, mon corps retombe instantanément sur le lit. J'ai beaucoup trop mal... mon dieu. Mes jambes refusent de bouger plus. La douleur est presque insupportable.

Après quelques tentatives, j'arrive enfin à me mettre au bord du lit, me relevant doucement. Je grimace énormément en me mettant enfin debout.

Putain Alleluia !

Je remet mon kimonos vite fait, en retenant mon bassin à l'aide de ma main. Je dois être tout décoiffée mais tant pis. Je vais faire tout mon possible pour pas croiser les autres. Si ils me voient dans cette état, ils vont avoir des doutes.

Et je ne veux surtout pas qu'il imagine quelques choses de suspect.

Je traverse le grand couloir, mettant ma seconde main sur le mur. Putain il n'est pas aller en douceur ce Marimo perverti. Mais bizarrement, je n'ai plus cette fatigue persistante. C'est comme si tous ça c'était envolé d'un seul coup. Tant mieux, j'ai repris du poil de la bête et maintenant je pourrais engueuler ce Yakuza de merde.

J'ai eu beaucoup de chance, je n'ai croisé personnes. Heureusement putain... j'enlève le kimono en allant dans ma salle de bain. J'allume la lumière en m'enfermant. Dès que je passe le miroir, mon visage se pâlit.

- C'est... C'est quoi ça ?!

Je suis sûr qu'enfin de compte c'est juste une putain de pieuvre à la place d'être qu'un moitié Dragon moitié serpent !

Fais chier, le reste de mon corps est encore pire que les précédents. Quand je le vois, je lui mettrais mon pied dans sa vieille gueule de cactus.

- En moins ils seront que tu es cas moi.

Pourquoi suis-je entrain de rougir fasse à ce qu'il m'a dit ?!

Je dois me calmer putain.

Je me douche à l'eau froide, pour me réveiller et me remettre les idées en ordres, même si je pense que ça ne marchera pas. Je suis tellement troublé par ce qu'il s'est passé l'autre soir..

Une chose est sure, c'était qu'une nuit. Et plus jamais je le ferais avec lui.

À la fin de ma douche, je me sèche rapidement en sortant de la salle de bain, je me met une chemise mais malgré tout mes efforts, on voit une trace violette. C'est un homme mort, je vais de décapité pour le faire cuire à la casserole !

Quand j'ai finis de me préparer je vais directement en cuisine.

- Sanji ? Je haute de surprise en entendant la voix d'Antoine.

- Bonjour Antoine. Le souriant faiblement.

- Salut. Venant vers moi. On dirait que tu vas mieux, Chopper a fait du bon travaille.

- Eh bien oui oui... frottant ma tête. Chopper est un excellent médecin.

- Si tu lui dis ça, il va se mettre dans tout les états en t'insultant, alors qu'au final il sera au ange. Rit-t'il.