La soeur de la prof

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Depuis que la prof est partie pour voir son fils, c’est un peu naze l’ambiance de mes vacances de Noël pas d'amour ou même de sexe elle me manque grave. Un jour ne trouvant rien à faire en sortant de jouer au foot je décide de passer voir si tout allait bien chez elle. J'entends du mouvements à l'intérieur. Alors je sonne.
A ce moment une mignonne jeune femme je dirais âgée de 25 ans, avec des mensurations de déesse, vient m'ouvrir (Coucou les grosses toutounes, j’ai envie de dire !)
Dès le premier regard je bande. Elle est très ouverte et m'invite a rentrer ce que je fais. Elle m'offre a boire et m'informe qu'elle est la petite sœur de la prof. Elle m'invite à prendre un bain car je suis en sueur. Sans plus tarder je me dirige vers la douche. À l’aise, elle est entrée dans la salle de bains que j’avais laissée ouverte à toutes fins utiles alors que je prenais mon bain. Elle s’est calée devant le miroir et s’est brossée les dents sans complexe.
Moi, dans mon petit bain, je sens mon périscope qui commence déjà à dire bonjour sous la mousse. Je lui ai fait un petit compliment bien placé sur ses belles formes qui crient « liberté ! » sous la serviette qu’elle a serrée autour de sa taille.
Pas farouche pour deux sous la coquine, elle est venue s’asseoir sur le bord de la baignoire pour vérifier si elle me fait vraiment de l’effet ou si j’exagère un peu… Elle me fait remarquer en rigolant qu’elle a déjà vu le loup et qu’à travers la mousse elle avait bien de la peine à voir la queue du mien… Taquine la coquine! Je commence à m’astiquer pour lui montrer que j’ai de quoi lui faire rendre gorge pendant de plaisantes minutes. Elle m’a dit qu’elle commence à voir où je veux en venir.
Elle fait sortir ses énormes tétés de la serviette, oh seigneur, ces beaux pains chauds qu’elle a, c’est superbe. Ça déborde de partout, comme une choucroute véritable de Colmar. Ma saucisse est en ébullition. Je ne peux me retenir, je m'approche pour embrasser ses gros machins à pleine bouche, il faut absolument que je mette ma tronche là-dedans. Comme un besoin urgent. Elle fait tremper sa main dans l’eau pour prendre la température, tout près de ma bite.
Une authentique ondine, une sirène de La source, qu’elle est. Et mon capitaine est totalement en train de céder à son charme. J’ai bien envie de l’entendre chanter la bougresse et qu’elle m’emmène profond sous le niveau du fleuve, là où plus rien ne respire, là où les algues deviennent un dernier lit, là ses loches en apesanteur deviendraient de vraies bouées de sauvetage pour remonter à l’air libre, avant de replonger six pieds sous la surface, là où la petite mort m’attendrait sous les traits bienheureux d’une Morphée libératoire. Mes incantations in petto ont bientôt produit l’effet escompté et la sirène commence à chanter… À peine mes lèvres ont elles toucher la pointe saillante de sa poitrine que des sons excitants sortent de sa bouche. Ma bouche ponctionne de grandes goulées d’air sur les tétons de ma belle, j’essaie de bien la mastiquer, je roule des pelles à ses grosses pointes élastiques.
Je m'amuse beaucoup avec ses pis de bovins.
Ma laitière est hilare, elle s’amuse beaucoup de mon émotion et de fait, devant sa laitance, je bée, venus d’un autre temps, d’un autre espace résonnent dans ma salle de bain.
Oh, les doux chants de Maldoror, ah la belle complainte douce et amère, le petit feulement qui vous fait oublier le besoin de respirer et de vivre, car une telle nichonnade vous fait tout oublier, le bien, le mal, vos organes vitaux s’arrêtent de fonctionner, seul mon périscope me guide à présent, je navigue en aveugle.
