Partie sans titre 27

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Dans la peau d’Imad 

Après avoir déposé Swann j’ai passé la nuit dans le sud et c’est seulement le lendemain que je suis rentrée chez moi.

J’étais mal d’avoir laisser Swann partir et wallah que j’regrettais encore s’que j’avais fait.

J’avais parler à ma mère après qu’on soit arriver, elle m’a demander des nouvelles de Swann j’ai seulement dit qu’elle allait bien. Qu’est ce que j’aurai pu repondre de toute facon ? 

C’était quelques jours après que j’sois rentré. On était posé moi et certains collègues sur le parking du quartier quand le téléphone à un pote à moi a sonné.

J’lai vu se décaler de nous quelques minutes pour revenir vers moi en courant.

Sofiane : Imad y’a moyen tu m’passes ta voiture frère c’est important ! 

Wallah il avait pali , j’pensais c’était un truc grave alors ouais direct j’lui passe.

Moi : Azy kho tient les clefs.

Sofiane : Bien vu 

Sofiane (au telephone) : J’arrive là, je viens te chercher

La personne au telephone : ….

Sofiane : Quoi ? 

La personne : ….

Sofiane : Ouais wesh comment tu sais sa toi ? 

La personne : …..

Sofiane : WEESH T’ES SERIEUSE DANS TON DELIRE LA ?? 

La personne : ….

Sofiane : Azy on est là dans 5 minutes.

Il a raccroché et à tourner la tete vers moi.

Sofiane : Imad accompagne moi 

Moi : Qu’est ce t’as frere ? 

Sofiane : Je t’explique sur la route.

On est monté en voiture, il a voulu conduire j’lai laisser faire.

Moi : Pourquoi tu voulais que j’vienne ? 

Sofiane : C’est ma meuf qui m’a appeler là . Elle m’a dit que fallait que tu viennes que t’allais comprendre.

Moi : Wesh comment elle m’connaît ta go al ? 

Sofiane : J’sais pas putain !! Elle m’a demander si t’as deja été marié j’lui ai dit ouais elle m’a dit de te dire de monter c’était urgent.

Moi : QUOI ?? WESH COMMENT ELLE SAIT SA ELLE AUSSI ? 

Sofiane : J’sais pas ! Arete de crier j’ai deja envie d’la defonser la ! 

Wallah j’étais tendu tout le long, comment elle savait que j’étais marié celle la ? 
Quand on est arrivé en bas d’un batiment, on a vu une fille monter directement dans la voiture.

Sofiane : C’est quoi ton délire a toi qu’est ta pourquoi tu pleures ? 

La meuf quand elle est monté elle pleurait de fou, elle avait une dégaine mais laisse tomber frère !

La meuf : Va jusqu'à l’hopital ***** c’est urgent s’il te plait 

Puis elle a dit en s’adressant à moi : 

La meuf : tu es Imad ? 

Sofiane : WESH LINA C’EST QUOI LA QUE TU ME FAIS !! 

Elle lui a meme pas repondu, elle attendais que j’reponde moi 

Moi : Ouais toi t’es qui ? Et comment tu savais que j’étais marié ? 

La meuf : Tu connais Swann ? 

Wallah quand elle m’a dit sa j’ai fronser les sourcils. J’savais que sa sentait pas bon.

Sofiane : Il est ou le rapport avec Swann là ? 

Moi : Ouais j’la connais. Qu’est ce qui y’a ? 

La meuf n’a plus parler, ses yeux se sont rempli de larmes.

Moi : OOH REPOND !! QU’EST-CE QUI Y’A ?? QU’EST-CE QU’ELLE A SWANN ?? 

La meuf : J’en sais rien, Médine était venu la chercher et j’’ai recu un appel de lui y’a meme pas une demi heure là. Ils ont été admis à l’hopital tous les deux.

Wallah quand elle m’a dit sa j’ai cogné contre le tableau de bord ! Putain c’était pas possible. Sa fait à peine quelques jours que j’lai laisser elle se retrouve déjà a l’hopital ? 

