Définition :
Le gang bang est une pratique sexuelle qui mets en scène une personne ayant des relations avec plusieurs partenaires, contrairement à la partouze où tout le monde se mélange, la première citée reste au centre du jeu.
Un homme entre dans le magasin.
De corpulence forte, il semble hésité à m'aborder. Je remarque qu'il tient dans une de ces mains ce qui me semble être un petit cahier ou bloc-notes. Comme toujours dans ces cas-là, je prends les devants et lui demande « si je peux l'aider ».L'homme toujours aussi hésitant tente timidement de me dire quelque chose puis semble visiblement gêné par la demande qu'il s'apprête à me faire. Pensant que cet homme est à la recherche d'un article précis mais n'ose pas me le demander, j'essaie de le mettre à l'aise en arborant le plus enjoué des sourires. Je suis loin de me douter que sa demande va me surprendre au plus haut point.
- Je cherche des blacks !
- ... Des blacks ? ok mais pourquoi ?
- C'est pour ma femme !
- Vous êtes échangiste ou quelque chose comme ça ?
- Non, mais ma femme veut faire un gang bang avec des blacks.
- Je connais deux, trois potes qui seraient ravis de satisfaire votre femme !
Mais c'est à sa réponse que je compris son hésitation de départ.
- ce n'est pas assez, il en faut plus !!!
Surpris par sa réponse, je cherche à en savoir un peu plus.
- Combien il vous en faut ?
- Beaucoup ! me lance-t-il.
- Définissez beaucoup ! je lui rétorque
Sentant que l'homme n'osait me donner le nombre qu'il espérait atteindre, je décidais de prendre les devants.
- Cinq, six ça vous irait ?
- Plus, il m'en faut plus !!
- Quoi une dizaine ?
- Plus ?? (je sens une gêne)
- Hein ! combien ? dites le moi !!
Là, je me dis que j'ai affaire à un fou.
- Une vingtaine, me lance-t-il d'une voix fluette.
- Ouf, c'est beaucoup, c'est pour entrer dans le livre des records ? Lui dis-je sur un ton ironique.
Il semble alors complètement décoincé et se lance alors dans un récit qui aujourd'hui encore est resté gravé dans ma mémoire.
- Ma femme a fait l'armée et un jour elle a été violée ou baisée (je ne me rappelle plus quel terme il a employé, je n'ose espérer que c'était le 2ème), par une vingtaine de gars. Il y avait un black dans la bande et elle a beaucoup aimé ce qu'il lui a fait.
- C'est un peu chelou votre truc, non ?! osai-je.
Ma remarque eu le don de l'agacer.
Il tenta du coup, lui aussi de me mettre à l'aise en me titillant, conscient que là, il venait de choquer mon esprit.
- Alors, tu peux me trouver des frères à toi ? je te paierais quelque chose si tu veux !
En somme, il souhaitait que je joue les rabatteurs pour lui.
Je compris très vite pourquoi il avait ce cahier que j'avais aperçu à son arrivée.
Il l'ouvrit et pris un stylo à bille dans sa poche et me demande :
- Tu peux me donner leurs noms et numéros de portables afin que je les contacte ?
Surpris par cette initiative soudaine, je décide de calmer ses ardeurs.
- Attends, laisse-moi le temps de les contacter d'abord, je ne voudrais pas que tu les effrayes !
J'essaie de comprendre ce qui pouvait pousser une personne à agir de la sorte.
Je senti sa déception de devoir encore patienter quelques temps. Dans les jours qui suivirent, je demandais effectivement à quelques potes si cela pouvait les intéresser. Je fus surpris de pouvoir, si l'homme le voulait, réunir une dizaine de blacks. Mais quelques-uns me posèrent tout de même une question fondamentale à laquelle je n'avais pas de réponse : « à quoi elle ressemble cette femme ? »
L'homme revint quelques temps plus tard, et là sans tarder, je lui pose la question.
Il semblait ennuyé que je lui pose la question mais me montra tout de même une photo de sa femme.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'était pas un canon de beauté. Connaissant les personnes que j'avais sollicités, je savais que la plupart refuserais d'avoir un rapport sexuel avec cette personne ne fusse que pour leur égo. Pour ma part, je me demandais comment une vingtaine d'hommes étaient parvenu à forniquer avec elle. J'imaginais des rescapés pris d'un camp militaire d'extrême orient. Ne voulant pas vexer le mari, je lui promis de réunir les coordonnées des intéressés. J'ajoutais que j'étais parvenu à contacter une trentaine d'hommes, ce qui n'était pas complètement faux. Cela eut le don de l'émoustiller sans doute imaginant sa vache... euh pardon, sa femme, se faire prendre dans un immense gang bang.
Je le baladais quelques temps lui racontant que tel n'était plus disponible, que d'autre avait contracté une MST.
Mais sans relâche, il est venu et revenu à la charge. Jusqu'au jour où mon boss présent dans le magasin me demande ce que voulait cet homme. Je lui expliquais toute l'histoire ce qui eut le don de le faire rire. Lorsque l'homme s'approcha de moi pour prendre des nouvelles, mon patron se joint à la conversation et lui demanda innocemment une photo de l'intéressée en usant d'un ton plutôt coopératif. Celui-ci s'exécuta et lui montra la photo sans rechigner.
Mon boss eu alors une réaction osée mais tellement franche.
- Mais c'est un thon ta femme !!!
Il le dit avec un tel dégout que cela vexa l'interlocuteur qui sans dire un mot quitta le magasin.
Le patron sentant la gêne occasionnée me dit :
- Mais quoi c'est vrai non, c'est un poux cette femme !! comment peut-on niquer une gonzesse pareille ?
Les vingt mecs qui l'ont soi-disant baisé doivent savoir lire que du braille. Ajouta-t-il.
Nous nous sommes regardé et là il un fou rire nous pris.
Plus jamais je ne revis cet homme. Mon boss avait réussi à me débarrasser de ce boulet fort encombrant.
Certains blacks que j'avais contacté vinrent aux nouvelles, et à tous je leurs dis que la femme était vraiment très moche. Néanmoins, certains devait avoir très faim sexuellement et me déclarèrent :
- Ce n'est pas grave, elle a une bouche et un cul ça aurait fait l'affaire !!!!

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Não FicçãoLes histoires délirantes d'un jeune homme vendeur dans un sex-shop