𝗏𝗂𝗂𝗂. 𝖻𝗎𝖼𝖼𝗂𝖺𝗋𝖺𝗍𝗂, 𝓸𝗑𝗒𝗀𝖾𝗇𝖾

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𝐀𝐩𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝟒𝟔𝟕, 𝟐𝟐:𝟑𝟗
𝗌𝖺𝗇𝗀, 𝗇𝗎𝖽𝗂𝗍𝖾́, 𝗏𝗂𝗈𝗅𝖾𝗇𝖼𝖾 𝗉𝗁𝗒𝗌𝗂𝗊𝗎𝖾 𝖾𝗍 𝗏𝖾𝗋𝖻𝖺𝗅𝖾, 𝗁𝖺𝗋𝖼𝖾̀𝗅𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍, 𝗍𝖾𝗇𝗍. 𝗏𝗂𝗈𝗅
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 𝗏𝗂𝗈𝗅──────────────────────────

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                𝓢e dessinant dans le ciel,
la lune arborait son croissant. l'observant à travers le reflet de son miroir, elle déporta son regard sur sa tenue. cessant de l'arranger, elle soupirait doucement. attrapant les quelques bagues posées à sa droite, qu'elle enfila, elle détacha sa chevelure bouclée avant de jeter un coup d'œil au cadran de sa montre.
prenant son sac et ses boots noires, elle quitta sa chambre, embrumée de son parfum.

rejoignant le salon, il l'y attendait. mais assis face à la télévision, il ne l'entendit pas arriver.

« bruno ? j'ai terminé. »

élevant légèrement la voix pour interpeller le regard de son ami, elle s'avança un peu plus, se positionnant face à l'écran allumé.

« alors... comment tu me trouves ? »

vêtue d'un long t-shirt blanc, elle avait ajouté, à ce dernier, une robe blazer aux tons sombres. peaufinant le tout d'un sac et d'accessoires, elle avait fait d'une simple tenue, un bijou.

« tu... »

comme aveuglé, il peinait à trouver ses mots. peinait à retrouver le fil de ses pensées. alors, il se leva. et contournant la table basse, il vint se positionner face à elle. elle, qui le regardait toujours, en attente d'une réponse positive à sa tenue.

« ...es superbe ila, prononce-t-il en attrapant ses mains. »

à l'entente de son compliment, elle sourit de toutes ses dents avant de sauter dans ses bras. laissant tomber ses chaussures, elle resserrait son étreinte. pris par surprise, bruno hésita un instant. puis, au bout de quelques secondes, il passa ses bras autour de ses hanches avant de nicher son cou dans sa nuque.

après quelques instants passés, ils se libérèrent. et, attrapant les chaussures tombées, il poussa la brune dans le fauteuil présent dans son dos.

« bruno ? qu'est-ce que... tu fais ? »

ne répondant que d'un sourire, il s'abaissa face à elle avant de prendre un premier pied, qu'il posa sur sa cuisse. de ses doigts fins, il chaussa chaque pied avant d'y lasser chaque paire. l'aidant à se relever, il garda une main dans la sienne, avant de la faire tourner sur elle-même.

𝐧𝐨𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐢𝐥𝐢𝐚𝐛𝐮𝐥𝐞𝐬, 𝗃𝗃𝖻𝖺Où les histoires vivent. Découvrez maintenant