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J'ai changé le personnage d'Hakan, celui-ci correspond nettement mieux.

J'ai changé le personnage d'Hakan, celui-ci correspond nettement mieux

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— Euh, je câble quand Hakan ?

Lui qui a repéré sa fan numéro 1, s'arrête également avant d'attraper l'arête de son nez avec sa main libre.

HAKAN - Putain... zebi.

— Ah oui zebi c'est le cas de l'dire ! Je t'ai dit que j'allais la caner si je la revoyais, mon égo en prend un sale coup là de savoir que je vais pas pouvoir la gifler correctement.

Hakan lâche un petit rire avant d'embrasser ma tempe.

HAKAN - Elle te cherche, je la sors.

— Hm. Ta mère l'aime bien ?

HAKAN - C'est comme sa fille mais elle t'adore toi aussi donc t'inquiète.

C'est la guerre, d'où elle a ma belle-mère dans sa poche tchrrr ?

HAKAN - Allez viens bébé.

On s'avance à l'endroit où se tiennent ses parents et les amis d'Hakan.

SIWAR - Oh ! Ma belle t'es là ? Viens dans mes bras.

Je souris en voyant le regard de Tasnîm qui se voile un peu. Hakan salue son père, ses potes et tend sa main à Tasnîm qui paraît surprise mais ne dit rien.

Je fais de même après être sortie des bras de la mère D'Hakan. Une fois les salutations faites, je me repose près de mon mari.

De-là plusieurs conversations commencent à fuser mais j'ai un peu de mal à ne pas regarder Tasnîm. J'ai vraiment envie de la caner, c'est rare que je sois dans ce genre de feeling mais là croyez-moi ça me gratte les poings.

HAKAN - *rire* Cramée, me chuchote-il à l'oreille.

SIWAR - Alors ma belle, c'est comment la vie avec mon fils, il fait pas trop le prince ?

HAKAN - Bien que j'en sois un.

TAHAR - Toi un petit kilb comme ça. (Chien)

Malgré moi je suis la foule et explose de rire. Hakan l'a dévisagé en retenant un rire.

Le père d'Hakan, Tahar, c'est un homme d'affaires très prisé qui a toujours été bon envers mes parents. Je l'admire pour l'humilité et l'humanité dont il fait preuve. Sa femme, Siwar, elle, a toujours joué un rôle de tata avec moi bien que je n'avais pas souvent l'occasion de les voir car j'ai toujours été plus prise par le travail.

J E N E V A HOù les histoires vivent. Découvrez maintenant