Partie 26

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Bonne lecture

Le lendemain...

Maty Ndiaye...

Il fait onze heures et les filles dormaient toujours après ça se comprend puisqu'on est rentrés à trois heures du mat.

Depuis une demi-heure maintenant,je suis au salon entrain de déjeuner avec Khalil et tata Aïcha.

On lui faisait un petit débriefing de notre soirée.

Tata Aïcha : Oh j'ai mal à la tête de ne pas avoir en face de moi ces salopards. J'aimerais tellement aimé les avoir devant moi pour les écrabouiller mais je suis quand même soulagée que les garçons étaient présents.

~C'est de l'histoire ancienne tata, l'essentiel c'est que nous avons ignoré ces salauds.

Tata Aïcha : Tu as raison ma puce.Bon je vais vous laisser,je vais superviser le repas.

Elle part me laissant seule avec Khalil qui d'ailleurs n'arrêtait pas de me regarder avec un petit sourire au coin des lèvres.

~Tu veux me dire quelque chose ?

Lui : J'ignorais que tu es plus belle en matinée.

Wait...c'est moi ou il essaye de me charmer ?!

~Merci Khalil mais sans vouloir me jeter des fleurs,je suis belle dans n'importe quel moment.

Il rigole.

Lui : Oui tu as pleinement de le droit d'avoir confiance en toi et tu sais quoi ça te rend craquante.

~Monsieur ne serai pas par hasard entrain de flasher sur moi ?

Lui : Ce n'est pas de ma faute si Cupidon m'a tiré une flèche.

Je rigole.

~Et tu l'assume sans gêne en plus !

Lui : Il faut être direct mais c'est dommage pour toi que tu sois en couple parce que passer à côté d'un beau gosse tel que Khalil Aïdara c'est limite suicidaire.

Je ris de bon coeur.

~C'est ouf comment la modestie vous fait défaut !
Qui t'as dit que je suis en couple ?

Lui : Hakim.Tu n'est pas pas en couple ?

~J'ignore pourquoi il t'a dit ça mais non je suis plus couple.

Lui : Quel bâtard ! Sinon est ce que ça veut j'ai une chance de te conquérir ?

~Avec ta tronche de séducteur là,c'est mort.

Lui : Les apparences sont trompeuses chère demoiselle.

~Ça se voit à des kilomètres que t'es un grand tombeur de femmes.

Lui : Je peux changer pour toi ma belle.

~À combien de filles chantes-tu ce discours ? .

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