Je suis tout au fond du désir, sous un océan d’envie, la pression est insoutenable, tout devient noir, je ne suis plus que toucher, goût, odeur, palpations…
Elle doit pourtant y être habituée du reste ! Combien d’hommes ont bien pu s’émerveiller confrontés à cette belle amplitude. Puis, je commence à faire traîner mes doigts un peu partout. Ils ont atterri dans sa chatte brûlante. Elle fille rit encore, mais avec moins d’entrain tout à coup… Son émoi est désormais impossible à dissimuler.
Elle mouille la petite coquine! J'active ma main en mode superpuissance. Je lui mets des doigts de qualité. Une technique apprise d'un pote Giovadrien qu'il a développée au cours de longues années d’études approfondies et de laquelle personne ne s’est jamais plaint, jusqu’à présent… Les deux belles miches me tamponnent le visage dans des « pouf pouf » de rêve, « boum boum » les gros loukoums. Je suis comme un petit chien face à un nouveau jouet. J’en suis raide dingue, raide, c’est le mot. Ma queue est en acier entre mes jambes, elle me fout un gourdin pas possible la petite gourgandine. Je m'amuse à soupeser encore pendant de longues minutes ses superbes loches, je bois à la source de ses fabuleuses meules pendant qu’elle se marre encore et toujours.
Mes trois doigts alpaguent le fond de sa minette tout en frottant bien fort sur la paroi antérieure de ma belle inconnue. J’appuie de plus en plus puissamment, par niveau.
J’avance tranquillement dans une belle gamme pentatonique de mi, elle a roucoule, je sent qu’on va dans la bonne voie. Pour le moment, je compose une ballade, mais j’ai de grosses envies de hard rock. J’ai commencé un solo endiablé dans sa chatte.
Les notes deviennent de plus en plus aiguës, avec un rythme crescendo, une intensité et une tessiture toujours plus enlevées, ce n’est pas du Vivaldi, mais on fait de belles choses avec cette minette. Elle a eu un « Ah ! » cristallin, très haut, très pur. Elle a jouit. Pour célébrer cet émouvant point d’orgue, elle a décidé de me flatter en changeant d’instrument : elle veut me jouer un air de flûte.
Je me lève dans la baignoire et ma drôlesse se baisse pour venir emboucher mon bel instrument tout mousseux de gel douche. (Oh, elle en joue divinement bien !)
Son petit air me rappelle les meilleurs moments des musiques de films que j’aimais quand j’étais plus petit : des films de sorciers et de pirates, de mélusines et d’ensorceleuses… Je suis sous le charme, pétrifié dans mon érection, transformé en statue érotique à jamais, la queue bandée pour des siècles. Mais je ressens absolument tout, sa langue sur mon gland qui roule des pelles à ma tige, sa succion infernale qui m’aspire si fort que je sens tout mon corps partir.
Elle ne se sert même pas de ses mains, ma charmeuse de serpent, pas besoin ! Sa bouche experte  déroule déjà pas mal de câble et cela suffit à me faire sentir mille délices vampiriques.
