Chapitre 9

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PDV Externe

Les légers rayons de lumières, qui s'échappaient de la fenêtre venaient caresser la peau de Midoriya.
Ainsi il se réveille tel un petit rongeur ressorti de son hibernation.

Cependant, par rapport aux réveils de tout les jours depuis sa naissance, jamais il n'en avait eu un aussi chaleureux.

Il était encerclé par les bras protecteurs de Bakugo, qui observais son petit protéger depuis bien quelques minutes.

" Bakugo - Tu es réveillé ? "

Dit-il d'une voix douce.

Le destinataire de la question prit encore quelques secondes à immerger de son sommeil, il se demandais aussi comment se fait-il qu'il était dans le lit de son ami d'enfance.

Il retrouva enfin ses esprits, marmonnant comme à son accoutumé des paroles indescriptibles. 

Cette action provoqua un léger rictus à Bakugo, qui admirait la scène en se mordant sa lèvre inférieur.
Car oui, il trouvais juste craquante la façon dont le petit réfléchissais.

Celui-ci releva légèrement la tête plongeant ses magnifiques yeux émeraudes dans ceux qui étaient rubis. Se dévorant du regard tout en transmettant un message.

À vrai dire, ils se disaient :

" Midoriya - Je me souviens d'hier.

Bakugo - Tant mieux."

En quelques regards, ils pouvaient exactement se transmettre des détails importants.
Bakugo fit remonter une de ses mains jusqu'aux cheveux touffus qui se présentaient à lui, tout en les caressant, il dit d'une voix inquiète :

" Bakugo - Comment tu vas depuis... détournant le regard il reprit sa phrase ... hier ?

Midoriya remonta alors sa main sur la joue de son tendre "ami" tout en le caressant, pour le confronter d'un regard remplis de sérénité.

Midoriya - Je vais très bien. Ne t'en fait pas. "

Puis, le plus petit recolla son visage aux pectoraux contre lesquels il avait dormis, tout en écoutant les pulsations du cœur qui s'accélérait face au rapprochement de Midoriya.

Les deux savaient que l'heure de se lever était déjà arrivée. Par contre cœur, ils se séparèrent.
Bakugo donna ses vêtement les plus petits à Midoriya, qui bien sûr restaient trop grand.
Mais l'explosif pensa que cet accoutrement le rendait en quelque sorte sexy.

Puis, ils descendaient l'escalier sans s'échanger un seul mot.
Laissant le doux sons des rouges-gorges qui se trouvaient à l'extérieur bercer leur début de matinée.

Cependant, un fois descendu en bas. L'explosif reprit sa rage habituelle constatant les tâches d'alcool aux sols, les bouteilles qui traînaient, des habits ornés les meubles ainsi que quelques convives dormaient dans un profond sommeil.

Claquant du pied, Bakugo retenait sa colère pour ne pas effrayer son cher Deku dès la matinée.
Celui-ci lui attrapa la main, le dirigeant à l'extérieur.

" Midoriya - Attend-moi je vais chercher quelques chose. "

Il rerentra alors, ressortant avec sa veste sur les épaules.

" Midoriya - Allons dans un café. "

C'est ce qu'ils firent, ils étaient dans un petit café spacieux. À la décoration reposante.
Bakugo commenda un café noir, dont la tenance en goût était semblable à son humeur une vingtaine de minutes auparavant. Bien évidemment avec une gaufre qu'il engloutis en quelques secondes.
Quant à lui, Midoriya obta pour un chocolat chaud accompagné d'un donuts.
Une ambiance vivifiante s'installa alors entre eux, échangeant de tout et de rien.

" Bakugo - Alors tu te souviens pour hier ?

Midoriya - Oui ...

Dit-il tout en rougissant.

Bakugo - Tu es sûr que ça va ? Tu as pas mal ?

C'est alors que Midoriya posa sa main sur celle de Bakugo - qui était posée sur la table - tout en lui caressant les doigts pour les entremêlés.

Midoriya - J'ai eu un peu mal en me levant mais je t'assure tout vas très bien. "

Il prit alors un sourir mielleux tout en plissant légèrement les yeux, de quoi faire craquer Bakugo.

Une fois leurs déjeuner prit, les deux compères rentraient côte à côte dans le foyer de Bakugo.
Sur le chemin, il prit un jus d'orange qui sois disant est : " fait pour les vrais héros !"
De quoi ravire la bombe ambulante.

Mais, la réalité reprit vite le dessus.
Alors qu'ils discutaient Midoriya s'accroupit alors ses mains tenant son crâne. Ses yeux étaient écarquillés, son visage représentais la souffrance.

Bakugo paniquant lui demandais ce qu'il avait, prêt à crier à l'aide.
Seulement le jeune se releva, des gouttes de sueurs perlaient sur les côtés de son crânes.
Prenant un visage rassurant, pourtant Bakugo savais qu'il allait mal.

Entre deux pas, Midoriya reprit vite la raison expliquant au grand dans un souffle de douleur que sa tête lui faisait terriblement mal.
Le grand compris alors que c'était la connu et fameuse " gueule de bois " qui prenais le dessus sur Midoriya.

Ses doutes furent validés quand le petit se mit à courrir pour se réfugier vers un buisson. Rejetant les produits ingérés le matin même et la veille.
Bakugo lui caressais le dos lui soufflant des "ça va aller" ou bien "tien le coup Deku".

Il prit alors la résolution de courrir à la pharmacie la plus proche pour trouver quelques médicaments.
Rassurant avant sa requête Midoriya de patienter quelques minutes.

Il revint alors avec un petit sac dans la main contenant une boîte de petits cercle qui fit énormément de bien à Midoriya.
Sur le chemin, il avait acheté une boisson et de quoi mangé une fois que le jeune se sentirai mieux.

Une fois rentré dans la maison des Bakugo, celui-ci nettoya une bonne partis de la saleté laisser la veille.
Le peu de gens qui s'étaient endormis et dont étaient resté allonger contre le sol avaient ramassaient leurs vêtements tout en repartant.
N'aidant en aucun cas l'hôte de la soirée.
Ce qui le mit bien évidemment dans un transe.

Pendant une bonne partie du matin, Midoriya était collé à la cuvette des toilettes éjectant tout ce qui traînait au fond de lui.
Quant à lui l'explosif avait fini de tojr nettoyer et ranger, la maison était comme neuf.

Ce fût qu'à onze heure que Midoriya fut totalement rétablis, débordant à présent d'énergie.
Seulement un chose devait être mise au clair.
Quelques chose dont n'avait pas parler les deux camarades de toutes la matinée.

La question était :

" Bakugo - Deku, qu'en est-il de notre... rah DE NOTRE RELATION ?"

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