Hatake!Female!Reader x My hero academia

Attaque au SCA

P.D.V de (T/P)

Aujourd'hui était une nouvelle journée de cours, il était 12h55 et comme vous l'auriez compris, nous étions en cours de super héros 101. Mais cette fois ci, c'était bien plus particulier que la dernière fois. De ce que nous a dit Aisawa, on allait être supervisé par lui, All Might, et un autre professeure, mais nous ignorions qui. Mais quand il nous avait annoncé que le cours d'aujourd'hui avait pour thème le sauvetage, tout le monde était impatient. C'était normal, le sauvetage était ce que faisait le plus un héros, on ne pouvait pas rêver mieux. Ils nous avait aussi dit que, étant donné que c'était du sauvetage, nous n'étions pas obligé de porter nos costumes.

J'étais dans les vestiaires, et j'avais pris mon costumes. Mais à la plus grande surprise des filles, j'avais pris aussi mes armes blanches. Sabre sur mon dos, shuriken et kunai.
  – Diiit (T/P) ! Tu sais te servir de ces truc ? me questionna-t-Mina, qui se tenait près de moi, en montrant mes armes de ninja.
Je me contenta de simplement hocher la tête pour répondre oui à sa question. Yaoyorozu était sur le point de me poser une question elle aussi, mais j'étais déjà partie du vestiaire. Ce mauvais pressentiment que j'avais eu la dernière fois restait dans ma tête, et avec mon instinct qui me disait de prendre de quoi me défendre, ça ne me disait rien qui vaille. Pourquoi ? Parce que mon instinct ne se trompait jamais, et il l'a prouvé bien des fois dans le passé.

De toute manière, tout le monde avait mis son costume, même si ils ont retiré des éléments qui permettaient des attaques offensives ou autre. Moi, avec ma cape qui recouvrait pratiquement tout mon corps sauf le bas de mes jambes, personne n'avait remarqué ma lame et le restes. Sauf bien sûr les filles dans le vestiaire tout à l'heure. Je me rapprocha de Midorya qui avait un drôle de costume, puis je remarqua qu'il s'agissait de la tenue de sport de Yuei.
  – Hé, dit c'est pas ta tenue de sport ça ?demandais-je en haussant un sourcil, même si je doutais que ça se voyait avec mon bandeau.
   – S-Salut (T/P) ! Ah euh oui..comme je l'ai dit à Uraraka vu que mon costume a été réduit en pièce lors de l'entraînement au combat j'ai mis ça..puis j'ai ajouté quelque truc que j'ai acheté !m'expliqua-t-il en se grattant l'arrière de la nuque.

Uraraka était là aussi et elle ne portait plus son casque. Et maintenant que j'y pensais, c'était normal que Midorya soit habillé comme ça, vu le combat qu'il avait mené avec Bakugo. D'un coup, l'attention de tout le monde se dirigea vers Lida qui était à fond, demandant de nous mettre dans le bus d'une manière organisée. J'échappa un léger sourire, il prenait son rôle très au sérieux, peut être même un peu trop. Mais malheureusement pour lui, le bus n'était pas comme il l'espérait, et au milieu de ce dernier les élèves étaient face à face. Pour ma part, j'étais assise derrière Uraraka et Yaoyorozu, et dès que je m'étais installée, j'avais fermé mes yeux pour pouvoir faire une mini sieste, le temps du trajet.

- Quelques minutes plus tard -

Je sentis quelqu'un me secouer légèrement l'épaules, ce qui eu pour effet de me réveiller. J'ouvris mes yeux, et il s'agissait bien sûr de Yaoyorozu.
  – On est arrivé ! Allez viens, dit-elle avec un petit sourire, avant de sortir du bus avec moi qui la suivait.
Je regarda l'immense bâtiment devant nous, et je supposais que c'était ici que nous allions avoir cours. Mais avant même que je ne fasse un pas, un frison traversa mon corps, le même que celui de la dernière fois mais en beaucoup plus fort. J'étais persuadée d'avoir senti un chakra élevé, pas très loin. Je commença à regarder la zone tout autour de moi, mais il n'y avait rien de suspect.
  – (T/P) ? Tout va bien ? me demanda Yaoyorozu, inquiète, mon comportement n'étant pas passer inaperçu pour elle.
Mais je me calma, essayant de prétendre que tout allait bien. J'ignorais si je me faisait des films ou autre, mais je ne voulais pas lui faire peur à cause de mon ressentit.
  – Oui ça va, on ferais mieux de rejoindre les autres, dis-je stoïquement en passant devant elle pour me retrouver avec les autres, face aux portes de l'immense lieu.