Les bruits qu’elle produit avec ses lèvres ont déjà suffi à peupler mes rêves pendant des années, c’est une expérience incroyable, totalement déconnectée du réel, tellement mieux que le reste du réel d’ailleurs ! Son visage adorable va et vient sur mon manche tout doucement, sans hâte, elle est très sûre de ses mouvements, on sent la fille qui est à son affaire. Puis, elle  conclut la pipe par un petit son satisfait en recrachant ma bite du bout des lèvres, ça a fait « schlop », très mignon. Je m'assois sur le bord de la baignoire et avec le plus grand naturel, elle vient se mettre dessus. J'entre dans sa petite chatte en feu, c’est bouillant. Son abricot est si accueillant, chaud même ! On est bien là, c’est très agréable. Elle commence à coulisser sans effort. C’est comme dans du beurre chaud, un vrai jacuzzi, la mignonne. J'arrive au fond d’elle, elle se cambre, elle a pousse un petit cri un peu rauque de grosse panthère, mi jouissance, mi encore ! On entre dans le dur. Je me mets à la pistonner plus sévèrement. C’est toujours très naturel, comme une continuité logique de ce que nous avons commencé. Elle encaisse merveilleusement bien mes coups de reins. Je lui mets pourtant une bonne dose. Je tape bien au fond et elle s’écarte encore le joufflu pour m’accueillir au plus profond. Cette fille est magique et sa lubricité est sans limite. Elle s’assoit sur le bord de la baignoire à son tour et je la reprend de face, ce qui présente l’immense avantage de remettre ses gros tétés à portée de ma bouche pendant que je continues à la baiser. Mes couilles tapent sur son périnée, sa mamelle est gigantesque dans ma bouche, j’en titille le bout avec mes dents pour tester sa résistance à la douleur. J’ai envie de la bouffer comme un bonbon. Je réprime déjà les premiers effets de la jouissance et je me maudis intérieurement de ne pas avoir plus de contrôle sur mes émotions, mais c’est trop ! Elle est trop bonne ! Je ralenti la cadence et respire un grand coup. Ahhh… Et puis, je reprend ma besogne. En mode guerrier, cette fois. Mes bombardements sur sa zone hostile seront sans relâche à présent ! Je veux tout lui ouvrir en grand, je veux baiser sa fondation, je veux baiser son être, lui réduire la minette en miettes. Et c’est ce que je fais. Je l’attrape en levrette après mes instants fragiles et je donne tout. Je veux être un ours pour ma petite inconnue. L’heure de la conquête de son petit domaine privé a commencé, il est trop tard pour faire machine arrière. Mon tank entre dans son avenue en triomphateur. Je vais la bombarder, l’assaut sera violent et dévastateur. Je vais tellement vite dans son fourreau que j’ai l’impression d’être un sextoy humain, elle tremble à la vitesse de l’éclair sous mes coups de boutoir. Son cri vibre à l’unisson avec ma queue. Cela va très vite, c’est du sport de haut niveau, il faut une sacrée toquante pour assurer une baise comme celle-là ! Mon cœur doit battre à 180 minimum ! Et ma petite veuve noire, elle prend tout ça dans le dos sans frémir plus que nécessaire, quelle énergie, quelle souplesse les Cazeau… Elle sont bonne hein. Son bassin est devenu mon flipper, je la tilte à fond et la boule ne redescend jamais, mon high score se grave en lettres de feu sur son affichage émotionnel, son dos rougit à vue d’œil. Je sens bien que je commence à vraiment la maîtriser la chérie. Elle m’a dans la peau, c’est le cas de le dire. Elle se dandine sur ma tige en aboyant des trucs en espagnols et ça a l’air bien dégueulasse. Elle s’oubli de plus en plus et se masse elle-même les seins à présent. Des pépés comme ça, qui me tombent toutes cuites dans le bec… Ça n’arrive jamais normalement ! Je suis comme un ouf. Ses codes sont tellement différentes des codes de Clara. En lui calant la tête contre un coin du mur, je recommence à la pénétrer rapidement, je veux qu’elle soit vraiment coincée, sans échappatoire, qu’elle en prenne plein sa grosse poire toute mûre. Ce fruit juteux qu’elle est, c’est magnifique. Elle geint à présent, sans relâche, un long « ooooohh », tremblant, émouvant, si je n’étais pas en train de lui démonter le boule, je n'en serais pas excité.  