Amoureux de ma Prof

1+2=0

« -Allo !
-Mon chéri
-Ça va ?
-Oui, super. Pourquoi tu as raccroché tout à l'heure ?
-Ah non ne t'inquiète pas. Ce n'était rien. Le cadeau était un peu exotique c'est tout.
-Hmm si tu le dis. Toujours là avec tes mystères toi.
-Ah Mel arrête.
-En tout cas, je me prépare mentalement pour t'apporter une surprise aujourd'hui !
-À propos de ça, ma maman avait déjà prévu qu'on aille passer la journée chez ma tante. On se prépare pour y aller la, je ne sais pas quand est-ce qu'on va revenir, mais vu que j'ai très envie de te voir en ce jour si spécial pour moi. Tu ne passerais pas vite fait ?
-Oh zut, bah d'accord je vais faire très vite. »

En même pas trente minutes elle est déjà là, elle m'embrasse comme jamais un baiser passionnant et enivrant. Elle me donne mon cadeau, un collier de Bonnie and Clyde, j'ai failli mettre l'autre collier dans mon tiroir au lieu de le mettre autour de son cou. Évidemment j'ai pris le médaillon revolver et je lui ai mis celui avec des menottes, vous comprenez. Ensuite on parle un peu, je lui fais des câlins et je lui dis combien je l'aime.

« -Ed, il est temps de partir.
-J'arrive, maman.
-Alors je vous laisse, dit Mel
-Mel enfin je mets un visage sur ton nom. Mais que tu es jolie. Tu sais si tu n'as rien de prévu tu peux venir avec nous !
-Vous me faites rougir dit Mel timidement. Si Ed ne voit aucun inconvénient à cela, je suis libre.
-Mais non, au contraire plus on est de fou plus l'on rit. »

Les mamans, tellement entreprenantes. L'inviter n'est pas mon problème mais vu ce que je traverse en ce moment, ce n'était pas la meilleure chose à faire. Mais bon je dois quand même apprécier leur effort et m'efforcer à rire. On passe une agréable journée, qui renforcera sans doute notre complicité. On se parle avec les yeux, on s'embrasse à chaque fois que l'on se retrouve seuls, on s'envoie des photos ou des vidéos de ce qui nous fait rire, elle a même mis ses pieds entre mes cuisses lors du dîner. Cette journée aura l'amabilité de me rendre encore plus amoureux d'elle.

Enfin l'heure de partir, il est déjà six heures et je me trouve assez loin du lieu de mon rendez-vous avec Clara. J'ai tellement peur, j'écris Gio pour lui dire que ce soir je vais fêter avec lui. Après ça je dis à ma maman que je ne rentrerai pas avec elle que je devais retrouver Gio et passer le reste de la soirée avec lui. Elle me laisse cinq minutes avec Mel que j'embrasse et avec qui je promets de passer la journée demain. Une fois qu'elles sont parties je prends vite un moto direction Mariott. J'entre vite comme un fou, je retire déjà mon porte feuille pour enlever ma carte d'identité. La réceptionniste très sympa me donne une clé pour la chambre. Entrant dans l'ascenseur je croise une vielle connaissance, en faite une ancienne de l'école. Elle avait deux classes en plus. On se regarde doucement sans avoir le courage de se parler. Enfin je me lance :

« -Hey Sarah Djina, ça va?
-Oh, Ed comment vas tu?
-Je vas bien merci et toi?
-Ça va ça va. Et qu'est-ce qui t'amène chez nous ?
-Aujourd'hui c'est mon anniversaire donc c'est en quelque sorte mon cadeau.
-Joyeux Anniversaire alors.
-Merci, et toi tu travailles ici depuis longtemps ?
-Ça va faire six mois. C'est fatiguant de le faire en même temps que les études mais j'aime l'autonomie que ça donne. Alors je m'y fais.
-Ah mais c'est super, la prochaine fois qu'il y aura des recrutements fais moi savoir.
-D'accord, et toi tu vas où ?
-Dans la 306 et toi ?
-J'apporte ces serviettes chez tes voisins dans la 307. Voilà on est arrivé voici ta chambre, bonne soirée. Et joyeux anniversaire de nouveau.
-Merci, merci bonne soirée à toi aussi »
Je passe la carte pour ouvrir la porte et je rentre dans la chambre. Tombé dans le noir je passe ma main partout pour essayer d'allumer la lumière, quand enfin la lumière s'allume j'entends « Surpriiiiiiise ». Clara s'avance vers moi et me dépose un bisou sur chacune de mes joues. Elle me tire pour me mettre devant le miroir de la porte de la salle de bains pour que je puisse voir les traces de son fard à lèvres sur mes joues. Clara se colle à moi et introduit ses mains sous mon maillot et me dépose des bisous derrière la nuque. Quand je sens que je m'emballe trop, je me défais de son étreinte pour lui poser des questions.
« Clara c'était quoi ce cadeau empoisonné que tu m'as envoyé ce matin ?
-Un test de grossesse, je crois que tu sais très bien ce que ça veut dire mes félicitations papounet.
-Clara, Clara sois sérieuse. Tu sais que c'est un sujet délicat.
-Bon assez parler. Tu es prêt pour ta surprise ?
-ça va être quoi cette fois des habits pour bébés ?
-Ed tais toi ! Es-tu prêt à vivre ce que j'ai pour toi ?
-...
-Ed !
-Bah je ne sais pas quoi te dire. Aller oui envoies ! »
Elle va vers le lit prend son téléphone passe un appelle qui ne dure pas et revient vers moi pour me dire :« Si tu ne te décides pas ce soir je te laisse tranquille ». Essayant de bien assimiler ce qu'elle vient de me dire, j'entends frapper la porte. Elle me laisse la pantois, et va ouvrir la porte. Une femme entre dans la chambre et elles se font la bise.
:« Ed je te présentes Tatiana elle sera notre hôte pour ce soir. Tatiana voici Ed l'heureux élu. »
On rentre, on s'installe et on se fait monter à manger.
Les deux belles sont vêtues sexy pour l'occasion. Avec ma furtivité digne d'un grand assassin, je jette des coups d'œil dans le décolleté de Tatiana. Sa poitrine généreuse me trouble. Heureusement que ses longs cheveux bouclés longeant ses côtes cachent un peu ma vue, sinon je ne pourrais empêcher ma vue de rester coller sur ses seins. Je scanne ses formes, si seulement elle se voyait comme je la vois, peut-être resterait-elle des heures et des heures devant un miroir.
Après nous être rassasiés, nous débarrassons la table, j'en profite pour exercer mes talents de mateur, Tatiana a une de ses courbures dans le dos, qui met admirablement bien ses fesses en valeur. Le plaisir visuel était amplifié par ses jambes interminables. Je suis ivre. Sachant que je n'ai pas bu d'alcool, je pense que le nerf optique entraîne une production d'hormones. Enfaite, je ne bande pas, mais limite. Elle a des très beaux, tous ronds, comme deux demies pommes. J'ai envie de les croquer, j'en salive. Mon poing est serré, jusqu'à me faire mal, afin de m'empêcher tous mouvements hormonaux, genre main baladeuse sur ce postérieur magnifique.