Moi : QU’EST-CE QU’ELLE FOUTAIT AVEC LUI PUTAIN ??? 

La meuf : Elle voulait pas mais il a pris de force en venant frapper chez moi et en la demandant. Elle n’avait pas le choix.

Moi : PUTAIN ELLE M’AVAIT DIT QU’IL ALLAIT LA LAISSER TRANQUILLE !! 

La meuf : C’était pas vrai. Il l’avait menacé bien avant qu’elle rentre mais elle ne voulait pas te le dire pour pas etre un poids pour toi.

J’ai plus répondu, putain elle est à l’hosto bordel et moi elle me ment et j’arrive meme pas a voir sa ! Putain j’suis un gros pd !! 

Mais en allant à l’hopital je m’attendais pas à sa ! j’mattendais à tout sauf à sa ! 

Dans l’a peau de Swann (QUELQUES HEURES PLUS TOT)

On venait d’arriver chez « nous », enfin je dirai plus chez lui à present.

Médine : je t’avais dit quoi ? 

Moi : …

Médine : REPOND JE T’AVAIS DIS QUOI ?? 

Moi : je sais pas

Il m’a gifler .

Médine : JE T’AVAIS DIT QUE JE FINIRAI PAR TE RETROUVER HEIN !! ET MAINTENANT JE TE FAIS QUOI ?? JE TE FAIS QUOI POUR QUE TU COMPRENNES ?? C’EST LA TROISIEME FOIS ESPECE DE VIEILLE SAL*PE QUE TU ME FAIS SA !! 

J’avais peur, pour etre honnete j’avais très peur.

Moi : T’es trop violent Médine, je pouvais plus supporter sa.

Je pensais que ma phrase aller l’interpeller. Je pensais qu’il aller se remettre en question mais non rien de tout sa. Il c’est avancer vers moi et m’a attrapper par mes cheveux au niveau des racines.

Médine : Si t’étais pas une petite catin je serai pas violent.

Il m’a jeter contre le canapé et j’ai commencé à pleurer. J’étais rabaissé à sa, je me sentais humilier il était en train de me tuer doucement.

Médine : Lève toi.

Moi : Hein ? 

Médine : Lève toi maintenant.

Moi : Pourquoi ? 

Il m’a attraper par le bras et ma fait me lever du canapé.
Sans parler on est descendu au parking et il m’a fait monter dans sa voiture.

Il roulait comme un nerveux, il roulait beaucoup trop vite et sa me fesait peur.
On est arriver vers un sorte de lac, c’était très calme et ce jour là il pleuvait beaucoup. Il m’a fait sortir de la voiture et est sorti lui aussi.

Au début il passait sa main sur sa barbe en regardant derrière moi. Quant à moi j’avais le regard baissé, j’étais terrifié.

Sans que je m’en rende compte, il m’a gifler avec le revers de sa main. J’ai reculé d’un pas et j’ai porté ma main à mon visage.

Mais il a été plus rapide, d’une main il a saisit mes deux poignets et de l’autre main il me giflait. Ses gifles étaient puissantes et je n’avais pas la force de les supporter. Quand j’ai fini par faiblir il ma donner un gros coup de poings qui m’a fait tomber par terre. On était légèrement en pente (sur une colline) quand je suis tombé j’ai dévalée la pente. J’étais arriver en bas, j’étais à terre et trop faible pour me lever.

Il est venu vers moi, d’un pas lent il c’est diriger vers moi et m’a clairement « démolie ». Il m’a deboitait, il me donnait de réel coup de pieds dans le ventre mais le pire a été au niveau de mon visage. J’allais etre retrouver en morceau, si un jour ou puisse me retrouver ! 

Il ce defoulait sur moi, il me donnait des coups au ventre, au visage puis quand j’essayais de bouger les coups atteignaient mon dos et j’hurlais de douleur. 
J’avais réellement peur qu’il me tue, ou qu’il me casse mon nez (je suis hyper sensible du nez).

Après m’avoir bien defoncer, il c’est calmer et a reprit sa respiration. Quant à moi respirait devenait quelque chose de très difficile.

Il a fini par m’attrapper à la racine de mes cheveux et m’a fait remonter cette colline. J’ai hurler à cause de cette douleur là, mais lui en avait rien à foutre.

Il a fini par me jeter dans la voiture coté passager et lui ai monté coté conducteur.
Sauf que j’étais beaucoup trop faible, je n’arrivais plus à bouger et meme respirer était trop dur et j’ai oublier quelque chose de primordial….

Il a commençait à rouler vite, et moi je respirais très difficilement ce qui l’énervait aussi.

Médine : ARRETE DE FAIRE SEMBLANT QUE TU RESPIRES PLUS !! 

J’arrivais réellement pas à respirer mais il s’en foutait. Il roulait vite et les routes glissaient puisqu’on était en temps de pluie.

Je voulais lui demander de ralentir, je voulais essayer de maitriser ma respiration mais je n’arrivais pas. Et lui n’arrivais pas à canaliser son enervement.

Il a prit un virage, il l’a prit beaucoup trop vite, la voiture a tourner sur le coté droite sur le coté ou j’étais.
La voiture n’a pas fait plusieurs tours non, elle est seulement sorti de la route et la voiture a fait un tonnaux. Elle était renversé à l’envers et moi je n’avais pas de ceinture, je suis donc passer a travers la vitre et non le par brise. Sauf que voilà j’étais coincé, la voiture était coincée entre mon bassin et mes cuisses. Médine quant à lui était bloquer lui aussi, il était attaché mais puisque la voiture était à l’envers il était en quelque sorte « en l’air ».

J’avais le poids de la voiture sur moi, et j’ai encore plus hurlé.

Moi :AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH 

Je savais qu’après sa rien ne serait pareil, j’avais mal j’étais sur le point de mourir je sentais chacune des douleurs que j’avais.

Médine était là près de moi il essayait de se détacher mais ce fut impossible.

Médine : SWANN CRIE PAS ON VA TE SORTIR DE LA ! SAVA ALLER JE TE PROMET SA VA ALLER.

Non plus rien allait, j’allais perdre l’usage de mes jambes, des fourmis commencait à venir et j’avais cette envie de soulever cette voiture mais j’y arrivais pas.

Médine : PUTAIN QU’EST-CE QUE J’AI FAIT ?! BEBE STP SAVA ALLER, CALME TOI OMRI TU VAS T’EN SORTIR !! 

J’hurlais, je demandais à ce qu’on m’aide mais il était impossible pour moi.

J’ai vu des hommes venir tenter d’ouvrir la portière du coté de Médine mais il hurlait qu’il fallait m’aider moi.

Médine : LAISSEZ MOI , FAUT L’AIDER ELLE !! PUTAIN DEPECHEZ VOUS ELLE A MAL AIDEZ LA !! 

Deux hommes se sont approchés de moi.

Un homme : madame calmez vous, ne bougez surtout pas. Vous avez mal quelque part ? 

Moi : Aux jambes, s’il vous plait aidez moi je vous en supplie.

Un des hommes : Vous saignez madame et on a pas le droit de vous deplacer. Les secours vont pas tarder parlez nous en attendant.

Pendant que le monsieur parlait, quelques temoins s’occupait de Médine, il s’occupait à le faire sortir.

Le monsieur : Vous avez mal aux jambes ou vous ne les sentez pas ? 

Moi : J’ai mal, mais je commence à avoir des sensations de fourmis.

L’homme : d’accord. Essayez de respirer du mieux que vous pouvez les secours sont en route.

L’homme : Comment vous appelez vous ? 

Moi : Swann.

L’homme : d’accord et vous avez quel age ? 

Moi : 21 ans

L’homme : vous etes encore tellement jeune . Qu’est ce que vous faites dans la vie ? 

Moi : Je suis infrmière.

