Demandez, et l'on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira, Matthieu 7 verset 7. C'était le seul verset de la Bible que j'avais en tête après toutes ces semaines d'enseignement biblique.
Avant le début de cette histoire de Corona et de confinement partiel, la hiérarchie supérieure de notre Eglise avait affecté un nouveau pasteur à notre église. Nous étions plus d'une à fantasmer su ce pasteur, non à cause des paroles pénétrantes et touchantes de l'évangile du Christ qui sortaient de sa bouche mais à cause de son extrême beauté.
Étant nouveau dans notre ville, il aménagea dans la même maison que moi, on était voisins directs puisque sa chambre était juste à côté de la mienne. Un jour, tellement je m'ennuyais que j'avais agrandit un trou du mur à l'aide d'un couteau de cuisine pour avoir une vue sur son sallon. Il était très régulier comme pasteur. Dès quatre heures trente du matin il se réveille pour faire trente minutes de prière, ensuite il fait ses exercices physiques réguliers pendant une quarantaine de minutes pour après aller prendre une douche et venir se remettre en communication avec Dieu dans une longue et intense méditation. La partie que je préfère c'est quand il vient dans le salon pour faire ses exercises, dix minutes de pompes, dix minutes d'abdominaux, dix minutes de squats et dix minutes d'étirement. Mon obsession pour lui prit de l'ampleur depuis le jour que j'ai remarqué son corps musclé à travers le trou, il s'était même déshabillé sans se douter que quelqu'un l'observait. Ouusshh, il a de ces magnifiques entrejambes qui pouvait exciter une femme rien qu'en posant les yeux dessus, rien que son sourire pouvait me faire fondre.
L'observer était devenu ma tâche quotidienne, chaque jour je prie pour qu'il se déshabille encore dans son salon pour que je me masturbe en voyant son sexe mais rien après ce jour là, il se déshabille toujours dans sa chambre. Je compris alors que c'était un coup de chance, une aubaine. J'étais au bon endroit au bon moment.
Je souffre d'une anomalie nommée fureur utérine communément appelée nymphomanie, j'ai constamment besoin de sexe, je peux baiser toute la journée sans m'arrêter et de surcroît j'aime plus me faire prendre sauvagement par deux hommes. Des plans à trois j'en faisais, même à quatre. Entre temps j'avais commencé à voir un thérapeute qui m'aidait et m'apprenait à contrôler mes pulsions, lui aussi a fini au fond de ma chatte. Je me suis tapée la moitié de mes profs à l'université et la moitié de mes amis mecs. J'ai du mal à entretenir une relation puisque je vais toujours voir ailleurs. Ma plus longue relation n'a duré que six mois avec Mikaël, il avait une énorme queue entre les jambes et me satisfaisait chaque fois que j'en avais envie mais à la longue il a finit par raccrocher puisqu'il n'arrivait plus suivre mon rythme en matière de sexe. C'est lui qui m'avait fait découvrir le plaisir anal, bien que son sexe était assez volumineux il était entré sans trop grande difficulté, à croire que j'étais faite pour ça.
Revenons-en à mon histoire, Dieu dans son dixième commandement nous a demandé de ne pas désirer injustement le bien des autres, le beau pasteur étant célibataire je n'avais pas enfreint ce commandement, pour ce qui est du neuvième cela reste à voir. Aujourd'hui est un dimanche, jour comme les autres depuis la crise sanitaire mondiale, le nouveau pasteur, malgré la fermeture des églises, nous donnait régulièrement des enseignants biblique. J'étais la plus assidue et la plus régulière. Au delà de la parole de Dieu, je fantasmais sur le pasteur au point de mouiller abondamment ma culotte, une fois je m'étais absentée un bon moment pour me fourrer un énorme concombre dans la chatte avant de revenir, sans ça il m'aurait été impossible de suivre cet enseignement jusqu'à la fin. Ce dimanche était comme les autres, le pasteur nous fit une petite messe de quarante cinq minutes avec l'évangile du jour puis on s'était retrouvé dans la soirée avec les autres locataires pour l'enseignement biblique. Chacun avait retenu ce qu'il pouvait, de mon côté je n'ai retenu qu'une phrase «Dieu est amour».
Plus tard dans la soirée il y a eu un délestage de plusieurs heures. Le pasteur avait au début allumé sa torche et la torche de son téléphone qui s'étaient déchargées tour à tour. Étant voisins, il vint me demander si je pouvais lui passer une de mes torches,
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Anecdotes Érotiques Du Confinement 🔞
Historia CortaUn Virus, une Pandémie, un Confinement, du temps à faire passer. Sais-tu ce qui s'est passé pendant ces heures de couvre-feu ? Ces heures où l'on sort quand-même en espérant éviter les forces de l'ordre ? En ce temps de Pandémie dû au Covid-19, l'en...