chapitre 1

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Dans le château un soir d’hiver la fête bâté son plein. Les guerries buvaient leur breuvage et s’engorgeaient d’alcool. Leurs épouses dansaient, ainsi que les volés. Les volés femme célibataire, ancienne esclaves devenue libre.
Sur son trône le seigneur écouté son frère parlé de la bataille nouvellement gagné.

Falko : Qu’elle tête d’enterrement tu fais seigneur, nous avons pourtant gagnés.

Edward : Arrêt de m’appeler seigneur je te l’ai déjà dit !

Falko : Cher frère, tu es le seigneur de ses terre, l’as-tu oublié ? Je suis ton cadet, je dois donc me plier à ta volonté.

Edward : Oui mais inutile de m’appeler seigneur. Que les volés et épouses le fasse ainsi que les guerriers mais pas toi !
Ça m’insupporte.

Falko : Je me demande bien ce qui ne t’insupporte pas ! Tu es d’une humeur ses dernier temps.

Edward posa son regard sur son frère.

Edward : Que veut tu dire par là ?

Falko : Plusieurs volés rêve de partager ta couche et tu n’autorise aucune de ses femmes à t’approcher.

Edward : Les volés ne m’intéresse pas !

Falko : Les femmes non plus !

Edward : Tu devrait retourner voir Dita au lieu de parler avec moi !

À ce moment là, Dita, une ancienne esclave, devenu volés se mit sur les genoux de Falko, un verre d’alcool à la main.

Dita : Vient me divertir je m’ennuie sans toi.

Falko : Inutile de me le répéter femme, je viens.

Il se tourna sur son frère.

Falko : Tu devrait l’oublier chère frère.

Edward n’u pas le temps de lui répondre que Falko et Dita partirent ensemble. Edward songea à ce que son frère lui avait dit. Il toucha la cicatrice qu’il avait sur le visage en songent à Emma. Quand la porte du château s’ouvra brutalement. Un vent froid parcouru la pièce, Edward se leva et alla à la rencontre de celui qui avait osé entrer chez lui. Un vieille homme se tenait debout accompagné d’une femme attacher par les poignets à une corde qu’il tiré. On ne pouvait voir son visage, car elle porter une cape. Le vieil homme fît une révérence à son seigneur.

Edward : Qui êtes-vous ! Et que faite vous dans ma propriété !

Il parler de sa voix grave et la musique cessa d’un coup. Tous les guerriers, épouses et volés se retournèrent.

… : Bonsoir mon seigneur, je ne souhaiter pas vous importuné. Je souhaitez-vous ramener une esclave.

Edward ricana fort.

Edward : Une esclave ! Tien donc ! Ne croit tu pas que j’en ai assez vieille homme !

… : Pas comme celle que je vous ramène mon seigneur.

Edward : Vraiment ! Est que fait-elle de spéciale ?

… : Ce n’est pas ce qu’elle fait qui est important mais ce qu’elle est.

Edward fût intrigué mais sa patience avait des limite, il était fatiguer et ennuyer. Il s’approcha d’elle, elle recula machinalement sans relever la tête. Il pût apercevoir qu’elle serrer les mains, ses poignet en sang.

Edward : Ton esclave est abimé vieille homme, que veut tu que je fasse d’une telle chose ! Elle ne vaudrait pas une pièce d’or.

Le vieille homme s’approcha de la jeune femme et lui enleva sa cape d’un coup. Ses long cheveux rouge feu se déployait devant tous. Malgré qu’il y avait quelques feuille coincé à l’intérieur, ses cheveux étaient magnifique. Elle ne releva toujours pas la tête mais dans la salle des murmure se firent entendre. Une telle couleur de cheveux était légendaire et personne n’en n'avait ici. Il s’approcha d’elle et lui força à relever la tête avec son indexe. Quand ses yeux croisèrent les sien un courent électrique et savoureux l’envahie. Des longs cils noirs et des yeux gris, une bouche pulpeuse rosé. Il crispa sa main.

Edward : Qu’elle est ton nom esclave ?

Elle frémit, sa voie était rocailleuse et effrayent. Elle pouvait avouer qu’il avait un regard fascinent. D’un noir ténèbres, des cheveux noir, un nez bien droit et une légère barbe. Il avait une cicatrice effrayent sur tout le visage, elle baissa la tête.

… : Elle se nomme Elma et elle ne parle pas mon seigneur. Ce sera un plus pour vous si vous désirez la punir !

La punir, rien que l’idée qu’on puisse l’abimé l’énerver encore plus qu’il ne l’était déjà.

Edward : Elle ne parle pas, vraiment ?

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