Partie sans titre 24

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Ma mère : Allez les enfants on rentre à la maison, je vous ai préparé à manger.

J’ai pris les sacs qu’ont avaient et nous sommes rentrés dans la maison
Putain ,mon bled y m’manquait truc de ouf ! 

Swann était derrière moi, elle était vraiment timide.

Ma mère : Va poser tes sacs dans ta chambre Weldi et après rejoint nous pour manger.

J’ai fait s’qu’a dit ma mère, j’ai monter les sacs en laissant Swann avec ma mère dans la cuisine.

Quand j’suis revenu à la cuisine, ma mère parlait à Swann.

Ma mère : Tu as quel age ma fille ? 

Swann : 21 ans 

Ma mère : Et tu es algerienne toi aussi ? 

Swann : Oui, de Mostaganem.

Ma mère : D’accord et tu viens souvent en Algerie ? 

Pendant qu’elle posait ses questions j’me suis poser à table et j’ai commencer à manger.

Swann : Non sa fait longtemps que je ne suis pas venu.

Ma mère : Hmaar depuis tout à l’heure on t’attend pour manger et toi t’arrives tu manges directement ? 

Moi : Mais maman vous parlez trop aussi ! 

Ma mère : Skout !! 

Elle c’est retourné du coté de Swann et les deux se sont mise à manger.

Ma mère : Et tu fais quoi dans la vie ? 

Swann : Je suis infirmière.

Ma mère : Ah c’est bien et sa te plait comme métier ? 

Swann : Oui c’est ce que j’ai toujours voulu faire.

Ma mère : C’est bien sa. Et tu as des frères et sœurs ? 

Quand Yemma a poser la question, j’me suis senti mal pour Swann ! Putain ! 

Swann : Oui j’ai une grande sœur et un grand frère.

J’ai fixé Swann, Une grande sœur ? Ah ouais ?? J’étais pas au courant de sa ! 

Ma mère : Ah oui ? Et ils sont mariés ? 

Swann : Euh…c’est assez compliquer en faite.

Moi : Yemma c’est bon les questions non ? 

Ma mère : Skout toi ! Je parle avec Swann ! 

J’me suis re concentrer dans ma bouffe, wallah j’avais trop faim. Quand ma mère a posé la mauvaise question.

Yemma : Et tes parents ils savent que tu es ici ? Sava ils ne t’ont rien dit ? 

J’ai lever la tete et lacher s’que j’avais dans les mains, j’ai vu Swann baissait les yeux et se lever doucement.

Swann : Je revient.

Elle est sorti de la cuisine directement, ma mère m’a regardait et m’a dit : 

Yemma : J’ai dis quelque chose qui fallait pas ? 

Moi : Ses parents sont mort Yemma.

Ma mère a mis sa main à la bouche et ses yeux se sont mis à briller.

Ma mère : Smehli, je ne savais pas ! 

Moi : C’est pas grave Yemma, tu savais pas.

Ma mère : Je vais aller la voir weldi.

Moi : Non laisse je vais y’aller moi.

Je suis sorti de la cuisine et j’ai chercher Swann, je n’avais aucune idée de ou est ce qu’elle pouvait etre dans la maison.

C’était pas une villa mais la maison était assez grande, puis instinctivement j’me suis diriger vers le stah (terrasse des maisons arabe) 

J’lai vu la bas assisse par terre, on était en janvier et au bled il fesait vraiment froid mais j’crois pas que sa la deranger.

Moi : Elle a pas fait exprès.

Sans se retourner Swann m’a repondu : 

Swann : Je sais, c’est pas de sa faute.

Moi : C’est pas de la tienne non plus.

Swann : Si. Si j’étais plus forte j’arriverai à me contenir quand on parle de mes parents.

Moi : Vient là .

Dans sa voix j’sentais toute sa detresse, wallah qu’elle me fesait d’la peine.

J’lai prise dans mes bras et j’les serrais fort. J’crois qu’elle avait besoin de sa, besoin de bras qui l’épaulent.
Elle m’a serrait à son tour et sans vraiment réaliser mon geste je lui ai deposé un bisou sur la tete.

J’savais pas s’que j’fesais, mais c’était deja trop tard. Je l’avais fait !! 

Après ce petit bisou, j’voulais pas l’enlever de mes bras parce que j’étais bien avec elle mais surtout parce que je voulais pas qu’elle me regarde avec des yeux pleins d’interrogation.

Au bout d’un temps j’ai fini par la lacher et lui ai dit.

Moi : Azy vient manger un peu Swann.

Swann : J’ai pas faim Imad, j’prefere aller dormir un peu si sa t’derange pas.

Moi : Azy vient ! 

J’les accompagner dans ma chambre, dans celle ou j’ai posr nos sacs et j’lui ai dit d’faire comme chez elle. Elle m’a remercier puis j’suis retourner dans la cuisine avec ma mère.

Moi : Elle était fatiguer, elle c’est endormi.

Yemma : Elle m’en veut hein ? 

Ma mère a toujours été très sensible.

