Le Seigneur écarlates

chapitre 17 + fin

Hello voici la fin de notre tendre histoire je vous posterait demain la future histoire "Une fabuleuse mésentente"
XoXo Jane

Edward: Nous allons faire un voyage, dans le village voisin. Après cela nous nous dirigerons vers la plage, nous rejoindront un vieil ami.

Elma se demanda si elle serait vendue à son vieil ami, il lui disait cela sans aucune émotion. Elle savait à ce moment-là, qu'il ne l'avait jamais aimé.
Edward avait pris un cheval et avait placé Elma devant lui. Elle s’accrocher à lui pour la dernière fois, elle posa sa tête sur son torse et profita de cet instant. Elle  savait que ce serait probablement le dernier.

Edward:  Est-ce que tu vas bien ?

Elma lui répondit enfin.

Elma: Oui.

Edward : Je suis si content que tu me parle de nouveau.

Elma releva la tête pour le regarder, il plongea ses yeux dans les siens. Elle était si belle et si fragile. Il savait qu’elle était triste, il n’avait pas envie de la torturer mais il voulait la punir pour avoir douté de lui.

Edward :  Nous arrivons au village, reste proche de moi et ne t’éloigne pas.

Elma: Et toi… Où vas-tu ?

Edward :  J’ai une affaire à régler. Tu peux, si tu le souhaites, faire un petit tour dans le village.

Elma acquiesça, elle profiterait de ses dernières heures de liberté avant d’être vendu. Elle fît un tour dans le village et s’arrêta dans un petit stand tenu par une vieille dame. Il y avait de très beaux bijoux. Il y avait une petite bague avec un soleil en fer forgé et au milieu une petite pierre blanche. Elle était extrêmement belle et elle ne pût s’empêcher de l’essayer avec un petit sourire. Quand soudainement, elle sentit le bras d’Edward la prendre par la main.

Edward :  Nous devons y allaient.

Elma acquiesça, il lui demanda de marcher en avant et lui dit qu’il la rejoindrait dans quelques secondes. Elle ne posa pas de questions, elle décida de faire ce qu’il lui demandait. Elle était extrêmement mal, elle se sentait tellement vide à l’intérieur d’elle-même qu’une larme roula le nom de sa joue. Elle l'essuya très rapidement avant qu’il ne la vois. Durant le trajet du retour, Elma été extrêmement attristée et Edward n’en pouvait plus de la voir de cette façon. Quand ils s’arrêtèrent vers la plage, il l’aida à descendre du cheval. Le coucher de soleil était extrêmement beau. Le ciel était rougeoyant et les reflets sur la mer étaient absolument époustouflant. Ils firent quelques pas sur le sable chaud. Elma s’arrêta un instant, quand elle vit au loin un vieil homme. C’était probablement lui, elle fut rassurée quelques instants. C'était une personne âgée qui lui ferait probablement moins mal qu’une personne plus jeune. Soudainement, Edward se mit face à elle et prit son visage en coue, il caressa sa joue avec son pouce. Elma ferma délicatement les yeux. Même si elle ne comprenait pas ce geste, elle le savoura. Une larme roula le long de sa joue qu’il essuya.

Edouard:  Si tu savait à quel point je t’aime.

Elma ouvrit les yeux stupéfaite, avait-elle bien entendu ? Où était-elle en train de rêver ?

Elma: Quoi ? Qu’est-ce que tu viens de me dire ?

Il colla son front au sien.

Edward : J’ai dit que je t’aimais, bien plus que tu ne peux l'imaginer.

Elma: Mais… Je…

Edward: Tu as douté de moi, de l’amour que je te porte. C’est la raison pour laquelle, je t’ai emmené ici. Je t’ai fait croire des choses. Jamais, je ne te vendrai. Jamais je ne pourrai vivre sans toi.

Elma: Mais enfin…  Je suis une esclave.

Edward : Non tu n’es pas une esclave, maintenant tu seras ma femme.

Il pris quelque chose dans sa poche et sortie la petite bague qu'elle avait vu  dans le petit village. Voilà pourquoi il lui avait demandée de partir en avant. Il la glissa à son annulaire.

Edward : Je veux que tu sois mienne, aujourd’hui et pour toujours.

Elma: Je… Je t’aime.

Edward l’embrassa, et l’emmena voir le vieil homme qui célébra leur mariage sur la plage. C’était le plus beau jour de leur vie. Edward et Elma eurent plusieurs enfants, et la fameuse bague qu'Edward avait offert à Elma fût offerte plus tard à sa fille, qui en fit de même à sa fille. C’était une bague d’amour, une bague avec sa propre histoire qui se transmettait de génération en génération.

Fin