Izuku Midoryia était un enfant sans alter, mais avec de l'ambition. Malgré ça, ses jours étaient sombres, du à son harcèlement par Katsuki et d'autres élèves. Après sa rencontre avec le numéro 1, n'ayant plus goût de la vie, il va quitter son humani...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
-Mais c'est ridicule, enfin ! -C'est pour moi une question de dignité : je deviendrai héros sans son pouvoir.
Toujours en train de gagner la confiance de ceShoto. Et honnêtement, je l'apprécie bien : il a enduré la même souffrance, la même peur.
J'aime bien, son attitude calme et réservée qui suit un traumatisme, sauf que pour lui, c'est son quotidien. Cela lui a forgé une détermination inconnue, qui de base, aurait dû le pousser à devenir vilain. Dommage que le maître refuse qu'il en devienne un, car il parait qu'il est « déjà sur une autre voie ».
Qu'est-ce que je fais depuis à peu près 10 minutes ? Deux choses à la fois : je m'intègre à la classe de Yuei, mais j'accomplis aussi autre chose. Quelque chose... c'est ma manière d'aider. Aid- Non ! Qu'est-ce que je raconte ? Je dois m'en tenir au plan. Pour que les vilains triomphent, il ne doit en rester aucun. Et même si j'apprécie l'aider, ce n'est que pour mieux le berner. C'est ça...
-Todoroki ! Tu dois accepter ce don de ton père, car même si il te l'a donné, c'est le tien ! A toi de décider ce que tu en fais ! -Tomura... -Appelle-moi par mon prénom, « Deku », s'il te plaît. -... -Je sais, tu ne connais rien de mon passé. Mais moi, je te comprends : j'ai ressenti la même douleur, autrefois. J'en ai même fait une force. Et vu que je crois en toi, tu n'as qu'à faire de même. -...Je ne sais pas quoi en penser pour l'instant, mais merci, Deku. -Je serai là pour toi si tu voudrais en reparler.
Son sourire sincère dans ce monde misérable vaudrait des millions... vraiment dommage qu'il n'ait pas le potentiel d'un vilain.
En plus, pour tout ce que j'ai dit, je n'ai pas menti.
Haha... c'est si rare, qu'un vilain... ne mente pas.
Hehe...
Même si en ce moment, c'est plutôt aux héros de mentir.
Hahahahahahaha...
Toujours ce toc qui m'oblige à rire et m'empêche de me contrôler.
Des fois, je me demande comment je serai, après tout ça. Ou plutôt, qui je serai. Je n'en ai pas la moindre idée. Mais c'est aussi ça, le fait que je n'ai plus rien qui m'appartienne ou que je puisse perdre, qui me permet de tout tenter.
Est-ce que c'est vraiment moi-même ?
J'entends quelqu'un arriver. Ce n'est sûrement pas Katsuki, avec ce pas si calme et posé. Oh, je sais qui c'est...
-Mme Uraraka... -Tu peux m'appeler Ochako. Tu m'as entendue venir ? -J'ai reconnu le son de vos pas... -Tu peux me tutoyer. -Oki ! -...alors ? -Quoi ? -Comment avance ton plan ? -Et moi qui pensais que tu venais me dissuader... -... À vrai dire, je prends de plus en plus le parti des héros, en ce moment. Mais j'ai juré que je ne dirais rien. -Hahaha... -Qu'est-ce qui te fait rire ? -Tu ne pourras moralement jamais être une héroïne si tu sollicites certains vilains ! -Je ne comptes plus être une héroïne. -Hein ? Mais tu viens de dire que- -J'ai dit que je soutenais plus les héros, mais je préférerais faire une trêve entre vilains et héros. Une refonte de la société qui plairaient aux deux. -Haha ! Tu peux toujours rêver ! En tout cas, ça va être difficile à mettre en place... -Denki : Oh, salut Deku et Uraraka !