L’homme : ok alors vous savez que les secours feront tous pour vous aider. Vous avez juste à croire en eux et surtout à vous calmez.

Ce monsieur là a essayé de me rassurer du mieux qu’il pouvait jusqu'à que les secours sont venu.

Une dame a prit la place du monsieur et me parlait pendant que ses collègues mettaient tout en œuvre pour retirer le poids de la voiture qui était sur moi.

Médine avait été pris en charge et n’était donc pas avec moi.

La dame me parlait, elle me racontait qu’elle avait des enfants et me demander de dire « oui » a chacune de ses phrases , elle me posait aussi des questions à laquel je devais répondre. Lorsque je faiblissais elle m’appeler par mon prenom mais ne pouvait pas me toucher.

Par je ne sais quel moyen, j’ai senti que la voiture ne pesait plus contre moi et les secours ont compter jusqu'à 3 avant de me mettre sur un « matelas gonflable » ! 
J’appelai sa comme sa, car je n’ai jamais su comment appeler sa meme si je travaillais dans un hopital. Quand on ma enfin retirer de sous la voiture, la voiture est retombé la ou j’étais quelques secondes plutot.

On m’a ensuite placer dans le camion des pompiers. Jusqu’ici j’ai su rester éveiller mais lorsque enfin on m’a placer un masque pour m’aider à respirer je me suis laisser aller à un sommeil profond.

***

Dans la peau d’Imad 

On est arriver à l’hopital et on est direct aller à l’accueil

J’ai compris après que la copine de Swann était Lina

Lina : Bonjour madame on voudrait la chambre de Swann ***** elle vient d’etre admis

La secretaire regardait sur son putain d’ordinateur

La secretaire : Effectivement madame elle vient d’etre admise mais elle ne peut pas recevoir de visite

Moi : On veut avoir de ses nouvelles madame ! Au moins savoir si elle est en vie 

La femme ma regardait dans les yeux, et j’sais pas pourquoi mais elle nous a dit

La secretaire : Soyez present pour elle C’est au 3eme étage, attendais un medecin viendra vous donnez de ses nouvelles .

On est direct monter au troisieme étage et on a attendu des heures et des heures jusqu'à qu’enfin un monsieur arrive vers nous.

Le medecin : Vous etes de la famille de Swann *****

Nous : Oui alors qu’est ce qu’elle a ? 

Le medecin : Ecoutez pour le moment son mari est avec elle, je suppose que vous etes ses frères et sœurs ? 

Quand il a dit que son pd était avec elle, wallah j’ai eu les nerfs. Je vais m’le faire lui c’est sur.

Lina : Oui je suis sa grande sœur, comment elle va ? 

Le medein : Pour être honnête avec vous, votre petite sœur a eu beaucoup de chance.

Moi : Comment sa ? 

Le medecin : Et bien toutes ses cotes sont cassés, son nez est fêlé et toute sa cuisse droite ainsi que sa jambe sont pour le moment paralysé.

Wallah quand il a dit le verdict on était tous choqué, Lina c’est assisse sur une chaise.

Lina : Comment sa c’est passé ? 

Le medecin : En vous disant les choses clairement son nez fellés et deux cotes cassé ne sont pas lié à l’accident. Elle a aussi de nombreux ecchymoses et la lèvres fendue qui ne proviennent pas de l’accident. Puis la paralysie de toute la partie de sa jambe droite et le reste des cotes et du à la voiture.

Moi : Il c’est passé quoi exactement ? 

Le medecin : Votre sœur et son mari ont fait un accident de voiture, votre beau frère avait la ceinture votre sœur non. Elle a été projeter de la voiture mais c’est retrouver sous le poids de la voiture pendant quelques minutes. Elle a eu beaucoup de chance de ne pas perdre l’usage total de ses jambes. Avec de la réeducation, des bequilles et une attelle votre sœur pourra remarcher d’ici un à deux mois.

A mon tour j’me suis assis sur le siège, putain wallah j’realiser pas ce qu’il me disait là.

Chronique d'imad : son destin est entre mes mainsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant