Chapitre 24.

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Voici Nathan, dites moi se que vous pensez de lui :)
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Je me lève range mes affaires lui fait un regard noir et sors. Et merde les larmes montent. Je cours au WC et rentre dans une cabine. Mes affaires sont épariez un peu par tout dans les toilettes. Je ferme le couvercle de la cuvette et m'assoie dessus. Je replie mes genoux contre ma poitrine et pleure... Pourquoi j'ai fais sa hein ? Je n'aurai jamais fais sa avant. Je suis désolé Maxence, je sais que tu dois être très dessus de moi, mais je contrôle plus rien. J'ai besoin de toi, je deviens folle aide moi je t'en supplie bébé aide moi... Je continue de pleurer comme une merde. Je me sens faible, je me sens conne... d'un coup j’entends quelqu'un rentrer dans les toilettes, comme je suis dans la dernière cabine, j'espère que la personne n'avance pas. Bien sur c'est peine perdu d'espérer. J’entends la porte de ma cabine s'ouvrir et une personne soupire en disant : 

-Saraa

Je lève la tête et la je fais face a un Dylan tout triste. Il me regarde longuement jusqu'a se qu'il décide de me serrer fort dans ses bras et en me disant : 

- Je suis là, pschut petit cœur, je suis là...

Ben quoi ? C'est normal de pleurer encore plus quand une personne vous serre dans ses bras non ? Ben oui excusez moi pour moi c'est normal. Je continue de pleurer, mais bien fort vous savez ? Pas que des larmes, non il y a des cris de rage qui sortent de mon cœur. Et oui sa faisait trop longtemps que je me retenais...

Après plus d'une demi-heure dans les toilettes. Je décide enfin de sortir. Bien sur avant de sortir je me suis passé de l'eau sur le visage. Je vous promets que je fais peur à voir. Mes yeux sont rouges, on dirait que j'ai fumé je ne sais pas combien de bed. Bref Dylan me tiens la main et m'emmène dehors, car oui jusqu'à la pause de midi ben je ne peux pas retourner en cours. On s'assoie sur un banc et pas la peine de vous dire que je lui ai toujours pas parlé... il enlève un paquet de clope de sa poche et en prend une. Il la place entre ses lèvres et moi je le regarde genre passe moi une. Il m'a compris vu qu'il me tend la clope et en reprend une autre. Je l'allume et commence à fumer. Dylan me regarde sans rien dire alors je le regarde en haussant un sourcil.

Dylan : Parle-moi...

Je lui fais un non de la tête et replace la clope entre mes lèvres. 

Dylan : Je sais que depuis que je sors avec Léa on c'est éloigner. Mais sache que je serai toujours la et sa changera jamais compris. Je t'adore Sara, tu es une fille spectaculaire et je ne veux pas que tu changes... tu me manque un peu je dois l'avouer, j'aimerai que tu me parle, que tu me dises se que tu ressens, mais tu dis rien, rien du tout. Je dois aussi t'avoue que ton silence me fait flipper. 

Il marque un court silence à son texte et me regarde dans les yeux en soupirant.

Dylan : Tu me manques vraiment et j'aimerai redevenir se gars qui te protège et qui te fait chier. J'aimerai entendre a nouveau ton rire, ta voix... je sais que tu n’es pas bien, je sais que sa te touche plus qu'a une autre personne. Mais si te plait tu peux pas rester comme ça toute ta vie. Il y a des gens ils perdent leur parents et pourtant ils survivent, alors toi tu l'as perdu. Mais on est tous la pour t'aider a reconstruire se pilier détruit. Mais pour sa tu dois nous faire confiance...

Il a les larmes aux yeux et les miennes coulent un peu. Il a raison, mais je ne veux pas me l'avouer. Je vais essayer de faire un effort, mais je promets rien hein. Je relève la tête et le regarde dans les yeux. Je m'approche de lui et le prend dans mes bras. Je me ma tête dans le creux de son cou et dit : 

- Je t'adore aussi, je dois t'avouer que tu me manque aussi et pi je vais faire un effort, mais je ne te promets rien. 

Je le sens sourire et me serrer encore plus fort contre lui. Il me fait des bisous sur le coin de mon front. On reste comme sa jusqu’à se que la pause de midi sonne. Quand la sonnerie a retentit, il y a des élèves qui sortent de l’établissement. Avec Dylan on décide de rentrer et de rejoindre les autres. On vient de tourner direction mon casier et Marie est appuyer contre mon casier. Elle me regarde super mal, et merde… on s’approche et elle cri :

You ? AHAHAH, No sorry.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant