Babyboy [terminé]

Chapitre 36

Je me jetais sur l'homme sans réfléchir et le poussais dans la pièce. Et je pris Louis qui était stoïque dans mes bras.

Moi: dégagez d'ici avant que je n'appelle la police !

Il s'en allait aussi vite qu'il était arrivé.
Je m'assis sur le lit et mis Louis sur mes genoux.

Moi: c'est fini mon petit cœur je suis là tu es en sécurité.

Il se mit à pleurer contre moi en me serrant fort. Je ne dis rien car je savais qu'il n'avait pas besoin de mot, il avait surtout besoin qu'on lui montre que j'étais la et que je ne partirais pas.
Au bout de quelques temps il arrêta de pleurer.

Moi: qui était ce monsieur Lou?

Je chuchotais presque cette phrase pour ne pas le brusquer.

Lui: mon papa. Mais il est pas gentil. Je ne veux plus y retourner.

Il me regardait avec des yeux suppliants.

Moi: je te promet que plus jamais tu n'iras chez lui. De tout façon puisque tu es notre little c'est nous qui avont ta garde. Donc c'est fini

Lou: merci dada.

Il se blotti contre moi. Je regardais par la fenêtre et je vis que des medecins ou des infirmières, je ne sais pas et je m'en fiche, ramenaient Harry.
Je me levais donc avec Lou toujours blotti contre moi et traversais le couloir.

Un infirmier : qui êtes vous ?

Moi: son compagnon.

L' infirmier: et moi je suis le père noel.

Moi: je...

... : laisse le ! Occupé toi de tes affaires Franc

Je me retournais et je vis Paula. Je lui dis merci d'un mouvement de tête.
Une fois ce petit incident terminé, je regardais mon homme qui dormait. Je posais Louis dans le fauteuil et m'assis sur le bord du lit. Je le regardais. Je remis une de ses mèches derrière son oreille.
Il avait des points à l'arcade droite, la lèvre fendue et des traces de griffures et de bleus sur le visage. Je posa ma main sur sa joue et la carressais en faisant attention à ses blessures.

Moi: mis que t'es t-il arrivé ?...

Je sentis une main sur mon épaule.

Paula: on lui a passé un scan qui n'a rien révélé ainsi qu'une radio. Il a bien deux côtes brisées ainsi que son poignet.

Moi: à part ça c'est tout ?

Elle: oui. Je vais vous laisser si vous avez besoin de quoi que se soit appuyez sur le bouton rouge.

Moiv merci. Est ce qu'il serai possible d'avoir un plateau repas pour mon little il n'a pas pu manger ce midi.

Elle: bien sur je vous fait apporter ca.

Elle partit. Je continuais de caresser la joue de l'homme que j'aime tout en surveillant Louis qui suçait son pouce.

Lui: daddy a bobo?

Moi: oui mon chat il faudra être gentil avec lui et l'aider. Tu voudras bien le faire ?

Lui : promis dada !

Moi: c'est bien mon cœur

Lui: dada faim

Moi : je sais ça va bientôt arriver. Tu voudras que dada te donne à manger ?

Lui: mwi te plaît dada.

Je sentis hazza bouger à mes côté.

Moi: coucou mon amour.

Hazz: oh za.

Il me serrait contre lui. Il grimaçant.

Moi: c'est fini je suis là. Fait attention tu vas te faire mal.

Hazz: je suis désolé de t'avoir inquiété.

Moi: stop commence pas

Hazz: j'ai eu tellement peur.

Moi: c'est fini tout va bien on est tout les trois en sécurité.

Hazz: comment tu as trouvé Lou?

Moi: c'est Édouard, le daddy de Melia qui me l'a amené. Il l'a trouvé en larme dans le caddy au milieu d'un magasin vide de monde.

Hazz: c'est de ma faute le gérant du magasin voulait me montrer un meuble qui se trouvait soit disant dans l'arrière boutique mais il y avait quatre autres personnes et j'ai rien pu faire...

Moi : il va bien.

Lou: câlin.

Je pris Lou et le câlinais puis le posais contre Harry.

Moi: doucement chat.

Harry le serra contre lui.

Hazz: oh mon bébé daddy ne voulait pas te laisser tout seul. Daddy est désolé.

Lou: moi avait peur

Hazz: je sais mon cœur et daddy s'en voudra pour toujours pour ça.

... : et voilà un plateau repas pour un grand bonhomme.

Une infirmière posa le plateau sur une table roulante.

Lou: daddy peut donner à moi.

Je m'installais et pris la fourchette.

Lou: pas toi Dada.

Avec difficulté Hazz s'assoit et Louis se mit entre ses jambes.

Hazz: bien sur mon ange je suis très content de te donner à manger.

Il le fit mangé lorsque j'entendis des pleurs dans le couloir.

... MONSIEUR ZAYN !