Chapitre 3: Sa maladie

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Après nos balades, ma meilleure amie me laissais devant mon grand portail et rentrait chez elle, j'ai couru tout raconter à ma mère. Je luis racontais tout en détails et elle m'écoutait attentivement. J'avais constaté que chez ma copine tout est très différent de chez moi. Là-bas ils sont plusieurs, elle a 2 grands frères aînés ensuite vient sa grande soeur et elle, elle était la junior de sa famille , c'est pour ça que sa mère la dorlotait autant. Sa mère contrairement à la mienne était très rarement maquillée, elle ne le faisait  que pour des cérémonies, à la maison elle portait constamment des pagnes ou des vêtements en tissu et elle était grosse pour son jeune âge, . Or que ma mère ne portait que des vêtements cours à la maison, comme des petites culottes et des crop-top et quand elle sortait, elle m'éttait des robes ou des jeans très moulant. Dans la rue, les jeunes adolescents  sillonnant avaient tendance à me dire <<ta mère tourne le niche>> ou << Là elle s'en va pour un match>> mais  je ne comprenais rien de leur argot.

C'est ainsi qu'un jour où j'étais toute seule, et que je m'ennuyais à mort, j'eu décidé de m'occuper avec tout ce qui était en ma portée. Chez moi il n'y a  pas de télévision, on écoute le journal à la radio ,par contre j'ais un ordinateur dont j'ignore la manipulation, il comporte tellement de boutons. Je fouillais alors dans les meubles du salon, quand je suis tombée sur des documents médicaux et le nom de ma mère y était inscrit. Je me mis alors à le lire, j'avais bien compris qu'elle était malade mais je ne comprenais pas de quoi il s'agissait, il y était écrit qu'elle est stérile et qu'elle souffre de " nymphomanie". J'ignorais ce que cela signifiait mais j'ai sû pourquoi je n'avais pas de petit frère ou sœur.
Je suis allé sur le net, pour mieux comprendre ce mot si complexe et l'on fini par tout m'expliquer, j'avais fini par comprendre pourquoi tant d'hommes dormaient avec elle, en revanche je n'étais pas étonnée, loin de là. Je commençais par comprendre petit à petit toutes les scènes qui s'étaient déroulées à la maison.

J'avais  arrêté l'école en classe de 5ieme année, jusqu'à ce jour je restais chez moi, ma meilleure amie m'écrivait via des réseaux sociaux parce que sa mère lui avait "interdit de fréquenter des filles déscolarisées", malgré tout je ne l'envoulait pas, après avoir redoublé plusieurs fois, cette année elle devait passer son brevet d'étude du premier cycle (BEPC) et je l'encourageait comme je pouvais sans pour autant lui conter tout ce qui se passait chez moi.
Une  fois, vers 23 heures , j'étais allé uriner et en passant dans le couloir j'entendais des bruits assez forts provenant de la chambre de ma mère, j'ai cru qu'il lui était arrivé quelque chose de grave, je me précipitais alors vers le poignet qui ne souvrait pas tandis que les bruits s'accentuaient. À un moment je me suis calmé et en prêtant attention ce n'était pas des appels à l'aide mais plutôt des  bruits de plaisir, ma mère suivais souvent des films qui manquent de conversation , c'était sûrement ça! En plus ce soir, elle ne dormait pas seule, les bruits étaient alors si intenses qu'elle ne m'entendait même pas tôquer ou peut-être qu'elle m'ignorait.
Après m'être remémoré ces souvenirs, tout était plus clair dans mon esprit, pourtant rien ne me  paraissait toujours louche , mais il restait des zones d'ombres.

Le soir, à son arrivée, je lui ait fait asseoir. J'aurai voulu lui raconter mes découvertes et lui poser quelques questions sur sa stérilité mais elle était accompagné de Raïd, tous deux me regardaient de hauts en bas avec une certaine concentration... Raïd se rapproche de moi.
_ Tu as bien grandi depuis le temps...
_ Effectivement ! Dis Mirabel. Mais attention elle est fragile, pas de fourrage!
(Ils se mirent à rigoler, mais je ne comprenais toujours pas ce qui ce passait.)
_ Que ressens-tu?
_ Je ne saurai le décrire mais j'ai comme un noeud dans le ventre.
(Et encore des sourires qui ne saissaient plus)
_ Tu sais... Tu es fragile et comme tu as grandi, maintenant tu sauras comment je gagne mon argent.
Raïd m'embrassa, je ne m'y attendais pas, c'était la première fois et c'était assez étrange, il continuait et sa main ne saissait d'aller plus loin  pendant que ma mère était là, me regardant. Dans mon excitation je l'entendais dire:
_ Cet enfant nonchalant, elle ne sait donc rien faire! (Rire narquois)
J'étais comme transporter dans un autre monde, sur moi, il n'y avait plus que de la sueur et de la bave, je ne contrôlait plus mon corps et  n'avait aucune idée de ce qui se passait, du moins ça me plaisait, sans trop savoir comment, je me suis assoupie sur le canapé.

A mon réveil,  je trouvai une liasse d'argent sur la table basse, près de cents milles francs CFA avec un mot écrit << cet argent est à toi>>. Je ne savais plus exactement ce qui c'était passé mais ce que je savais c'est que j'avais suffisamment d'argent pour me faire plaisir. J'allais au centre commercial avec mon chauffeur et y effectuait tous mes achats et depuis, c'était tous les soirs pareils, mais avec différents hommes.

J'ai tué ma mèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant