Partie sans titre 9

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Je suis ressorti de sa chambre, et j’ai croisé une de mes collègues.

Anne : Bah alors Swann tu n’avais pas fini à 6h ? 

Moi : Si mais j’avais oublier quelque chose.

Anne : D’accord, repose toi bien Swann.

Moi : Merci Anne .

Je suis sorti de l’hôpital et j’ai rejoint ma voiture, pour rentrer chez moi.

Lui et son amie semble très proche, vu la relation qu’ils ont mais aussi surtout le fait qu’elle n’a pas été aimable lorsqu’elle m’a accueilli chez elle prouver bien que ma présence la déranger.

Je suis arriver chez moi, et j’ai pris les sac des courses. 
J’ai fait plusieurs voyages entre ma voiture et mon batiment puisque j’avais beaucoup de sacs. Une fois tout fini j’ai placer les courses dans l’ascenseur et j’ai appuyer sur mon étage.

Au moment ou la porte de l’ascenseur c’est ouverte j’ai été bousculer.

Médine avait la tete baisser sur son téléphone et venait de rentrer dans l’ascenseur tel un sauvage.

Médine : PUTAIN TU PEUX PAS FAIRE ATTENTION !!

Quand il a lever la tete vers moi il a parut choquer.

Médine : T’ETAIS OU LAA ?? J’ALLAIS FAIRE TOUTE LA VILLE POUR TE CHERCHER !! 

Moi : J’ai fait les courses.

Médine : TU PEUX PAS ME LE DIRE ?? 

Moi : Tu dormais Médine.

Médine : VASSY VASSY RENTRE.

J’ai pris deux sacs avec moi et Médine a prit le reste et nous sommes rentrés dans notre appartement.

Médine : Je sais plus comment te parler à toi. On dirait que tu fais exprès de me pousser à bout.

Moi : Tu dormais je voulais pas te réveiller et y avait plus rien.

Médine : Je sors, tu bouges pas d’ici tu m’a compris ? 

Moi : Tu rentres quand ? 

Médine : Je rentre quand je rentrerai maintenant m’casses pas la tête.

Après sa dernière phrase il est parti de l’appart et moi j’ai rangé les courses.

Dans la peau d’Imad : 

J’ai directement penser à Swann, et si c’était elle ?

Moi : Vassy tranquille moi je mange.

J’ai pris un pain au chocolat et le café.

Souhila : Je sais pas c’est bizarre.

Moi : Oh t’es prise de tête toi en se moment ! 

Souhila : Ouais ouais si tu le dis. Bon tu sors quand ? 

Moi : Dans deux jours je crois.

Souhila : Sava tu ne t’ennuies pas trop ici ? 

Moi : Sava hein.

Souhila : Bon alors tu m’as toujours pas expliquer, qu’est ce qui c’est passer exactement ? 

J’étais pas fièr de moi, j’avais une pute sur mes genou ce soir là, c’est à cause d’elle d’ailleurs que je me retrouve ici. Mais dire sa à Souhila ? Je sais très bien que sa partira en embrouille.

Moi : T’as pas à savoir sa.

Souhila : Comment sa j’ai pas à savoir ? 

Moi : C’est clair non ? 

Elle allait me repondre quand on a toquer à ma porte :

Moi : OUAAIS !! 

Une infirmière est rentrer avec un plateau dans les mains.

L’infirmière : Je vous apporte votre plateau repas monsieur *****

Moi : Vous pouvez le reprendre on m’a apporter un petit déjeuner déjà.

L’infirmière : Ah vous etes gater à ce que je vois.

Souhila : Par une admiratrice secret faut croire.

Moi : Ta gueule Souhila on t’a pas parler.

L’infirmière : Bon je vous laisse, bonne journée les jeunes.

L’infirmière est parti et je me suis retrouver avec Souhila.

Souhila : Comment tu me parles là ? 

Moi : Commence pas Sousou parce que tu commences tu connais la sortie.

Souhila : Ciao ! 

Elle est sorti de la chambre en claquant la porte.

***

Je n’avais pas eu la visite ou des nouvelles de Swann de toute la journée.
On était à present le soir, et on venait me récuperer mon plateau repas.

Il était 21h15, quand sa a toquer.

Moi : OUAIS !!

C’est en ouvrant la porte que j’ai vu Swann.

Moi : C’est à toi que je dois mon petit déjeuner ? 

Swann : Oui, alors tu as fini de manger ? Je peux récuperer le plateau ? 

Moi : Ouais j’ai fini. Pourquoi tu me l’as pas donner toi directement ? 

Swann : J’ai entendu du bruit, tu étais accompagner alors j’ai pas voulu déranger.

Moi : C’était que Souhila.

Cette phrase est sorti spontanément, comme si je lui laissait penser que j’aurai voulu qu’elle me le ramène elle-même.

Enfin j’me perd dans mon discours.

Swann : Peu importe.

Moi : Merci en tout cas.

Swann m’a seulement souri et a saisi le plateau qui était en face de moi.

J’ai voulu qu’elle me regarde, qu’elle n’esquive pas mon regard à moi alors je l’ai saisie par son poignet sauf que : 

Swann : AIIE !!! 

Elle a lâché le plateau qu’elle avait pris et il est tombé par terre.

Dans la peau de Swann : 

Après avoir ranger les courses, je suis aller dormir.

C’est a 16h que je me suis réveiller, enfin qu’on m’a réveiller : 

Médine : T’AS QUE SA A FAIRE DE DORMIR TOI PUTAIN !! 

Moi : Hein ? 

Médine c’est avancer vers moi et m’a soulever du lit en me tenant les poignets.

Moi ; Mais qu’est ce qui t’arrives ?! 

Médine : Tu trouves sa normal que je rentre et que je vois ma femme dormir ? 

Moi : je suis fatiguer Médine.

Médine : Et Pourquoi t’es fatiguer ? A cause de ton travail de merde sa ! J’tai dit arrete le ! 

Moi : Mais Médine tu peux pas m’enlever sa .

Médine : Ce soir t’y va pas. Oublie le travail, tu bouges plus d’ici.

Moi : Quoi ? Mais sava pas ou quoi ? 

Médine m’a regardait d’un regard noir, il détestait qu’on hausse le ton avec lui.
Mais je n’avais pas prévu cette réaction.

Il m’a gifler très fort et je suis tomber a terre, sauf que pour me rattraper je me suis aider de mes bras. Et mon poignet c’est plier.

Moi : Aie ! 

Médine : QUOI AIE QUOI ? TU ME PREND POUR UN CON A FAIRE LA MESQUINA COMME SA ?? 

Je ne disais plus rien mon poignet me brulait et sa me faisait très mal.

Médine : PARLE LA !! LAISSE MOI PAS PARLER DANS LE VIDE !!! 

Moi : J’ai… j’ai mal.

Médine : J’EN AI RIEN A FOUTRE TU COMPRENDS SA !! 

Je restais à terre, je me massais le poignet.

Médine : Vassy j’me casse. Et à partir de maintenant oublie le travail ! 

Après sa il est sorti de l’appart en claquant la porte.
J’en pouvais plus, j’avais atteint la limite.
J’avais mal au cœur de vivre tout sa, de vivre dans cet état.

Je savais que ce qu’il disait était vrai. Il m’interdira de sortir à partir de maintenant, mais mon travail ? Tout sauf mon travail ! C’était le vœux de mes parents.
Ma mère a toujours voulu que je sois infirmière, c’est elle qui ma donnait le goût pour ce métier, et à travers mon emploi j’espère rendre fière mes parents.

J’avais beaucoup trop peur, alors j’ai pris mes affaires pour le travail de ce soir et j’ai pris mon sac.

Je suis passé par l’arrière de mon bâtiment, et je suis monté dans ma voiture.
J’ai démarré et me suis poser dans un parking d’un carrefour en attendant que l’heure de travailler arrive.

J’étais arriver à un stade qui me faisait moi-même de la peine.
J’étais là dans ma voiture parce que j’avais peur de rester chez moi.

J’ai rien fait à part penser à ma vie.
A m’imaginer ce que saurai ma vie d’aujourd’hui avec la présence de mon frère.

Emir, qu’est ce qu’il me manquait…

J’allais bientôt craquer je le savais…

Dans la peau d’Imad : 

Swann : AIIE !!! 

Elle a lâché le plateau qu’elle avait pris et il est tombé par terre.

Moi : Wesh Swann Sava ? 

Elle avait la tête baissait, elle c’est agenouiller par terre pour ramasser le plateau et les bouts de verres du verre qui est tomber.

Je me suis lever et l’ai lever avec moi.

Moi : Laisse sa Swann et dis moi s’qui t’arrives.

Swann : Y a rien Imad, y a rien.

Elle commençait à tremblait et garder la tête baissait.
J’ai poser mes mains sur son menton et le lui ai lever.

Moi : Regarde moi Swann.

Elle a levé la tête vers moi et ses yeux brillaient.
Elle était pas bien sa se sentait, sa se voyait.

Mais qu’est ce qu’elle cache cette femme ? Qu’est ce qui peut lui arriver ? 

Moi : Qu’est ce qui t’arrives ? 

Swann ( la voix qui tremble) : J’en peux plus Imad, je craque. Voilà ce qui m’arrive.

Chronique d'imad : son destin est entre mes mainsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant