Eren fait les troittoirs tout les soirs, et Livaï lui travaille dans un bureau...
✨ Présence de lemon
🚨 Écriture italique = Livaï
Écriture normale = Eren
Le lendemain quand je parti au boulot je réussi à je pas réveillé Eren. En arrivant au bureau, je n'adresse pas un regard à Erwin, je parlais seulement à Hanji qui elle aussi éviter Erwin. La journée passa longuement et malgré le fait que je n'avais pas l'autorisation je décida de partir plutôt au alentours de 18h. Au moment de sortir du bâtiment je fus interpelé.
Erwin : Où tu vas Livaï ?
Je ne me retourna pas et continua mon chemin.
Erwin : Livaï !
Il me rattrapa et m'attrapa l'épaule et me tourna vers lui.
Erwin : Où tu vas ?
Livaï : Lâche moi enfoirés, j'ai bien le droit de rentrer chez moi non ?!
Erwin : Oh tu vas retrouvé ta p'tite pute.
Mon poing parti dans sa gueule, il la mérité aussi.
Livaï : C'est quoi ton problème avec Eren ?!
Erwin : C'est une pute ! Tu n'es pas du même milieu ! Tu mérites mieux !
Livaï : Pour qui tu te prend pour décider de ce qui est bien pour moi, j'aime Eren et il m'aime, c'est le principal !
Erwin : Qui te dit qui t'aime réellement ?! Il ne reste avec toi rien que pour l'argent !
Livaï : C'est faux !
Je parti excédé par la conversation en direction de ma voiture.
Il était 18h et j'étais couché sur le canapé à regarder le plafond, ça fait bizarre de ne pas travailler. Avant j'étais toujours occupé mais quand Livaï n'est pas la je m'ennuie vraiment. Perdu dans mes pensées je n'entandis pas la porte d'entrée se claquer. Je sorti de mes pensées quand je senti des mains se poser sur ma taille. Livaï se coucha sur moi et mit sa tête dans mon cou.
Eren : Ça va ?
Livaï : ...
Eren : Qu'es qui c'est passé ?
Livaï : Une discussion avec Erwin
Eren : Oh, ça va ? Il ne ta rien fait ?!
Livaï : Non, t'en fait pas...
Eren : Mais évite de te battre, je ne voudrais pas qu'il t'arrive quelques chose.
Livaï : Tu me sous-estime gamin.
Je pris son menton entre mes doigts et releva sa tête vers moi. Je posa mes lèvres sur les siennes. Je demanda l'accès avec ma langue pour sa bouche, il me le donna immédiatement. Nos langues se mouvaient entre elle. Je me redressa, Livaï étais assis sur mes cuisses à califourchon. J'accentua notre baiser en mettant mes mains sur sa nuque. On se détacha en manque de souffle. On colla nos front.
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