Devenir ce qu'on a toujours été

Prologue

Le soir du 16 juin 2019

C'est une soirée assez frémissante pour le montréalais, entre les étudiante qui sente l'arriver des grande vacance et les personne âgée qui revienne de leur condo en Floride pour passer l'été dans leur pays natale avant de retourner au soleil pour l'hiver prochain.

Cette soirée apporte la joie pour tous, mais une jeune fille qui vient tous juste d'atteindre 18 ans de vie, espère avec sa petite sœur de 12 ans que leur mère survivra de son cancer.
« Maman reste avec nous s'il te plaît », quelque larme coule sur les joues de la plus jeune alors que sa grande sœurs la prend dans ses bras pour la réconforter. Elle se demande pourquoi elle n'a pas verser une larme depuis que sa mère est rentrée aux soins intensifs.

« Mes filles...soyez forte et rester toujours ensemble en veiller l'une sur l'autre... », leur mère prononce ces parole d'une voix a peine audible pour quiconque étant trop loin de son lit d'hôpital inconfortable. Les deux filles ne savent pas que c'était là, les dernières paroles qui serait à tout jamais prononcer par leur mère... puisqu'elle rendu l'âme quelque minute plus tard. Elle est parti à jamais...

Les médecins ainsi que les infirmières entrent dans la chambre 306, de l'hôpital de Montréal. Une infirmière prend soin de faire sortir les deux filles de la chambre de leur mère, la première en pleure dans les bras de sa grande sœur qui semble sereine fasse à la mort de sa mère. L'infirmer s'est dit qu'elle est sur le choc et qu'elle tente de paraître forte pour soutenir sa petite sœur, qui est la seul famille restant à la jeune adulte. Elles sont désarmaient orphelines. Orphelines avec une maison certes, mais qu'en même orphelines, elles ont pour seul famille elles-même.

L'infirmière conduit les deux sœurs jusqu'à la cafétéria de l'hôpital, où elles s'assissent en silence. L'ainée réfléchissait à la meilleure façon pour sa sœur de bien vivre. Elle pourrais arrêter et l'école et travailler à temps plein pour la faire vivre ou encore l'envoyez dans un orphelinat dans lequel elle irais à l'école, mangerait et se ferais sûrement des amis. Elle réfléchie quelque temps et elle détermine que la meilleure solution est l'orphelinat, parce que si elle arrête l'école, elle allait avoir d'autre problème plus important plus tard.

- Livia?, lance la plus jeune pour attirez l'attention de son aînée

- Hum?, répond Livia à sa benjamine

- On va faire quoi sans maman...? Dit-elle en versant quelque larme

- Pleure pas petite princesse on va s'en sortir

- Mais on n'a plus personne

- Je sais Alicia, mais on va y arriver, en veillant l'une sur l'autre comme maman a dit

- On va faire comment pour l'argent?

Livia hésite un moment, mais elle décide de ne rien dire à sa petite sœur, du moins pour l'instant, parce qu'elle devra lui dire un jour ou l'autre. Sans aucune réponse de l'aînée, la conversation s'achève ainsi, sous les inquiétudes le jeune fille de 12 ans et les nombreux questionnement de la plus vieille.

Elles attendent trois heures dans la cafétéria froide et peu accueillant de l'hôpital, qui renferme le corps inanimé de leur mère, ainsi que leur joie de vivre. Finalement, le médecin de leur mère vient leur annoncer la terrible nouvelle que leur mère a belle et bien perdu sa bataille contre cette cellule meurtrière qui a causer ce cancer.

Les sœurs sortent de l'hôpital la tête basse, pour aller s'assoir dans la voiture de Livia, un cadeau laisser par son père avant de disparaître il y a 3 ans. Assise derrière le volant, Livia donne un coup de poing sur celui-ci, ce qui actionne le Klaxons qui fait sursauter quelque passant joyeux de leur soirée.
« On rentre Livia? »

Livia pose sont regard sur sa petite sœur adorée, immédiatement son regard s'adoucît devant se petit visage angélique. Elle lui fait un signe de tête, pour lui signifier qu'elles rentres à la maison, si elles peuvent encore appelez cela une maison...