Mon canon se déploie avec une fougue inconnue jusqu’alors, un déluge d’acier dans le jardin d’Eden de ma jolie brunette. Je lui mets tout ce que je n’ai jamais mis à personne. Et elle ne plie pas sous la menace, bien au contraire, elle me contre avec un aplomb admirable. Je baisse quelque peu le rythme, pour retrouver plus de sensualité dans le geste. Je m'efforce pendant quelques minutes d’explorer sa grotte de fond en comble, je veux déclencher quelque chose de différent en elle, quelque chose qu’elle n’a jamais ressenti. J’y mets beaucoup d’application, je veux qu’elle garde un bon souvenir de son passage chez sa sœur. Elle, elle s’en taponne pas mal, je crois en fait. C’est du sexe quoi ! Elle s’amuse, elle couine, elle pousse des feulements, mais ça fait partie du jeu ! Elle ne va pas tomber amoureuse de mon jeu de reins, je m’en rends bien compte. Mais tout de même, on s’amuse bien. Sa chatte odore bon les forêts, l’humus fraîchement mouillé par la rosée le matin, la pureté d’une mare à l’onde translucide, la douceur d’un arbre moussu quand on part pour trouver des champignons. Elle sent l’automne, l’été et le printemps, elle sent Pâques et les grandes balades que l’on fait en famille, avec des cousines un peu aventureuses… Ces instants de perfection que l’on ne retrouve jamais. Elle me redonne tout cela et je m’aperçois en me faisant cette réflexion qu’elle me donne beaucoup plus en étant simplement elle-même, que je ne dois lui donner qu'en faisant de grands efforts ! Ainsi en va-t-il de la beauté de la femme, éternelle et impeccable, à tout bout de champ.
Ses petits cris d’oiseau chanteur commencent malgré tout à prendre une nouvelle tournure quand ma queue touche une certaine partie de son anatomie intérieure. J’ai atteins le point sensible, je vais m’y attarder.
Là, elle jouit ma belle, oh oui !
Elle s’écarte même la chatte avec les deux doigts pour en profiter comme il le faut. Oh oui, sa façon de cambrer la nuque est tout sauf une feinte, elle prend son pied et se crispe, je vois son petit bidon qui tremble d’appréhension devant la montée d’un gros orgasme bien profond. Elle appuie sur son petit bouton d’amour pour s’achever et elle décolle. En parlant de libération, j’ai moi aussi une grande envie de me répandre.
Je me mets face à elle pour une dernière chevauchée de la Valkyrie. Elle presse ma queue entre ses énormes loches tout en me faisant une branlette à l’espagnole. Ça aurait été dommage, vu la belle paire, de ne pas profiter d’une telle occasion ! Elle avait acquis une méthode magnifique et imparable et je sens bien les années de pratique. C’est très doux, délicieux, bien meilleur que dans une main calleuse de fille maigre! Ses doudounes d’amour massent ma queue de haut en bas, tout en glissant, c’est sublime, je tutoie le divin. Elle commence à accélérer, je sens tous mes barrages céder un à un. Le foutre va jaillir, c’est imminent. Je tend ma colonne en direction de son visage et c’est arrivé : poisseux, épais, à profusion, j’ai tant de sperme à lui donner ! Elle apprécie le geste du reste et se délecte visiblement de se faire repeindre le portrait par un mec.
Elle avale quelques gouttes qui tombent directement sur ses lèvres et elle réussit à me vider complétement de mon foutre avec ses seins, c’est fou, je n’ai jamais ressenti un truc pareil ! j’envoie toute ma crème sur sa poitrine sculpturale en geignant comme un louveteau et je tartine ma queue pour bien tout lui donner. On reste longtemps sur le sol l'un à côté de l'autre à se regarder et à sourire. Craignant qu'elle en parle a sa sœur je n'ose même pas lui demander son nom et je m'habille puis me sauve.
(Avec Clara c'est romantique car l'amour prend le dessus mais avec sa sœur c'est carrément ouf seul prendre plaisir compte. Elle est plus ouverte certes mais ma Clara au moins elle, elle sait gémir.)
Faut bien raconter ça à Gio!!!
Moi: J'ai baisé la soeur de la prof
Gio: Quand ça?
Moi: Tout à l'heure après le foot
Gio: J'espère pour toi que sa mère rentrera pour pâques.
Moi: Ah Ah Ah!!!

Amoureux de ma ProfOù les histoires vivent. Découvrez maintenant