Chapitre 3:

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Pascal : alors qu'est-ce qu'on fait ?

Cassandre : bon de toute façon, on n'a pas le choix, Maleva lancez un appele à témoin, sisi mettez plus de protection dans l'hôpital.

Elles exécutèrent les ordres que Cassandre avait dit.

1 mois s'était déjà écoulé. Il n'avait aucune nouvelle, aucun appele à témoin, rien. Un jour, Florence partit du commissariat un peu plus tôt que d'habitude, car elle avait rendez vous avec Jules. Elle le retrouva chez elle. Jules la vit rentrer, il voulait à tout prix en savoir plus sur la relation de sa mère et Pascal. Il l'interrogea longtemps, mais une question interpella Florence.

Jules : et depuis quand vous vous aimez ?

Cassandre réfléchit, elle ne savait pas répondre à cette question. Elle ne s'était jamais posé la question avant. 

Cassandre:...Eum.....Je dirai....

Jules : en fait tu sais pas ?

Cassandre (gênée):...Non

Jules : tu te sens bien avec lui ?

Cassandre lui répondit avec des étoiles dans les yeux : oui, c'est un ange, il me dit toujours des compliments, il sait cuisiner...
Ils rigolèrent quand soudain quelqu'un sonna. Jules alla ouvrir et vit Pascal souriant.

Jules : salut, ça va ?

Pascal : parfaitement et toi.

Jules : oui ça va, on parlait de toi justement.
Ils retrouvèrent Cassandre sur le fauteille du salon.

Pascal : ah oui, et vous étiez en train de dire quoi sur moi?

Jules : et bah, on dit...

Cassandre l'interrompit : rien de spécial.

Pascal : sinon, tu connais Candice Renoir ?

Cassandre : Candice ? Bien sûr que je la connais s'était ma meilleure au lycée. Pourquoi tu me demandes ça ?

Pascal : parce qu'elle est actuellement à Annecy. Le procureur a demandé, je cite "du renfort pour l'enquête".

Cassandre : ça va, t'inquiète pas, c'est une hyper bonne enquêtrice. Par contre le pro' a quand même fait fort.

Pascal se rapprocha d'elle et la prend par les hanches.

Pascal (en souriant d'un air séducteur): pas aussi bonne que toi, toi t'es la meilleure.

Florence mit ses mains autour du cou de Pascal et se rapprocha encore plus près. Elle appréciait ce moment de séduction. Jules était toujours là, il aimait voir sa mère heureuse. Cependant, s'était trop intime pour lui, il partit et les laissa tranquille.

Nature blesséOù les histoires vivent. Découvrez maintenant