J'ai un bon timing car à peine qu'elle rentre et ouvre sa porte je suis à deux pas derrière elle. Lorsqu’elle me voit, elle s’arrête brusquement, ouvre la bouche, porte les mains aux joues et court vers moi pour me sauter au cou :
« Oh Ed, que je suis contente de te revoir ! Non, vraiment, il ne fallait pas ! », ajoute-t-elle en jetant un rapide coup d’œil en arrière afin d’être sûre que Sa sœur ne perde rien du spectacle.
Elle m’embrasse à pleine bouche, me mordille les lèvres, me picore de petits baisers dans le cou :
«J’ai pensé à toi tous les jours, j’ai terriblement envie de toi.
— Sortons, Clara.
— Je ne peux pas, c’est l’anniversaire de ma sœur ce soir et je ne lui ai toujours pas acheté de cadeau. Mais accompagne moi au complexe Belvédère je compte me rendre à Bisous, on pourra passer un moment ensemble. »
Je lui tend le bouquet de fleur que j'avais jusque là caché. Elle prend le bouquet dans les bras, plonge sa tête dans les fleurs, les hume un instant et, radieuse, me sourit : « Qu’est-ce que je suis bien avec toi, Ed !»
Je bois ses paroles comme de l’eau et la détaille amoureusement. Ces quelques jours passés dans la neige l'ont éclaircit sa peau.
Elle porte un maillot, et ne porte bizarrement pas de foulard. Sa nuque s’offre à mon regard, à mes caresses, gracile et sensuelle. Je suis captivée par une ombre qui se dessine sur sa peau. Elle nait derrière son cou, descend sur sa clavicule et plonge dans son petit T-shirt blanc. Elle met un foulard et on part. Arrivé, elle m’attrape par la main et, le regard happé par cette fine ligne blanche qui danse autour de son cou, je la suis jusqu’au rayon femme de Bisous. Elle attrape en hâte une robe savamment pliée sur un présentoir, me fourre un foulard dans les mains et me dit : « Apportes-moi le foulard dans la cabine dans trois minutes. »Je scrute la vendeuse à l’entrée des cabines et profite, pour rejoindre Clara dans sa cabine, du moment où elle s’éloigne pour ranger quelques articles en rayon. Adossée contre le miroir de la cabine, ma belle me regarde en souriant, le regard enflammé.
Sans un mot, elle lève les bras, je soulève son T-shirt et découvre sa poitrine, ma poitrine se soulève, mon sexe se cabre dans mon pantalon, je me jette sur ses tétons rosés, les aspire, les mordille, les excite du bout de la langue.
Les yeux flambants, elle ondule contre moi et, d’un geste assuré.«Déboutonnes mon pantalon
--Ne sois pas si pressée, ma belle, j’ai tellement envie de te lécher ! »
Dis-je en glissant un doigt sous sa culotte.
Sa voix se brise sous l’effet de la volupté :
«Une autre fois, Ed, je n’en peux plus, baise-moi.»Je retire mon doigt trempé de son sexe, le porte à la bouche et le suce : «Ton goût m'a manqué. Tu me sembles bien prête en effet. »
Je glisse mes mains sous ses fesses, la soulève et la plaque contre le mur. Elle halète. Ses yeux clos, sa lèvre supérieure légèrement relevée trahissent une indéfinissable expression de désir. Elle s’accroche à la patère au dessus d’elle et enroule ses jambes autour de ma taille.
Je libère mon sexe du caleçon, soulève d’un doigt sa culotte et la pénètre entièrement dès le premier branle. Elle laisse s'échapper un cri, de stupeur ou de douleur, je ne saurais-dire. Je plaque ma main contre sa bouche pour la faire taire, elle me regarde les yeux révulsés, puis s’apaise et d’un léger hochement de tête m’indique qu’elle a compris, qu’il faut qu’elle se calme. « Mademoiselle, ça va bien ?» S’inquiète la vendeuse revenue à sa place à l’entrée des cabines d’essayage.
«Oui, oui, chevrote, Clara, je me suis juste coincé le doigt dans la fermeture éclair, mais… euh, ça va aller.
— Bon tant mieux, n’hésitez pas à m’appeler si vous avez besoin d’aide.»Au fond de moi, je crois que j’aurais aimé que la vendeuse nous surprenne. Mon sexe bien raide dans la chatte de Clara, je reprends mon mouvement de va-et-vient et sens l’étreinte de ses cuisses devenir plus forte. Je suce le bout de ses superbes tétons, elle étouffe un râle, jette la tête en arrière, se cambre nerveusement en proie à un désir irrésistible qu’elle ne peut taire. Sa respiration est agitée et sifflante, elle plante ses ongles dans mon épaule droite, m’implore en silence de la laisser reprendre ses esprits. Mais, ivre de plaisir, j’éprouve une volupté indomptable et, d’un sursaut de rein, j’intensifie et accélère le frôlement de nos chairs, mon désir devient rage et je jouis en elle.
L’ultime étreinte s’accompagne d’un bruyant craquement. La patère à laquelle s’agrippait Clara s’est rompue sous la violence de mon assaut et lui reste entre les mains.
J’entends la vendeuse débouler vers la cabine et ouvrir brusquement le rideau.
«Oh, mon Dieu, mais c’est ignoble ! Sortez immédiatement d’ici ! J’appelle la sécurité !»

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Amoureux de ma Prof
Novela JuvenilAprès des années à être un élève appliqué et assidu le jeune Ed arrive en classe de première toujours puceau. Mais cette année là il se rend compte qu'il est amoureux de sa prof de français. Certes il a su lui dire mais pourront-ils tenir? Leurs par...