Moi : Mais non Yemma pas du tout wallah ! Elle n’est pas comme sa Swann.

J’me suis rassis pour finir mon assiette pendant que ma mère débarrasser le reste.
Putain ma mère j’laime, wallah qu’ma mère j’laime de ouf ! Et j’voulais la remercier d’avoir accepter Swann, parce que je sais qu’elle l’a accepter chez elle.

Moi : Yemma merci.

Yemma : Merci de quoi Weldi ? 

Moi : D’avoir accepter qu’elle reste à la maison.

Yemma : Weldi, mon fils je vais te poser une question mais dis moi la vérité.

Moi : Oui.

Yemma : C’est qui pour toi cette femme ? 

J’sais meme pas pourquoi elle m’posait cette question. Swann c’est…. Swann c’est tout.

Moi : Une connaissance maman c’est tout.

Yemma : Tu sais mon fils tu peux mentir à qui tu veux, c’est pas seulement une connaissance Weldi. C’est bien plus.

Moi : Sava pas ou quoi Yemma ??? Moi j’ai qu’une femme et c’est Siana c’est tout ! Y’aura personne d’autre Yemma tu le sais !! 

Yemma : Qui a dit que c’était ta femme Swann ? J’ai juste dis bien plus, peut etre que c’est ton amie tout simplement. Personne ici à parler de remplacer Siana.

J’me suis senti con sur le coup.

Yemma : Mais tu sais Weldi, un jour tu referas ta vie. Meme si là tu ne veux pas, Siana restera dans ton cœur mais weldi mon fils je sais que tu referas ta vie.

J’me suis enerver sur le coup, j’ai pousser l’assiette d’en face de moi et me suis lever.

Moi : Arrete Yemma de parler pour rien ! Siana c’est am femme y’a qu’elle Yemma, Y’a qu’elle !!! 

Yemma : Calme toi Weldi.

J’devenais ouf, alors j’suis sorti de la maison ! 

Putain Siana c’est ma femme, c’est la sele y’aura personne d’autre.

Ouais j’lui ai fait un bisou taleur mais c’est tout, c’était rien de plus !!
Un bisou comme j’aurai fais à SOuhila si elle allait mal !

***
J’ai trainer dans les rues d’Alger jusqu'à 20h puis j’suis rentrer. J’ai laisser Swann et ma mère à la maison mais j’pouvais pas rentrer avant. J’reflechissais beaucoup trop.

Swann c’est juste Swann. C’est tout. Je l’aide seulement et il n’y aura jamais plus ! 

Quand je suis rentrer, j’ai vu ma mère dans la cuisine entrain de faire de la tisane.

Moi : Yemma ? 

Ma mère c’est retourner et m’a dit .

Yemma : Ou tu étais Weldi ? 

Moi : J’suis aller faire un tour.

Yemma : Saha.

Elle c’est remise face à sa tisane et ne m’a plus calculait.

Moi : Pourquoi tu fais une tisane Yemma ? 

Yemma : Swann elle est malade.

Quand elle m’a dit sa wallah j’ai eu un pincement au cœur ! Putain qu’est ce qu’elle a ? 

Moi : Elle a quoi ? 

Yemma : Va la voir .

J’suis aller dans ma chambre et j’les rejoint. Elle était sous la couette et meme en dessous d’une grosse couette elle tremblait de froid.

Moi : T’es encore malade ? 

Swann : Oui, sa ce n’est pas arrangé.

C’est vrai qu’elle était malade avant de venir, j’avais même penser qu’elle était enceinte.

Moi : Demain j’appelle un medecin et il passera à la maison ok ? 

Swann : Non sava vite passer.

J’allais répondre quand ma mère est rentrer avec la tisane.

Yemma : Tient bois sa et reste bien sous la couette ma fille comme sa tu gueriras.

Swann : Merci Tata c’est gentille.

Yemma : C’est normal benti. Imad tu restes avec elle ? 

Moi : Ouais Yemma. J’te rejoint après.

Yemma : Reste avec elle mon fils.

Ma mère est sorti de la chambre et j’ai regardait Swann boire sa tisane.

Moi : Ma mère elle t’aime bien.

Swann : C’est réciproque j’te jure.

Y’a eu un silence dans la pièce, et Swann a prit la parole.

Swann : Imad ? 

Moi : Ouais ? 

Swann : Ce qu’on fait là sa sert à quoi finalement ? Je vais fuir toute ma vie Médine et ton copain ? Un jour faudra que j’y retourne hein ? Tu seras pas là toute ta vie à veiller sur moi.

C’est vrai que j’savais pas non plus ou on aller, mais elle était trop mal pour parler de sa ! 

Moi : Pour l’instant repose toi, on verra sa après.

Swann : Imad, j’ai peur.

J’me suis allonger à coté d’elle (elle avait fini de boire sa tisane)

Et wallah sa a été plus fort que moi j’lai serrer très fort dans me bras.

Moi : Tant que j’suis avec toi t’as pas à avoir peur.

Chronique d'imad : son destin est entre mes mainsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant