Chapitre 9: L'enfant inattendu

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Pascal : ...était enceinte de moi. Je n'y croyer pas. Mais malheureusement, c'est vrai. Et elle veut le garder.
Antoine : mais c'était avant que tu sois avec Cassandre ?
Pascal : oui, oui. Mais tu vois, j'ai peur qu'elle le prenne mal. 

Antoine acquiesça ce que Pascal était en train dire, il lui donna des conseils, car il a vécu une expérience un peu similaire avec Candice quand Jennifer était enceinte de lui alors qu'il était en couple avec Candice.

Le guide fit deux groupes. Et part un hasard, Pascal et Cassandre étaient à deux. Comme Pascal avait une formation de guide de montagne, ils partirent à deux dans les montagnes loin de tout. Le guide, Candice et Antoine partirent à l'opposé du chemin de Pascal et Cassandre. Ils partirent sans dire un mot et ca pendant 5 minutes. Pascal acheva le silence.

Pascal : tu sais, je suis désolé. C'est juste que j'ai des problèmes en ce moment. Mais il faut déjà que j'arrive à l'accepter et je pourrai enfin te le dire.
Cassandre : je comprends, tu sais que tu peux tout me dire. 
Pascal : je sais.

Pascal mit son bras au-dessus des épaules de Cassandre, celle-ci mit son bras autour de la taille de Pascal. Ils se sourirent et continuèrent leur randonnée tant attendue par Pascal.  

Quelques heures, plus tard, ils firent une pause. Pascal regarda la carte qui se trouvait dans son sac. Il regarda rapidement sa montre et s'approcha en courant de Cassandre qui se situait à quelques mètres de lui. 

Cassandre : qu'est-ce qu'il y a ?
Pascal : on s'est trompés de chemin.
Cassandre affolé : quoi ? C'est une blague, j'espère ?
Pascal : ne t'inquiète pas, je gère la situation. Il faut juste trouver un endroit pour dormir.
Cassandre : ah non, je ne recommence pas ça.
Pascal : on n'a pas le temps, on est en hiver, il est déjà 16 h 30, pour revenir sur le chemin il nous faut au moins 30 minutes, il fera déjà trop sombre et il n'y a pas de réseau.
Cassandre désespérée : bon ok.
Pascal : vient-on va remonter sur le chemin et trouver un coin pour dormir.

Quelques mètres plus loin, par chance, il y avait un refuge. Cette fois-ci, ce n'était pas des roches, mais une petite cabane. Ils entrèrent et déposèrent leurs sacs.


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