Chapitre 7:

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Un rayon de soleil réveilla Candice. Elle se leva, mais ne vit pas Cassandre qui pourtant, c'était endormit à côté d'elle. Elle regarda son portable pour se renseigner de l'heure. Il était 7 h, elle entendit un bruit qui venait de la chambre de Cassandre. Elle y alla et vit Cassandre, qui était sur son lit avec un t-shirt d'homme dans les mains, surement celui de Pascal. Elle regardait par la fenêtre oubliée dans ses pensées. Candice la laissa, elle avait besoin d'être seul. Elle se prépara, elle mit comme l'avait demandé Antoine, sa tenue bleue avec laquelle elle avait fait de belles interventions. 30 minutes, plus tard, Cassandre se prépara également. Les deux amies sans dire un mot partirent au commissariat comme prévu à 8 h. Les deux hommes étaient déjà présents. Sisi donna de quoi prendre des forces. Antoine avait prix le volant. Candice s'était installée à côté de lui. Florence et Pascal étaient donc à l'arrière de la voiture. Tout le trajet était tendu, une fois arriver, les enquêteurs, c'était fait passer pour 4 amis qui veulent retourner dans l'époque de leurs enfances, sans Internet et toute cette technologie. Ils ont été accueillis par la gérante de ce camp un peu spécial, Laure.
Laure : bonjour, et bienvenue dans "le camp nature". Nous sommes très heureux de vous accueillir. Je vais vous demander pour commencer de déposer tous les appareil technologique dans ce panier.
Ils s'exécutèrent. Il y avait 2 autres personnes avec eux. Un jeune couple qui adoré la nature.
Laure : donc vous êtes 6, ça tombe bien nous avons 3 chambres. Mettez vous en binome pour les chambre. Mathis va vous montrer vos chambres. Mathis était un stagiaire, il voulait être animateur de camp.
Candice : je propose qu'on face garçon et fille séparé. Ça te va Florence?
Florence : quoi?... Eum...Oui, oui, comme vous voulez
Ils se séparèrent dans leurs chambres respectives.
Antoine pour lançait un sujet de conversation.
Antoine : elle est sympa Florence.
Pascal fronça les sourcils et s'approcha d'Antoine.
Pascal : ouais, elle est sympa, mais elle est surtout prise.
Antoine : du calme... Je ne dis pas ça pour ça.
Pascal:... Ouais... Je suis désolé en ce moment, j'ai des problèmes.
Antoine : ce n'est pas grave t'inquiètes pas. Tu sais si tu as des problèmes, c'est mieux d'en parler à Florence. Elle n'a pas l'air très bien.
Pascal : je sais, il faut que je lui parle.

Nature blesséOù les histoires vivent. Découvrez maintenant