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Je me réveille encore dans cette chambre et me remet à pleurer , il peut pas mourir , non je ne peux pas croire ça, d'abord ma virginité ensuite ma mère et là hakim! C'est la goutte de trop, autant me prendre moi, je sèche mes larmes , je dois trouver un moyen de sortir, je regarde autour de moi et y'a pas de fenêtre, je me lève puis sort de ma chambre sur la pointe des pieds en mettant la main sur ma bouche, je descend les escaliers y'avait que les travailleurs ils sont trop bien occupé pour m'adresser un regard je me faufile entre eux et parvient à sortir, c'est une très grande maison avec une très grande cour insha'Allah on ne m'attrape pas.

Je continue à marcher super vite la tête baissée sans regarder derrière moi, j'arrive enfin devant le portail et là j'hurte quelqu'un, j'ai même pas cherché c'est qui j'ai commencé à courir mais j'étais bien trop faible pour continuer, la personne me rattrape.

...: où comptais tu aller comme ça ?

Moi: LÂCHE MOI, AUSECOUUUUR!!!

...: *coup de poing* FERME TA GUEULE

Ça m'a bien sonné, la personne me porte puis me met sur son dos et me ramène à l'intérieur.

...: regarde j'ai trouvé qui dehors

Nawfel: putain t'aurait pas été là alphonso,elle allait s'échapper cette conne

Moi: sale...merde...al...alphonso

Lui: ravie de te revoir rubi

Nawfel: passe là moi

Moi: ...non

Il me donne à nawfel , en dirait je suis jouet

Nawfel: je vais te donner une bonne leçon, tu vas regretter toute ta vie

Alphonso: défonce le petit trou

Moi: *pleure* non...arrête...me fait pas ça

Nawfel: t'aurait du accepter depuis le début ma belle

Plus il montait les escaliers plus je tremblais, j'espère qu'il blague, il me ramène dans une autre chambre et me jette sur le lit.

Moi: *pleure*stp...nawfel...je...suis...vierge

J'espère qu'il va croire

Lui: *sourire* raison de plus pour marquer mon territoire à jamais

Tout d'un coup j'avais mal au ventre

Moi: *pleure*ah mon ventre j'ai mal

Lui: tu me l'as fera pas à moi

Moi: *pleure* je te jure j'ai mal

Et là je vois du sang couler alhamdoulilah mes règles sont sorties, en plus j'ai grave des règles douloureuses

Lui: putain tu deuh, vas y lève toi de mon lit là

Moi: *pleure* je peux pas j'ai mal , il me faut des médicaments

Lui: fou la haine, quel médicament là ?

Moi: ibufen 

Lui: au pire je t'achète rien , ça t'apprendra à vouloir t'échapper salope

Il sort puis ferme la porte à clef, je préfère me tortiller de douleur par les règles que par lui, quelques temps après la douleur c'était calmé mais dès que j'ai sentie la serrure de la porte j'ai recommencé à faire semblant d'avoir mal, il me jette un paquet de lingette et un sous vêtement neuf sur le visage puis sort et referme la porte derrière lui...

Amina: fille en détresseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant